Architecture Et Temporalité

plus ou moins transversaux, se distingue nettement de la cognition par son aspect majoritairement conscient ou contrôlé, mais aussi par son aspect sémantiquement pénétrable (Yzerbyt, Lories & Dardenne, 1998). Par ailleurs, on estime que la même architecture doit être responsable de la cognition et de la métacognition de manière simultanée grâce aux boucles de rétro-propagation (Yzerbyt et al., 1998). Composante indéniable de tout apprentissage, la métacognition a longtemps été étudiée sans pour autant

Un territoire pour l’homme, Pierre Calame, éditions de l’aube, 1994 Urbanité et périphérie. Connaissance et reconnaissance des territoires contemporains, Chalas Yves, Ministère de l’Equipement, des Transports et du Logement, Plan Construction et Architecture (1997) Vers un développement durable : expériences et recommandations de sept régions européennes, A.R.P.E. Midi-Pyrénées,1997 Villes durables européennes, Groupe d’experts sur l’environnement urbain, Commission Européenne 1994 et 1996 Villes durables

publics précaires se situe au cœur de trois logiques/régulations : sécuritaire (Etat gendarme), sociale (Etat social) et autonomie individuelle (Etat réflexif) ; - POINTS FORTS ET POINTS FAIBLES DU MODELE « STRATES » - Les points forts de cette architecture comportant trois modèles d’Etat: 1. Rend compte de la dynamique historique, à savoir que l’Etat gendarme et l’Etat social ne sont pas « morts », ou disparus. On dépasse un évolutionnisme de facture simpliste. Le modèle des strates permet de penser

l’agglomération qui participe véritablement à « recoudre » les deux villes de Rabat et Salé. Effectivement, le « joyau architectural » créé par Foster & Partners sur lequel l’AAVB appuie toute sa campagne promotionnelle, constitue en réalité une architecture conçue selon les standards en vogue actuellement en Europe, visiblement en contradiction avec les formes urbaines et architecturales autour de la vallée, notamment avec les trames urbaines denses des médinas de Rabat et Salé. Figure 8 : Localisation

l’explique Christian Le Moënne : « la ‘révolution informationnelle’ amplifie la crise des modèles traditionnels d’organisation de la production et des échanges marchands, et, plus largement, disloque les conceptions des espaces organisationnels et des temporalités issues de la première révolution industrielle »[73]. Cette ‘révolution informationnelle’ propre à notre société contemporaine (« de l’information » et « de la connaissance ») participe donc au renouvellement des formes organisationnelles. 2

Pour lui il faut capter l’attention. Il nous renvoie dans un rapport à nous même. D’autre part, la mise en œuvre de ce type n’est pas sans renvoyer { une conception musicale de la peinture, puisque la disposition des formes donne une certaine temporalité. Le but final de ce travail pictural est de montrer un processus artistique mais surtout de révéler grâce à la couleur des émotions intenses, de les traduire picturalement. N°10, MOMA : On est dans une recherche de spiritualité, il trouvait

pas craindre ce très relatif déséquilibre, surtout à l’approche de la conclusion et au moment où l’on ouvre la perspective en prenant un peu de champ par rapport à la technicité d’analyses plus stylistiques. Un dispositif formel rigoureusement architecturé ne doit jamais s’imposer aux dépens de ce qu’appelle le texte et de ce que commande l’inspiration du moment. INTRODUCTION On oublie trop souvent que Le Cid est une tragi-comédie (tragédie à fin heureuse, de tonalité romanesque et héroïque),

tout d’abord aller de soi, se présenter à nous comme un fait : ne savons-nous pas en effet, en quelque sorte d’expérience ou par pur constat, qu’il existe des arts qui, comme leur nom l’indique, visent expressément la production d’œuvres belles (architecture, sculpture, peinture, musique, chorégraphie, poésie) ? Par ailleurs le terme d’art n’est-il pas devenu le plus souvent pour nous aujourd’hui, synonyme de beaux-arts ? Pourtant il suffit qu’on se demande : Qu’est-ce que le beau ? et Qu’est-ce que

tout d’abord aller de soi, se présenter à nous comme un fait : ne savons-nous pas en effet, en quelque sorte d’expérience ou par pur constat, qu’il existe des arts qui, comme leur nom l’indique, visent expressément la production d’œuvres belles (architecture, sculpture, peinture, musique, chorégraphie, poésie) ? Par ailleurs le terme d’art n’est-il pas devenu le plus souvent pour nous aujourd’hui, synonyme de beaux-arts ? Pourtant il suffit qu’on se demande : Qu’est-ce que le beau ? et Qu’est-ce

application e ee logicielle que comme un syst`me hypertextuel, et que pour cette raison, diff´rentes e e m´thodes de conception se sont d´velopp´es en mettant en avant diff´rents aspects, e e e e tous li´s au design web (design d’interactions, architecture de l’information, infograe phie, etc.), mais sans que ces m´thodes n’aient ´t´ mises en relation les unes avec e ee les autres. Ce qu’il propose donc, c’est un cadre permettant de mieux comprendre users, tasks, and the content of user interfaces