Apprenti Au Rite écossais Rectifié

travailler sur ma pierre cubique. En son centre, encore !, on trouve la lettre G . J’ai donc cherché à savoir la signification de cette lettre G et je vous avoue que l’on peut en imaginer des dizaines dans tous les rites, mais chez nous au Régime Ecossais Rectifié elle aura pour moi la seule signification du mot Géométrie ou cinquième science, comme indiqué dans le catéchisme de mon grade. Géométrie comme art qui a servi depuis les temps anciens à la construction des temples et des églises dans des proportions

pour réfléchir au lieu d’improviser, avons nous le temps ou la réflexion n’est-elle que l’apanage du vieux sage endormi ? La spontanéité d’action et la vivacité sont elles les fruits de la jeunesse, moins expérimentée et moins réfléchie car plus « apprentie en sagesse » ? L’« action permanente » doit-elle en réalité prendre le pas sur la réflexion ? La réflexion c’est bien sur l’art d’exercer la pensée car "l’homme est un roseau pensant" qui fléchit au gré du vent et des expériences de la vie.

déjà dans le « Tableau d’Apprenti » d’après Jules Boucher.Une Planche, Pourquoi ? A quoi cela sert-il ?Notre frère Frédéric Dumas, du Régime Ecossais Rectifié avait effectué un travail (Nous, nous disons Planche) sur ce sujet et je me permets d’en reprendre quelques points qui me semblent très intéressants. Ces points étant bien sûr adaptés au Rite Ecossais Ancien et Accepté.On fait une planche pour montrer :La Planche que l'on va faire est une création de soi-même, c'est un peu comme une œuvre

les ouvriers se réunissent pour se reposer, se restaurer, ranger leurs outils, parler des problèmes du chantier et préparer le travail du lendemain. C’est là aussi sans doute que les plus anciens, les compagnons, enseignent aux plus jeunes, les apprentis, les arcanes du métier : ces hommes ne savent ni lire ni écrire, mais possèdent une expérience et une connaissance intuitive de leur art qui constituent un vrai secret, notamment pour les plus habiles d’entre eux, les tailleurs de pierre que l’on

les ouvriers se réunissent pour se reposer, se restaurer, ranger leurs outils, parler des problèmes du chantier et préparer le travail du lendemain. C’est là aussi sans doute que les plus anciens, les compagnons, enseignent aux plus jeunes, les apprentis, les arcanes du métier : ces hommes ne savent ni lire ni écrire, mais possèdent une expérience et une connaissance intuitive de leur art qui constituent un vrai secret, notamment pour les plus habiles d’entre eux, les tailleurs de pierre que l’on

un peu la pelote. Et allons regarder du côté du sens figuré : avoir de l’aplomb, avoir confiance en soi, être solide dans ses convictions . N’est ce pas vers cet état que tend tout maçon, petite apprentie que je suis qui cherche son chemin, qui cherche son équilibre, qui cherche son aplomb, qui cherche à se perfectionner, à s’élever, à sortir de ce corps lourd qui me rattache encore au sol, comme ce plomb au bout de son fil qui pointe vers le bas

 la  Gloire  du  Grand  Architecte  de  l’Univers                                    Grande  Loge  de  France                    Rite  Ecossais  Ancien  et  Accepté          Respectable  Loge  xxxx                                          Orient  de  xxxx          

................................................................................... 10 1.2.1 Le « rituel »............................................................................................................................... 10 1.2.2 Le « rite » .................................................................................................................................. 11 1.2.3 Forme, support, contenu .................................................................................

de devenir, vu qu’elle répond à un besoin primordial de l’esprit humain. Il est donc évident que, dès les temps les plus reculés, les maçons ont formé des groupements corporatifs, et que, par la force même des choses, ils se sont divisés en apprentis, compagnons et maîtres. Quant à leur mission civilisatrice, elle s'est manifestée à un double point de vue : D'une part, les villes, protégées contre les assauts de la brutalité barbare par de solides murailles, devinrent des foyers d'activité pacifique

vérité… » Lc jour de ma réception au grade d’apprenti, les surveillants m’ont conduit de l’obscurité à la lumière, de l’Occident à l’Orient maçonnique. Ce jour-là j’ai commencé à voyager comme un apprenti pour chercher la lumière (Demande et réponses 33 et 34 du Catéchisme du Régime Écossais Rectifié). Cela n’est pas sans importance puisque cette marche vers l’Orient dont l’instruction nous dit : « qu’il signifie la source et le principe de la lumière que cherche le Maçon » me renvoie tout naturellement