Argent Cupidité

variole mais transportant le virus. Ce choc microbien explique la majeure partie des morts amérindiens.Il ne faut cependant pas sous-estimer la violence des combats.Des millions d’hommes, femmes et enfants sont massacrés pour satisfaire la cupidité des Espagnols (or, argent, pierres précieuses…). Si l’accueil de l’empereur Moctezuma fut, dans un premier temps, bienveillant, il tenta cependant de résister militairement par la suite. En vain. La supériorité technologique espagnole dans un empire mexica affaibli

filles, qui partout et en toutes circonstances, laissent libre cours à leur imagination. La lâcheté des messieurs, qui profitent de l'innocence des jeunes filles, pour leur soutirer, dans un roman d'amour, leur vertu, et dans Eugénie Grandet, leur argent. (différence à noter) La victoire finale des valeurs de l'ambition au détriment de sentiments plus nobles, qui conduisent le cousin volage à épouser «moins profitable», que s'il avait choisi sa cousine. Le commerçant de province, fort d'une belle

La richesse est absente dans la tribu, Kino le sait bien, lui qui est un pêcheur de perles marié avec Juana, sa femme, ainsi que leur enfant Coyotito. Sa famille habite un endroit ou le bonheur est présent, mais sans argent, ils n'ont aucun moyen de payer un médecin ou bien des vetements. Pour eux, trouver une perle serait le commencement d'une nouvelle vit, un coup de chance. Un soir, Coyotito se fait mordre par un scorpion, la morsure n'est pas assez puissante pour qu'il périsse sur le

peuples . Les Amérindiens sont capables d'inventions mais on voit que ce qu'ils ressemble à notre culture « et nous faisons de même, nous ne voyons que ce qu'il imite de nous » ( ligne14) Absence d’intérêt or, argent ( ligne 57 » parce qu'il n'adore pas l'or et l'argent ) absence de cupidité n'est pas un signe de sauvagerie mais un signe de vertu. La notion de goût est subjectif. L’intempérance des Amérindiens a été provoquée par les Européen ils ont été encouragés. (ligne69, « et nous avons tous

homme ému da la lettre de sa mère, conscient du sacrifice financier consenti par les siens pour l’aider dans son ambition : « quand Eugène eut achevé cette lettre, il était en pleurs… il voulait renoncer au grand monde, il ne voulait pas prendre cet argent. » b)-la répulsion instinctive face à Vautrin Sa méfiance de provincial le sépare d’abord vivement de cet homme. Il ne supporte pas que celui-ci puisse lire dans ses pensées et il répugne d’être son débiteur (texte n°4).

miséreux. Il n’utilise ses relations que comme un pallier pour arriver a ses fins sans limites et se permet déjà de penser a tromper sa femme alors qu’il se trouve sous le toit d’une église. Ceci nous montre d’autre facettes de son caractère , la cupidité mais aussi son coté manipulateur et profiteur. Georges Duroy a basé son ascension sur les femmes en suivant les conseils de Forestier il a compris que «  c’est encore par elles que l’on arrive le plus vite ». Sa réussite ne se bas e donc ni

filles, qui partout et en toutes circonstances, laissent libre cours à leur imagination. La lâcheté des messieurs, qui profitent de l'innocence des jeunes filles, pour leur soutirer, dans un roman d'amour, leur vertu, et dans Eugénie Grandet, leur argent. (différence à noter) La victoire finale des valeurs de l'ambition au détriment de sentiments plus nobles, qui conduisent le cousin volage à épouser «moins profitable», que s'il avait choisi sa cousine.  Le commerçant de province, fort d'une belle

Dans La Curée , Zola nous entraine au cœur de la bourgeoisie parisienne sous le Second - Empire. Il se propose d’étudier la famille des Rougon-Macquart, s’intéressant autant à leur ascension sociale qu’à leur cupidité insatiable. A travers cette famille,

hérité une fortune colossale, les 300 millions de son mari. On découvre rapidement que le prince d'Orviedo a ramassé cette fortune d'une manière louche puisqu'il a mené toute une vie de vols effroyables. La riche veuve décide de rendre aux pauvres cet argent, en le dépensant à tour de bras dans des projets de charité, de restituer aux pauvres et aux déshérités les millions volés retrouvant par là même dans l'amour du pauvre un substitut de l'amour maternel qu'elle n'a pas pu éprouver. On retrouve ici

d'Ibaraa, y Figueroa, y Mascarenes, y Lampourdos, y Souza qu'ils prièrent de les marier. Celui-ci envoya Candide plus loin, avoua ses sentiments à Cunégonde et lui demanda de l'épouser. La vieille dame lui conseilla d'accepter pour lui prendre son argent. Mais à cet instant, la police espagnole débarqua : selon les bijoux volés, on reconnut Candide et Cunégonde, comme les meurtriers du grand Inquisiteur et de Don Issachar. Cunégonde resta pour se marier avec le gouverneur et la vieille dame avertit