Apologue Emile Zola

descriptions ne servent pas qu’à remplir des pages ; il faut souvent y chercher une fonction symbolique. Ici, on remarque que la description insiste particulièrement sur la lumière. Lumière du couchant, reflets et couleurs chaudes : goût de Zola pour l’impressionnisme, et connotent la richesse, le luxe. Cela rappelle le moment de la journée : fin d’après-midi, octobre, retour de promenade : on commence par un achèvement, paradoxe de la narration. Tout signale qu’on va lire une fin.

misérable, pour les baisers du fils. Si Maxime était le sang appauvri de Saccard, elle se sentait, elle, le produit, le fruit véreux de ces deux hommes, l'infamie qu'ils avaient creusée entre eux, et dans laquelle ils roulaient l'un et l'autre. Emile Zola - La Curée Annonce des axes Etude I - Scène représentée comme un passage hallucinatoire, quasi-fantastique - " elle crut voire " indique une illusion à cause du modalisateur - " apparaît " : le modalisateur est supprimé - " regardant

ce milieu tout le monde parle l’argot, vît dans la promiscuité, dans des logements miteux et avec juste assez de revenus pour survivre. Tous les personnages sont rassemblés dans le même immeuble, rue de la Goutte-d’Or. Résumé : L’Assommoir de Emile Zola raconte l’histoire de Gervaise Macquart une Jeune et plutôt belle femme originaire de Plassans vivant à Paris, de son amant, Auguste Lantier ainsi que leurs deux enfants Claude et Etienne. Lantier est infidèle et fainéant, il finit par abandonner

Choquet François 201 FICHE DE LECTURE : L'ASSOMMOIR de EMILE ZOLA Œuvre : L'assommoir fait partie des « Rougon-Macquart », c'est la septième volume. Son auteur est Émile Zola (2 Avril 1840 – 29 Septembre 1902). Sa première publication date de 1876 et l'assommoir fait partie du genre du naturalisme. Personnages : Gervaise Macquart : elle est au centre du roman ; fille d'Antoine Macquart et Joséphine Gavaudan, elle est la sœur de la charcutière Lisa Quenu. Travailleuse, elle a très bon

Emile Zola est né à Paris, le 2 avril 1840 et est mort le 29 septembre 1902. Un de ses loisirs est de réaliser des travaux littéraires. Il devient romancier et entreprend une série de romans reliés entre eux suivant le procédé favori de Balzac, par la réapparition des mêmes personnages sous le titre général : Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire (1871-1893), qui raconte le destin d’une famille sur cinq générations. Au Bonheur des Dames est le onzième

Rougon-Macquart » écrite par Emile Zola. Ce roman se situe au début du Second Empire, après le coup d’état du 2 décembre 1851 de Louis Napoléon Bonaparte. La Fortune des Rougon, pourtant écrite et publiée une première fois avant la Commune, est surtout lue lors de sa deuxième publication, après la Commune. L’œuvre est donc lue à la lumière de la Commune. Dans ce roman, Zola décrit davantage la réaction bourgeoise face à l’insurrection républicaine que l’insurrection elle-même. En effet, Zola prend le parti des

Emile Zola est le chef de file du naturalisme, mouvement littéraire et culturel du XIXème siècle. Il veut peindre la réalité du Second Empire telle qu'elle est sans l'embellir. Dans son roman Thérèse Raquin publié en 1867, l'auteur présente le décor et les personnages de manière neutre. Il joue sur les registres réaliste et pathétique. Comment Zola parvient-il à rendre la description naturaliste ? Nous étudierons les descriptions naturalistes des personnages et l'ambiance qui s'en ressort.

Commentaire de l’extrait : « Il se débarrassa…son cou de taureau » du chapitre V de Thérèse Raquin d’ Emile Zola. Dans cet extrait du chapitre V de Thérèse Raquin, Laurent, un nouveau personnage qui aura une grande importance dans la suite de l’histoire, nous est décrit physiquement selon le point de vue interne de Thérèse. Celle-ci éprouve de l’étonnement, « l’étonnait » l.37 et de la curiosité, « avec curiosité » l.50 car elle découvre le premier homme de sa vie. Ceci étant résumé par ces

Emile Zola, un auteur engagé dans l’affaire Dreyfus. | * 1- Qu’est-ce-que l’affaire Dreyfus ? En 1894, Alfred Dreyfus, militaire, juif, travaille au ministère de la guerre lorsqu’il est accusé de trahison pour avoir transmis aux allemands des secrets militaire. L’accusation se fonde sur des lettres dans lesquelles on aurait reconnu son écriture. Par conséquence il fut dégradé et condamné aux travaux forcés. Un petit groupe de personnes le croit pourtant innocent est réussi à convaincre des

d'antisémitisme, dont la victime est le capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935), Juif et alsacien d'origine. Cette affaire a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906. La révélation de ce scandale, dans J'accuse, un article d’Émile Zola en 1898, provoque une succession de crises politiques et sociales uniques en France. À son paroxysme en 1899, elle révèle les clivages de la France de la Troisième République. Elle divise profondément et durablement les Français en deux camps opposés