Araignée de mer

Microsoft Word - Giovanna Corchia, P. Eluard[1].docGiovanna Corchia La Terre est bleue comme une orange. Paul Éluard: Lire la poésie. 2011Le bleu : c’est le ciel, c’est la mer, c’est le mariage entre ciel et mer. L’orange: c’est le fruit à la belle couleur chaude, c’est son goût , une fête pour le palais, c’est la rondeur, c’est la maternité, c’est la terre, mère nourricière, c’est le soleil pris au piège, c’est ce que nous arrivons à voir…

grossièreté triomphe trop souvent, où la brutalité s’étale, où le fort relatif écrase de son autorité temporaire le faible trempé jusqu’aux os ou brulé jusqu’à la moelle». La CGO elle-même reconnait le désordre du réseau: « Ce n’est même pas une toile araignée, c’est une perruque. (…) Comme un écolier, l’omnibus va, vient, tourne à droite, à gauche, revient sur ses pas, fait le tour des places et des carrefours, s’engage dans la rues les plus étroites et les plus encombrées et, pour varier encore la fantaisie

Bois 1939 Aventure , Romance 3 4 Le voleur de Bagdad 1941 Aventure , Fantastique 3 4 Le miracle sur la 34ème rue 1948 Comédie , Romance 3 4 Le trésor de la Sierra Madre 1949 Drame , Aventure 3 4 Les Dents de la mer 1976 Action , Epouvante-horreur , Thriller 3 4 Dracula 1993 Fantastique , Drame , Epouvante-horreur 3 4 King Kong 2006 Fantastique , Aventure 3 4 163 Grand Prix 1967 Action , Drame 3 3 Jurassic Park 1994 Aventure 3

l’air, qui n’en peut mais, et sa fureur extrême Le fatigue, l’abat : le voilà sur les dents. L’insecte du combat se retire avec gloire : Comme il sonna la charge, il sonne la victoire, Va partout l’annoncer, et rencontre en chemin L’embuscade d’une Araignée ; Il y rencontre aussi sa fin. Quelle chose par là nous peut être enseignée ? J’en vois deux, dont l’une est qu’entre nos ennemis Les plus à craindre sont souvent les plus petits ; L’autre, qu’aux grands périls tel a pu se soustraire, Qui périt pour

solutions dans le cadre d'un système où les corps célestes suivent leurs rondes immuables avec la régularité d'une horloge suisse. La Terre, avec ses marées prévisibles et ses saisons aurait donc été un stade où s'affrontèrent les mammifères, les araignées, les vers, les poissons et les oiseaux. Tous ces êtres auraient évolué uniquement à cause de la compétition entre les espèces, tous descendants d'un ancêtre commun, la créature unicellulaire primitive2. Refusant de croire que de terribles cataclysmes

dans l’histoire 1. LES TROIS SENS DU TEXTE Lis le texte suivant. Ensuite, nous répondrons aux questions ensemble. Dame Araignée en avait vraiment assez de sa voisine, Dame Hirondelle : celle-ci n’arrêtait pas de venir lui voler les mouches qui se prenaient dans SA toile ! Non mais, quelle impertinence ! Cela réclamait vengeance. « À défaut de mouches, se dit Dame Araignée, j’attraperai ma voleuse, et je la mangerai. » Aussi se mit-elle à tisser la plus large et la plus solide toile qu’elle eût

êsn hõn Jn • ⴰⵟⵕⴱⵓⵛ fez / ¢Tƒ l Ho ôr Wn • ⴰⵡⵍⴰⴼ image, photo / Il Qƒ n °Uo • ⴰⵟⵟⴰⵏ douleur, souffrance / Il ÉfÉ©eo ,ºl dn CG aa 90 • ⴰⵡⵍⴽ sac / ¢ù« l cp b g � d � � f k Æ h p o x q i awlilli ayll • ⴰⵡⵍⵉⵍⵍⵉ araignée / äƒ l Ño µn ær Yn • ⴰⵡⵜⵜⵓ frontière, limite / ál jn É¡n fp ,wóMn • ⴰⵡⵍⵉⵡⵍ solitude / ál dn õr Yo • ⴰⵡⵟⵟⵓ l ≤°So tombée / •ƒo • ⴰⵡⵔⴰ ! n ©n Jn viens ! / ! ∫É • ⴰⵡⵡⴰⵙ aide / Il ón YÉ n °ùn eo • ⴰⵡⵔⴰⵔ l °ûnn f activité

niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour Plus fortes que l'alcool, plus vastes

… … … … .. Il le prend par le bras, arrache le velours Des rideaux, et lui montre en bas les larges cours Où fourmille, où fourmille, où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle, Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer, 18 Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignant de bonnets rouges : L’Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle et suant qui chancelle debout, Malade

raidir contre le précoce, l’impérieux instinct de tout donner, contre la crainte que Philippe, de jour en jour changé, d’heure en heure plus fort, ne rompe la frêle amarre qui le ramène, tous les ans, de juillet en octobre, au bois touffu incliné sur la mer, aux rochers chevelus de fucus noir. Déjà il a une manière funeste de regarder son amie fixement, sans la voir, comme si Vinca était transparente, fluide, négligeable… C’est peut-être l’an prochain qu’elle tombera à ses pieds et qu’elle lui dira des