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chevaliers. Le récit écrit n’est alors qu’un support pour la mémoire, puisque la littérature est profondément orale : ses destinataires sont des auditeurs et non pas, comme aujourd’hui, des lecteurs. Cette littérature s’adresse d’ailleurs à un public restreint, celui des seigneurs et de leur cour. • À travers ses romans (Le Conte du Graal, Le Chevalier à la charrette, etc.), l’un des auteurs les plus célèbres de cette période, Chrétien de Troyes, a ainsi su  créer un genre narratif – enchaînant

chevaliers. Le récit écrit n’est alors qu’un support pour la mémoire, puisque la littérature est profondément orale : ses destinataires sont des auditeurs et non pas, comme aujourd’hui, des lecteurs. Cette littérature s’adresse d’ailleurs à un public restreint, celui des seigneurs et de leur cour. • À travers ses romans (Le Conte du Graal, Le Chevalier à la charrette, etc.), l’un des auteurs les plus célèbres de cette période, Chrétien de Troyes, a ainsi su  créer un genre narratif – enchaînant

remarquable au cours de ces dernières années. Cette sélection n’a pas pour ambition de réunir les 300 meilleurs ouvrages pour la jeunesse. Les choix réalisés constituent un miroir de la richesse et de la variété des œuvres produites pour un jeune public : forme, genre, style, valeurs véhiculées, auteurs, illustrateurs, éditeurs… Ils visent à offrir à de jeunes lecteurs la possibilité de prendre goût à la lecture longue et à susciter chez eux émotion, curiosité, enthousiasme… Ils devraient permettre

l’ensemble de l’œuvre (« Un cœur simple » de Flaubert ; La Vénus d’Ille de Mérimée ; Le Comte de Monte-Cristo de Dumas, en version abrégée ; Les Misérables de Hugo, en version abrégée ; On ne badine pas avec l’amour de Musset ; Des troubadours à Apollinaire, une anthologie poétique) ; – des lectures cursives : « la lecture cursive est une lecture personnelle de l’élève, en dehors du temps  scolaire, mais le plus souvent en rapport avec le travail conduit en classe » (BO du 28.08.2008). Un choix de

qui intéresse le chercheur et le motive puisqu’il va l’accompagner pendant un certain nombre d’années.2 Nous commençons par un choix général qui est la littérature comparée. Nous voulons présenter la littérature irakienne, et surtout le roman, au public français. Notre objet de recherche n’est pas ici d’étudier le roman irakien; ce travail a été déjà effectué par des chercheurs et des critiques irakiens,3 cependant il n’a l'apprentissage de françaises mais aussi pas fait l’objet de traduction en

BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville

siècle Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et

l’équilibre. extrait de Il éprouve une dangereuse sensation de facilité qui le pousse à « couper » les virages en rase campagne et à se faufiler au travers des encombrements dans les villes. Que faire ? Indépendamment des mesures que les pouvoirs publics devaient mettre en œuvre (multiplication des pistes réservées aux deux-roues, législation très ferme quant aux normes de construction, priorité accordée à une véritable formation préalable…), l’examen règles suivantes : •respecter les stops, les feux

lui vaut d’être détesté. Considérons la profession de ceux qui l’ont fait mettre en accusation. Il y a Anytos qui représente les politiques, Mélétos les poètes et les devins, Lycon les orateurs et les professeurs de rhétorique. Le procès est une réaction de la culture acquise contre une pensée qui refuse tout acquis. Le libellé de l’acte d’accusation (« Socrate est coupable de corrompre la jeunesse ; de ne pas croire aux dieux auxquels croit l’Etat, mais à des divinités nouvelles, qui en sont différentes

moins d'importance, répondait on ne peut mieux à mon idéal, dans ce sens. Le jeu dérisoire des acteurs, ne tenant qu'un compte très relatif de leur rôle, ne se souciant qu'à peine les uns des autres et tout occupés à se créer des relations dans le public composé d'une quinzaine de personnes tout au plus, ne m'y fit jamais que l'effet d'une toile de fond. Mais que retrouverai-je pour cette image la plus fugace et la plus alertée de moi-même, pour cette image dont je m'entretiens, qui vaille l'accueil