Apparences Trompeuses

des images se met-il en place et quelle est sa visée ? Platon inscrit l’image dans un monde des apparences, alors que Spinoza se rapproche de concepts tels que la connaissance ou la langage et que Bachelard insiste sur le rôle de l’imagination dans le monde des images. Platon replace tout d’abord le monde des images dans une opposition entre deux mondes : le monde sensible et le monde des apparences, le premier étant l'image, le reflet, la copie du second, qui est paradigme, modèle, vraie réalité

comme l'image renversée de Hamlet). Le spectre et Hamlet mesure tout par opposition : l’un par rapport à la vie, l’autre par rapport à la mort. Comme le baroque qui mêle souvent la mort au monde des vivants.- constat du défaut de réalité sous les apparences. - mélange des genres (Hamlet est une tragédie mais contient des éléments comiques, burlesques, beaucoup de trivialité dans le langage...)- l'ostentation propre au baroque (Hamlet est un personnage extrême et provoquant)- la théâtralité au sens

|concordance entre l’être et le paraître. |Giono insiste sur la persuasion des | |Le maquillage du crime met en lumière la transgression |Le mal est une transgression des lois naturelles et non |apparences de Thérèse comme préalable| |des apparences. |divines qui va vider l’homme de son humanité : « n’être |au mal qu’elle fait. | |Le pur paraître peut jouer comme l’être. |plus content de mon état

voir ou de mal interpréter ce que l’on voit. On peut aussi voir que ce que l’on veut voir. On risque aussi de se contenter de voir que l’apparence des choses .Tout cela revient à dire que l’on ne voit que la surface des choses. Or les apparences peuvent être trompeuses. De  façon général, Platon critique une confiance trop grande accordai aux seins, un mode de connaissances purement sensible des choses Platon demande indirectement aux hommes d’utiliser avant tout leur raison. On peut comprendre

Le miroir Que serait l’homme s’il n’avait un jour été capté par son reflet dans l’eau ? Comment saurions nous ce que nous sommes, à quoi, à qui nous ressemblons ? Que saurions nous de notre apparence ? Qui n’a jamais été surpris, dérangé par une vieille photo de soi ? « Quoi ! c’est moi çà ! ». Nous restons incrédules, de la même manière que lorsque nous entendons notre voix enregistrée. Il est difficile de croire ce que l’on voit, de se rendre à l’évidence que l’image est une apparition

Rapport de cause à effet. On peut également noter l’hyperbole sur son poids. III) Enjeux critiques a) Des critiques sociales et religieuses Incipit qui dénonce l’aristocratie, la justification de la noblesse ne tient qu’aux apparences qui sont fausses et trompeuses. Structure de parallélisme, de décalage, d’antithèses « sa meute » « les chiens de ses basses cours » … Critique religieuse « Il l’appelait tous (…) des contes ». b) Philosophie de Pangloss Evocation de la « métaphysico-théologicosmolonigologie

nous formulons notre jugement de goût. Ce phénomène est d’ailleurs renforcé pour les souvenirs. En effet, plus un objet, un sujet ou un événement va s’éloigner de nous, va s’effacer dans notre mémoire, plus nous le verrons au travers de ces apparences, comme l’idéalisation d’un souvenir par exemple. Nous ne le verrons plus pour ce qu’il est réellement. Ceci est que Kant développe, dans la Critique de la faculté de juger pour lui, le jugement de goût est un jugement subjectif porté sur l’objet

entres-elles, « haut parage/à gros équipage/à triple étage» Elles ont toutes un effet de grossissement comme l’indique les termes « haut, gros, triple ». De plus, Jean de La Fontaine critique le fait que les gens consacrent trop d’importance à leurs apparences liées au statut social. Ainsi on peut noter un certain décalage entre l’apparence et la réalité. Ainsi nous relevons au vers 1 l’expression « se croire un personnage » par opposition à la bourgeoisie qui est moins valorisé grâce à la restriction

gnocchi, etc. L'apparence Nous avons tous reçu la mise en garde qui dit qu'il faut se méfier des apparences. Ce qui est curieux, c'est l'usage très sélectif que nous faisons de ce genre de recommandation. Dans le sens commun, on préfère l'interpréter de manière négative et l'appliquer surtout aux personnes : "il a l'air gentil, comme cela, mais... il ne faut pas se fier aux apparences". En d'autres termes, la réalité, c'est que les gens qui vous paraissent bons sont plutôt mauvais. Inversement

la comparaison marquée par la locution comme) pour montrer que il faut aller au delà des apparences : les silènes seraient de petites figurines fendues en leur milieu et fabriquées ainsi afin de pouvoir s'ouvrir et d'étaler leur richesse, alors que fermées elles représentent la silhouette ridicule et grotesque d'un joueur de pan ( référence au banquet de Platon pour présenter la figure socratique ( = apparence étrange et âme sublime) ( = Compagnon du demi-dieu Silène ou de Bacchus, ayant l'aspect