Apparences Trompeuses

registre du commerce et des sociétés, elle crée une apparence, celle d’être commerçant. Elle s’affiche, aux yeux de tous, comme appartenant à une catégorie professionnelle au statut duquel elle s’est rattachée volontairement. Il paraît donc légitime de permettre aux tiers de se prévaloir de son appartenance à ce statut. Au contraire, lorsque les tiers savaient que l’immatriculation était erronée, c’est-à-dire que l’apparence était trompeuse, ils ne doivent pas pouvoir s’en prévaloir. Ils ne doivent

être un échec et s'avérer inefficace. De plus, la communication nous place dans la difficulté d'être soi par la parole. Il faut ici distinguer sincérité et authenticité. Nous pouvons, par exemple, communiquer des choses fausses, susciter des apparences trompeuses par notre parole, ne pas être sincère. L'expérience du mensonge nous fait découvrir une dualité de la parole et de la conscience. La communication ne sauraient pas se passer du relais indispensable de cet autre médiateur qu'est la structure

s'en plaignent souvent ; mes amies elles, malheureusement s'en vantent ! Chacun semble tirer profit de l'autre et nul ne connaît vraiment les qualités authentiques des personnes fréquentées tant celles-ci sont dissimulées derrière les apparences, les plus trompeuses possibles ! Que l'amour est pourtant une noble chose et combien les gens le tournent en dérision ! Vous seul, mon cher Alphonse semblez attaché à cet adorable sentiment. Comment le trouvez-vous dans votre région reculée, loin de Paris

Etude I/ Les dissonances La cruauté exprimée par le poème est d’abord repérable dans la construction. 1/ Dissonance entre le fond et la forme · Apparence lisse et régulière : 4 strophes de 4 vers chacune = harmonie. Mais : coupes irrégulières aux v. 3 et 5. => Rythme faussé, premières brisures. · Rimes bancales de la 3e strophe : veule – gueule. => Mimétisme : vers boiteux comme l’albatros à terre. · Altère le schéma des rimes croisées dans la dernière strophe = presque des rimes

baroque; de l’autre la mesure et l’ordre du classicisme. Les œuvres dites baroques (surtout poétiques et théâtrales) ont pour thème privilégié la représentation d’un monde changeant, inconstant, et proposent une réflexion inquiète sur les apparences trompeuses. Le monde y apparaît comme un théâtre, où la seule certitude est la mort, où le seul point fixe de cet univers en mouvement est Dieu. Toute l’Europe connaît à des moments divers, entre la fin du XVIème et le milieu du XVIIIème siècle, cet

« masques et bergamasques » ( rappellent la fantaisie, la légèreté des danses pratiquées en Italie à Bergam ). → « masques » (v.2) est une métonymie pour les désigner. Ils n'apparaissent que sous l'aspect de leur masques → don apparence trompeuse, mensongère, artificielle, fausse personnalité. Montrés en action : vocabulaire de la fête → « jouant, dansant, chantant » (v.3 et 5)(assonance en « an » = rappelle le battement de pieds des danseurs ), le luth, etc. => dégage

raisonnement dont nous disposons est le suivant : normalement, rien n'est plus stable en nous que le sentiment de nous-mêmes, de notre propre Moi. Ce Moi nous apparaît indépendant, un, et bien différencié de tout le reste. Mais que cette apparence soit trompeuse, que le Moi au contraire rompe toute limite précise, et se prolonge dans une autre entité inconsciente que nous appelons le soi et auquel il ne sert proprement que de façade, c'est ce que, la première, l'investigation psychanaly- tique nous

particulier les ressorts du rêve, la littérature emporte le lecteur dans ses fictions jusqu'à lui faire douter de la réalité même de son existence : la vie réelle apparaît comme une vaste comédie où chacun endosse un rôle. Bientôt, le jeu sur les apparences trompeuses et la féerie des décors prennent le pas sur une vision tragique et versent dans le divertissement le plus pur. • L'excès, en dernier lieu, répond au besoin où se trouvent les écrivains baroques de s'affranchir des règles littéraires héritées

Intro : On dit souvent que «Le rire est le propre de l'homme, car l'esprit s'y délivre des apparences » mais le sourire révèle-t-il toujours les sentiments intérieurs ? Victor Hugo (1802-1885) est un des plus grands auteurs français ayant touché à tous les genres : le théâtre, la poésie et le roman. Cet auteur est engagé politiquement et socialement : il est contre la peine de mort et il est pour le bien de tous comme dans Les Misérables (1862) qui relate la misère sociale des pauvres gens

suivantes, la morale qui correspond le mieux à l’histoire racontée. Il n’y a pas de morale à tirer de cette histoire. La vérité n’est pas de ce monde. Toute vérité n’est pas bonne à dire. Mieux vaut chercher la vérité ensemble. Les apparences sont souvent trompeuses. Il est dangereux de s’imaginer être le seul à détenir la vérité. /5 points Lire un récit exemplaire CORRIGÉ /40 POINTS Question 1 10 points A = 1 ; B = 2 ; C = 4 ; D = 3 8 points A = 2 ; B = 1 ; C = 4 ; D = 3 6 points A = 1