Apollinaire Clair De Lune

autres suivent en rêvantChaque arbre fruitier se résigneQuand de très loin ils lui font signeIls ont des poids ronds ou carrésDes tambours des cerceaux dorésL'ours et le singe animaux sagesQuêtent des sous sur leur passage Guillaume Apollinaire Brise Marine La chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui

en reference aux Dialogues de Platon ). Ce poeme a certes un cote morbide mais il reste une declaration, celle d’un homme amoureux d’une femme dont les comportements vains le desole. Je m’imagine un vieux cimetiere couvert par la brume, sous un clair de lune, traverse par de joyeuses melodies et une tres belle femme qui danse entre les sepultures, tel un fantome. Puis elle disparait petit a petit pour laisser place aux plaintes des morts, a la fin du texte. Cette ambiance “baudelairienne”, si sombre

Claire-Anne 302 Amis, amour perdus pour toujours Comment les arts peuvent ils exprimer la tristesse caus par la guerre INCLUDEPICTURE http//idata.over-blog.com/2/51/63/00/morts-pour-la-France2.jpg MERGEFORMATINET INCLUDEPICTURE http//www.ushmm.org/lcmedia/photo/lc/image/05/05541.jpg MERGEFORMATINET Thmatique Arts, tats, pouvoir. Professeur rfrent Mme. Meury Sarah Sommaire Page de prsentation Sommaire Introduction

littéraire, musical et pictural… Les artistes de cette époque rompirent avec toutes les formes précédentes. Apollinaire, considéré comme le poète de l’ « Esprit Nouveau », offre dans ses recueils Alcools, notamment son poème « Zone », et Calligrammes une nouvelle esthétique et conception de la poésie. Optant pour la liberté du poète et la forme libre (le vers libre et l’absence de ponctuation…), Apollinaire exprima dans le poème « Zone » sa lassitude des formes anciennes et insiste davantage sur la liberté

d'aise Ses petits pieds si fins, si fins. - Je regardai, couleur de cire, Un petit rayon buissonnier Papillonner dans son sourire Et sur son sein, - mouche au rosier. - Je baisai ses fines chevilles. Elle eut un doux rire brutal Qui s'égrenait en claires trilles, Un joli rire de cristal. Les petits pieds sous la chemise Se sauvèrent : " Veux-tu finir ! " - La première audace permise, Le rire feignait de punir ! - Pauvrets palpitants sous ma lèvre, Je baisai doucement ses yeux : - Elle jeta sa tête

l’inspiration poétique » : – Boileau : « Art poétique », p. 195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire : « Poèmes à Lou », p. 220 ; – Aragon : « Cantique à Elsa », p. 247 ; – Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence construite autour d’un recueil et d’une forme ou d’un registre Dans ce cas, il peut paraître

Séquence 6 – FR20 17 © Cned – Académie en ligne Un rêve J’ai rêvé tant et plus, mais je n’y entends note. Pantagruel, livre III. Il était nuit. Ce furent d’abord, — ainsi j’ai vu, ainsi je raconte, — une abbaye aux murailles lézardées par la lune, — une forêt percée de sentiers tortueux, — et le Morimont6 grouillant de capes et de chapeaux. Ce furent ensuite, — ainsi j’ai entendu, ainsi je raconte, — le glas funèbre d’une cloche auquel répondaient les sanglots funèbres d’une cellule, — des

est une réflexion personnelle sur sa vie d’homme, les années qui passent et les changements qui s’opèrent. Le poème malgré une forte dimension critique est quand même pathétique, le poète exprime sont malheur face à cette nouvelles humanités. La lune? Ce n'est plus la même Le printemps? Ce n'est plus Le printemps d'autrefois. Moi seul N'ai pas changé. Ô fleurs du ciel! Tombez en obscures nuées  Au point que la vieillesse En perde son chemin Ariwara no Narihara (825-879) これは同じではありません

symbolistes, derniers amants de la lune, 1910 « Tout bouge, tout court, tout se transforme rapidement. Un profil n’est jamais immobile devant nous, mais il apparaît et disparaît sans cesse. » Umberto Boccioni, 1910 « L’histoire est fatalement, à nos yeux, une faussaire, ou tout au plus une misérable collectionneuse de timbres-poste, de médailles et de monnaies truquées. » F. T. Marinetti, Nous renions nos maîtres les symbolistes, derniers amants de la lune, 1910 « Le passé est nécessairement

né le 5 aoüt au ch~teau l85~peut-être près de Dieppe, de Mirosmenil, peut.-être à Fécamp, mais sans aucun doute sur la côte normande, au bord de la mer. (1) Jusqu'à l'age de treize ans, il vit, soit à Fécamp, soit à Etretat et passe le plus clair de son temps avec les pêcheurs, sur la plage noircie de goudron, parmi les mouettes et les barques. IIJ' ai grandi. sur les rivages de la mer grise et froide du Nord, dans une petite ville de pêche toujours battue par le vent, par la pluie et les embruns