Apport De La Democratie Athenienne Dans Le Monde

grecques. Ses micro État dans le monde grecques ne présentent pas tous les mêmes caractéristiques. Toute ses cités n’ont pas connue la démocratie. Toute les cités n’ont pas atteint le même degré de démocratie. L’organisation d’Athènes suppose la participation de tous à la chose publique, au fonctionnement de la cité. D’autre cité sont d’oligarchie ( pouvoir de quelques uns) exemple Sparte. Il y a des gens qui sont exclus par principe de la démocratie car ils ne sont pas citoyens

milieu XXème, elle commence à s’affirmer en tant que telle. Pierre Ford : « Fille du déterminisme spécifique : autonomisation progressive de la catégorie du politique et l’affirmation d’une administration moderne et la diffusion de la démocratie » XIXème siècle apport de différentes sciences sociales à la science politique. Double tradition historique et juridique empêche de la rattacher à la sociologie tout cours. Fait historique détermine théorie des régimes, analyse des faits politiques ont d’abord

n'échange pas son os contre celui d'un autre. » Autrement dit, l’homme échange, réfléchit et agit en fonction de son souhait. Le chien ne se pose pas de question. Les échanges ont évolués depuis l’Antiquité, ils prennent de plus en plus de place dans le monde et dans la vie de l’homme. Il existe différentes façons d’entrer en possession d’un objet : d’abord la main mise c’est-à-dire la prise de possession impérieuse par laquelle on s’empare d’un butin, la violence peut être présente. Ensuite il y a le

La question principale qui peut être posé dans une politique de regard rétrospectif est la question du consensus. Loin de l’affrontement somme nous encore dans une société ou les parti s’affronte réellement ou dans une société politique où tout le monde ou presque est d’accord ? Es ce une société plus apaisé sur le plan idéologique ? Bien entendu il y a toujours l’opposition entre la gauche et la droite et quand on voit la versatilité de l’opinion publique, est une opinion publique qui change d’avis

Dans l’historiographie antique, idée que les tyrans ont été un mal nécessaire pour permettre de fonder un système plus ouvert. Puis s’ouvre la période véritablement glorieuse de la Grèce antique, qui s’étale sur le 5e et 4e siècle avant JC. Démocratie athénienne avec Périclès, grande époque des philosophes, Protagoras, Socrate, Platon, Aristote & Cie. Dernière période de cette Grèce antique : monarchies hellénistiques. Différent d’hellénique. Monarchies qui se mettent en place après la disparition

Partage du pouvoir qui se mette en place : âge classique VI à IV ème siècle av JC : période de la cité-état multitude de cité-état : réflexion politique Ces philosophes s'appuient sur des réalités présentent aux seins des cités . Époque de la démocratie à Athènes . (Application de la science politque ) Fin du IV ème siècle jusqu'au Ier siècle avec JC/ : période ellénistique Déclin de la cité-état absorbé par une monarchie féodale (royaume de Macédoine )Philippe de Macédoine / : crée une ligue

les éléments objectifs de ceux qui ne le sont pas. » Elle doit connaître et présenter les conceptions. Comportements politiques qui soient alimentés par plusieurs sources, points de vue. Platon Protagoras dans ses dialogues, met en parallèle la démocratie où il y a de l’amateurisme car tous ne sont pas compétents. Il n’y a pas de choix fait que par des gens compétents. Sur les votants, combien se prononcent en connaissance de cause ? Quels sont les objets qui peuvent être étudiés ? Matériaux (sondages

que ce soit de l’ordre philosophique, religieux ou moral. L’Europe redécouvre ces valeurs communes, elle redécouvre son histoire, sa civilisation et elle se sert de cette histoire comme une arme de paix, une arme de sécurité, de solidarité, de démocratie et de respect de la dignité humaine. L’Europe se dote alors à partir de la seconde guerre mondiale de cadres organiques propres à promouvoir ces valeurs communes. Première Partie: Les institutions européennes : Unité et diversité : Les institutions

ignore toutes les règles qui lui permettent à la création. Seul le philosophe, sait les différentes-techniques pour toute création artistique. C’est la raison pour laquelle, le monde sensible est une imitation de l’imitation et celle- ci, est loin de la réalité intelligible. Dans cette mesure, l’artiste imite uniquement le monde sensible. Se fier à un aveugle c’est tomber dans l’erreur. C’est pourquoi, à l’endroit des peintes, les sculpteurs et les poètes il s’en méfie. Car son désir, est qu’ils soient

fait, c’est-à-dire en vue de son avantage ou de son bien. Or, en tuant ou bannissant, il fait tout ce qu’il y a de plus contraire à son bien, puisqu’il fait une injustice. Il n’est donc ni puissant, ni heureux. — Cependant, réplique Polos, tout le monde tient pour un homme heureux le roi de Macédoine Archélaos, qui est parvenu au trône à force de crimes. — L’opinion du grand nombre ne compte pas ici, dit Socrate ; et pour dire si le grand roi lui-même est heureux, il faut connaître le fond de son