Arche de Noé

volontaires sont-ils vêtus ? Pourquoi ? Avec quoi contraste la couleur de leur vêtement ? Quelles impressions se dégagent du travail fourni par ces gens ? e. Pourquoi le quotidien a-t-il choisi ce document pour illustrer sa « une » ? BURKI, Arche de Noé contaminée, dessin de presse paru dans 24 heures, Lausanne. ▲ Vache folle : fièvre aphteuse : alimentation en danger ? Deux hommes pêchent dans un lac situé à côté de la fonderie de cuivre Karabache, en Russie, photographie, 1er août 1999

par une antithèse quantitative (tant de famille/deux) le rôle électif de la catastrophe : elle ne sauve que les « purs », les rares « élus ». Nous assistons véritablement à la création d’un monde nouveau, comme dans le mythe du Déluge (où seuls Noé et son arche survivent à la catastrophe). Le récit de cette « genèse » est amorcé par une formule « Il y avait dans ce pays…» (l . 3) qui a le même rôle que le « Il était une fois » des contes : le lecteur est plongé dans un passé lointain et indéterminé

migrations remontent il y a environ 1.8 mA vers l’Europe de l’Est, Proche-Orient et Asie, dans le but de trouver des territoires plus riches en fruits et en gibiers. - Il existe 3 modèles de migrations de l’homme moderne (homo sapiens) : -> « arche de Noé »: [il y a 150 000 ans] Départ de l'Afrique vers l’Asie ou l’Europe Occidentale. -> « Candélabre »: [vers 1.8 mA] Une seule vague de migration, puis évolution des populations qui se séparent vers l’homme moderne. -> « Intermédiaire»: 2ème

Gustave FlaubertRhinocéros ; Eugène IonescoLa vie révée de Walter Mitty : James thurberMa mère est un gorille : Frida nilssonL’animal machine : Descartes Jean de la Fontaine : le loup et le chien L’homme qui vit avec les animaux tarzan La bible arche de noé animaux créatures divines dépendante de l’homme il a le droit de vie et de mort sur ellesL’homme animal politique supérieur à toutes les espèces Aristote La politique l’homme vit pas en fct de ses instincts naturels donc est la supérieur aux animauxJohanna

du monde qui nous entoure. La Bible nous permet d’en saisir le sens spirituel et de connaitre celui qui en est l’initiateur et « l’accompagnateur » (symboliquement le septième jour)(3). Dieu a par exemple inspiré à Noé le premier moyen de transport par la construction d’un bateau (arche, Cfr. Genèse 6 : 13-16).                                                              Jacques – Daniel ROCHAT, Aide – conseils. Lire et étudier la Bible, éd. Entraid, Chexbres (Suisse), Oct.2008, p.26. Daniel VERNET

Le récit de Jean Joubert, Les Enfants de Noé , relate l’enfermement d’une famille dans un chalet à la suite d’une tempête de neige. La dramati- sation de l’aventure se double d’un jeu subtil sur la narration: c’est l’un des enfants, Simon, qui raconte et commente les événements sept ans après alors qu’il est étudiant à l’université, le discours argumentatif s’inscrivant ainsi dans la narration. Une narration changeante car, au fur et à mesure que la tension croît, celle-ci est déléguée au personnage

de narrateur, les constructions qui ménagent des ellipses et qui bousculent la chronologie. Telles sont les caractéristiques de l’ensemble des romans dans lesquels Giono s’engage avec Un roi et auxquels il donnera parfois le nom de « chroniques » (Noé, 1948 ; Les Ames fortes, 1950 ; Les Grands Chemins, 1951 ; Le Moulin de Pologne, 1953). Il s’expliquera plus tard sur ce tournant, dans une préface de 1962 : « Il s’agissait pour moi de composer des chroniques, ou la chronique, c’est-à-dire tout

maintenant la marque Lenzbourg sur le packaging. Comme pour Fruits G ourmands, la qualité du produit fut rehaussée pour accéder à l’extra haut de gamme et le packaging était totalement nouveau : forme cristalline, couvercle et étiquette cerclés d’or, nœ ud paquet cadeau, beau visuel sur l’étiquette, tout ceci se voulant très «statutaire» pour signifier le haut de gamme. Le prix fut aligné sur B onne M aman, soit 20% plus cher environ que la confiture de base de Lenzbourg positionnée sur le moyen de gamme

parenté « visibles ». S’impose comme une évidence l’hypothèse fixiste : le monde vivant n’a pas changé, les espèces ont toujours existé. 2° la religion qui va dans le même sens : les espèces existantes ont été créées par Dieu de toute éternité (cf arche de Noé). 3° le désir d’être un être à part, qui présuppose une hiérarchie des espèces et que l’homme ne descende pas de l’animal. Il a donc fallu une rupture épistémologique pour que l’histoire naturelle devienne une science : c’est la rupture opérée

animaux vinrent en la présence d’Adam, il les vit et donna à chacun son nom véritable ». C’est la « lingua adamica », langue originelle universelle, composante essentielle du dogme de l’unicité de la race humaine. -le Déluge : où Noé a-t-il bien pu construire son Arche ? Disparition de l’humanité. Et donc des langues. -la Tour de Babel et la malédiction qui a suivi : la confusion des langues qui élucide définitivement le mystère de la diversité des langues et donne naissance aux recherches utopiques