Apollinaire Alcools Poème De Rupture

Victor HUGO : « Parfois, lorsque tout dort… » * D : Guillaume APOLLINAIRE : « Les cloches » * E : Pierre REVERDY : « Tard dans la vie » I) Questions : 1- Analyser brièvement les différentes formes poétiques représentées dans ce corpus. Dites en quoi le texte E présente une rupture caractéristique de la poésie moderne. Le corpus soumis à notre étude est composé de cinq poèmes différents. * Le texte A est un poème de Marceline DEBORDES-VALMORE qui s’intitule « Qu’en avez-vous

Le Pont Mirabeau Guillaume Apollinaire   Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine   Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face      Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse   Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure   L'amour s'en va comme cette eau courante

Bataille1G1 Le lyrisme d’Apollinaire dans Alcools Apollinaire dit vouloir s’inscrire dans une démarche de renouveau et de surprise. Pour cela il utilise des formes et un style moderne. Mais le poète s’inspire aussi de la tradition qu’il renouvelle, ce qui créer une poésie novatrice et précurseuresse. C’est dans cet objectif que nous pouvons voir la tradition lyrique dans Alcools. Nous étudierons tout d’abord comment le poète appréhende-t-il

que pour ces différents poèmes sur le même thème, la vision du temps n’est pas la même. L’anthologie s’ouvrira sur le poème de Baudelaire intitulé «L’ennemi » extrait des Fleurs du mal, écrit en 1857, dans son poème, Baudelaire constate les effets du temps sur lui-même. Pour le poète, le temps qui s’écoule trop vite est un ennemi à la vie qu’il a mené. Le poème qui suit est un poème de Pierre Ronsard écrit en 1545, « Mignonne, allons voir si la rose ». Il développe ici le thème de la fuite du temps

Le poème "Le Pont Mirabeau" est un extrait du recueil Alcools paru en 1913. L'auteur y fait allusion à sa rupture avec Marie Laurencin et au-delà évoque la fuite du temps semblable à l'eau qui s'en va. Comment Apollinaire fait-il pour que son poème soit élégiaque et incantatoire? I ) Un poème élégiaque A) Expression des sentiments personnels - indices de l'énonciation : 1ère personne du singulier "m'", "je" - pas de marques de destinataires mais 1ère personne du pluriel "nos bras", "restons"

1909Introduction Guillaume Apollinaire était un poète surréaliste faisant de son inconscient le prémisse de son œuvre. Dans son recueil de poèmes,Alcools,paru en 1913 ,il compose à la manière cubiste,une autobiographie en mêlant inspirations mythiques,médiévales et contemporaines. Cette autobiographie retrace ses rencontres et ses expériences. Dans ce poeme,Apolinaire évoque un coup de foudre en décrivant une femme anonyme en employant des connotations medievales et surréalistes.Cette description

I. Alcool, œuvre revendique sa modernité A) Une femme innovante· Pas de ponctuation· Présence affirmée de vers libres· Rimes qui ne sont pas classique· Le poème se finit en chanson Ex : Automne· (structure éclatée, ceinture cyclique « zone » et « vendémiaire » puis désordre, ni par chronologie ni totalement par thèmeB) Une volonté de faire de la modernité un thème · Paris ville moderne Ex : « zone » et « vendémiaire » · Industrie célébrée / progrès technologiquesEx : « zone »· PublicitéEx : « zone »C)

Automne malade I/ Des thèmes traditionnels   1/ L'automne, un thème lyrique   Le thème de l'automne, de l'agonie de la nature n'est pas nouveau : il a été exploité par de nombreux poètes lyriques avant Apollinaire. Aussi est-ce tout naturellement qu'il s'y attache, lui qui a aimé Ronsard et qui doit tant à Verlaine. L'imminence de la mort, suggérée dès le début par les vers 1 et 2 : « Automne malade...Tu mourras », est plus bouleversante, plus pathétique que la mort elle-même.   C'est aux yeux du

saison que j'aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu'on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles 
Qu'on foule 
Un train
 Qui roule 
La vie
 S'écoule Guillaume Apollinaire, Alcool Lourde légèreté Le temps passe
 Nos jours se remplissent De choses légères
 Et de tout ce qui est si important Libre de penser comme on veut
 On finit par ne penser que comme on peut Comme un flocon de neige
 Qui tremble dans

D'être amoureux. Au temps présent par toute nation Les dames sont comme un petit scion, Qui toujours ploie à dextre et à senestre. Bref, les plus fins ne s'y savent connaître : Parquoi conclus que c'est abusion D'être amoureux. Dans ce poème Clément Marot a l’air d’avoir été sentimentalement affecté et ne veux plus avoir à être de nouveaux amoureux, on voit qu’il a vécu une déception qui a changé sa vision de l’amour. J’ai choisi ce texte car je pense que toute personne a déjà vécu cette