Apollinaire Visée

Guillaume Apollinaire est l’avant garde du cubisme ainsi que l’ancêtre du surréalisme dont il est à l’origine du nom. Le recueil Alcools, d’apollinaire a été élaboré en 15 ans. Ce recueil autobiographique manifeste les ruptures amoureuses du poète avec Annie Playden et Marie Laurencin comme dans les poèmes « la chanson du mal aimé » ou encore « mai ». Le poète crée la modernité avec le jeu de la tradition. Ce recueil harmonieux explore de nombreux aspect de la poésie. Apollinaire en a été qualifié

identité : son pseudonyme littéraire : Guillaume Apollinaire se dégage comme une vérité absolue (donc détachée) quasiment au centre de la page, alors que son vrai nom est : Guillaume Apollinaris de Kostrowitzky. Comment se fait cette transmutation, qui est une sorte de renaissance ? Par des approches successives : d’abord l’évocation – au sens aussi de donner voix à, la parole à - des cœurs : Celui de l’amour, désespéré (comme souvent chez Apollinaire qui y a trouvé une des sources les plus fécondes

recueil Le Bestiaire écrit sur le front, lors de la Seconde guerre mondial, en 1911, suggère les amours perdues et la mélancolie sur fond de guerre. « L’écrevisse » est un bref poème, extrait du recueil Le Bestiaire, écrit en 1911 par Guillaume Apollinaire, il y-a ici une comparaison entre l’écrevisse et l’homme. « L’hirondelle au printemps cherche les vielles tours », est un poème extrait des Contemplations écrit en 1856 par Victor Hugo. Nous verrons par le biais de ce poème, comment Victor Hugo

"Le pont Mirabeau", Guillaume APOLLINAIRE, Alcools, 1913. Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

souvent à les rejoindre à Puteaux au 7 rue Lemaître où ils vivent dans une sorte de communauté d'artistes où se croisent des cubistes comme Albert Gleizes, Fernand Léger, Jean Metzinger, Roger de La Fresnaye, mais aussi des poètes comme Guillaume Apollinaire (qui n'aime pas ses nus), Henri-Martin Barzun, Maurice Princet et le jeune Georges Ribemont-Dessaignes.

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à nouveau l image d un amour tant passionné «Idolâtrasse» que meurtrier «m assassinassiez» on voit ici le poète désespéré et comme le dit Miguel de Unamuno «L'amour est le désespoir résigné.». Et pour finir nous lirons un poème de Guillaume Apollinaire publié en 1913 et extrait du recueil Alcools intitulé : Le Pont Mirabeau . Dans ce poème nous avons à nouveau accès aux sentiments personnels du poète. On retrouve un thème très courant dans les poèmes romantiques, le lac. Nous revoyons aussi

Sujet: comparez les situations d'énonciation des trois poèmes du corpus: en quoi la mort concerne-t-elle chacun des poètes ? Victor Hugo, Guillaume Apollinaire et Pierre de Ronsard ont choisi la poésie pour évoquer l'angoisse de la perte. Ils se distinguent par leurs choix énonciatifs, qui marquent trois rapport différents a la mort. Tous trois utilisent la 1ere pers du sing. Derrière le "je" de "demain dès l'aube" présent dès le vers 2, on devine que Hugo qui a été confronté à la mort de

antique Dont les lances ô pins s’agitent au tournant Les villages éteints méditent maintenant Comme les vierges les vieillards et les poètes Et ne s’éveilleront au pas de nul venant Ni quand sur leurs pigeons fondront les gypaètes Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 Annie Sur la côte du Texas Entre Mobile et Galveston il y a Un grand jardin tout plein de roses Il contient aussi une villa Qui est une grande rose Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule Et quand je passe

corpus évoquent la fuite du temps mais certains en parlent sans illusion, d'autres, au contraire font face en exhortant à vivre avec force l'instant présent. En décrivant chacun un paysage qui est le reflet de leur état d'âme, Verlaine et Apollinaire expriment avec nostalgie le passage inéluctable du temps. Dans « Le pont Mirabeau » = l'eau qui s'écoule, métaphore du temps qui passe et qui dégrade le lien amoureux. Dans « Colloque sentimental », le « parc solitaire et glacé »= métaphore