Argent Cupidité

conséquence. Les causes du développement de cette bulle spéculative sont diverses et profondes mais aussi, leurs impacts récessifs sur l’économie et l’instabilité sociale et politique dont elle est porteuse restent préjudiciables à plusieurs égards : cupidité ou crédulité aveugles des souscripteurs, responsabilité ou culpabilité des autorités, complicité ou alertes tardives des institutions professionnelles agrées et insuffisance dans le dispositif réglementaire d’une part puis, destruction de valeurs

« saintement », que le poète invoque comme une véritable divinité (« ô toi … » ), qui est désignée comme celle qui crée les hommes - attribut habituel de Dieu pour les chrétiens - ; l'autre qui « rit » pendant que les hommes meurent et ne s'intéresse qu'à leur argent, comme on le verra dans les tercets.        -L’observation de la ponctuation montre la présence, à partir du vers 7, de points d’exclamation traduisant l’indignation et l’émotion du poète.      - La versification joue aussi son rôle dans

aborde un problème grave et philosophique : les rapports entre argent et morale . On y retrouve donc le grand principe des œuvres classiques : plaire et instruire. - C'est aussi un drame (mélange entre comique et sérieux) voire une tragédie : avec la mort de l'innocence. Ce qui fait donc son intérêt c'est d'abord le mélange de tonalités. C'est aussi son actualité : les médias regorgent d'histoires d'exaction, de corruption : argent de la drogue, affaires autour du football, affaire du sang contaminé

derrière les valeurs d’union, de partage, de respect que représente le foot, se cachent les mêmes faiblesses qui régissent notre société aujourd’hui: jalousie, cupidité, soif de pouvoir, concurrence, besoin de reconnaissance… Enfin, nous sommes obligés de le rappeler :le football est un univers corrompu car qui dit foot dit forcément Argent : on se rappelle l’affaire OM-Valenciennes en 1993 dans laquelle des joueurs de Valenciennes ont confirmé avoir reçu une grosse somme d’argent en échange de quoi

l’enrichissement. Dans son livre La politique, Aristote souligne que le commerçant exerce dès lors une « profession qui roule tout entière sur l’argent, qui ne rêve qu’à lui, qui n’a d’autre élément ni d’autre fin, qui n’a point de terme où puisse s’arrêter la cupidité . » Autre philosophe utile à notre réflexion aujourd’hui, Thomas d’Aquin. Il est le principal représentant de la pensée scolastique, philosophie enseignée au Moyen Age. Il s’attache à défendre l’idée de propriété privée qu’il justifie en trois points

dépense et à une vie mondaine. La femme s’est tellement émancipée qu’elle en devient une mater familias, en quelque sorte, qui enferme son mari, l’infantilise, le soumet en le rendant financièrement dépendant à son « argent de poche », et va même jusqu’à contrôler son propre argent. De l’autre côté, l’homme, Vincent, désire et repousse à la fois le bonheur et la liberté, ne parvenant pas à accorder la vision précise qu’il a de ceux-ci avec la société et avec sa propre personne. Le retournement de

privilèges. » Don Juan ne respecte pas ce principe de charité lorsqu'il ne donne pas l'aumône spontanément ; par cette émission, il obligé le pauvre à quémander · « si vous vouliez, monsieur, me secourir de quelques aumônes »En insistant sur la cupidité de la demande avec la réplique suivante : · « Ah, Ah, ton avis est intéressé, à ce que je vois »Don Juan formule indirectement une critique des pratiques religieuses qui visent à obtenir quelque chose. J’ai pu voir ici une critique de la simonie

existe également six grands désirs qui animent les Hommes : * Désir de nourriture : la gourmandise * Désir de la chair : la luxure, concupiscence (désir vif des biens terrestres ;appétit, convoitise) * Désir de l’argent : la cupidité (désir de faire argent de tout) * Désir du pouvoir : l’ambition (désir ardent de réussite, réussite sociale) * Désir des honneurs : l’orgueil (arrogance, amour-propre, gloire) Il faut également citer le désir spirituel ou le désir de vérité : le désir

une amie qui le dépossède autant. Gouverneur : de Buenos-Ayres : Don fernando d’Ibaraa, y Figueora, y Mascarenes, y Lampourdos, y souza est très prétentieux et veut voler Cunéguonde à Candide mais il la change contre de l’argent, montrant ainsi sa cupidité. Voltaire l’affuble d’un nom si bizarre et stupide pour montrer son formalisme et sa classe sociale (voir aussi le baron). Baron, baronne : Les Thunder-ten-tronck sont aussi à l’origine de l’exclusion de Candide. Le baron incarne la vanité car il

du roman d'aventure en contant l'histoire de deux amants séparés qui cherchent à se rejoindre. Les épisodes s'enchainent avec rapidité, et servent de prétexte à une critique politique, religieuse et sociale. Qu'il s'agisse du fanatisme ou de la cupidité des pretres, des abus de la noblesse, de la bassesse des courtisans, de la vanité des despotes, de la venalité des ministres et des juges, Voltaire a toujours son coup de griffe à donner.   PERSONNAGES Candide : Il s'agit de l'héros du roman,