Argument Libertinage

pas trop gardé ma parole » en parlant de sa fidélité, elle est au courant des liaisons de son mari ce qui ne la dérange pas. Nous pouvons donc parler d'une forme de libertinage,une des nouvelles idéologies dans les mœurs française. {text:soft-page-break} Ensuite afin d'étoffer ses idées, notre personnage principale utilise des arguments bien construit semblable à une plaidoirie d'une avocate habile et convaincante,c'est une femme que l'on peut classer dans la catégorie des Lumières. Durant sa plaidoirie

- satire de la crédulité du public : en effet le prestige de l’autorité des médecins tient à l’habit. - satire sur les médecins et inefficacité médicaments - cet épisode a une valeur de fable : fonde fallacieusement des croyances et libertinage (thématique de la pièce) remise en cause de l’existence de Dieu. - Sganarelle reçoit le lien entre l’impiété de Dom Juan à l’égard de la médecine et du ciel : passage constant d’un sujet à un autre 3. Cette scène a scandalisé les dévots du temps

C’est donc de cette manière que Molière a décidé de donné son opinion et de prendre parti du « libertinage » dans son œuvre  Don Juan. Cette pièce est la mise en scène du personnage devenu légendaire, Don Juan. Il est libertin ce qui signifie qu'il suit ses propres préceptes religieux, il a son propre sens de la moralité et il s'abandonne aux principes charnels tel est la définition du libertinage. Il défend l’infidélité est blâme la fidélité devant son auditoire avec une grande constance sans

de Candide du château en est un très bel exemple. Rappelons que Voltaire se sert beaucoup de sources Antiques et qu’une femme d’une très grande beauté nommée Hélène était la cause de la Guerre de Troie et de sa décadence. C’est une fois encore, un argument assez dépréciatif contre les femmes. Pangloss   " Le précepteur Pangloss était l’oracle de la maison. " Rien qu’avec ces quelques mots, Voltaire nous présente le personnage le plus amusant et le plus ridicule de tout le conte. Pangloss est un disserte

pauvre parce qu’il a fait le vœu de pauvreté par conviction. Cette scène sera d’ailleurs censurée jusqu’en 1819 car elle va nous révéler la dimension satanique et diabolique de Don Juan. Don Juan va tenter de séduire son interlocuteur grâce à des arguments déstabilisants : « Ah ! Ah ! Ton avis est intéressé, à ce que je vois » et lui conseillera de faire des prières matérialistes, et veut meme le faire jurer. L’ironie de Don Juan porte sur son faux étonnement de l’utilité de la prière. C’est de l’ingratitude

Didascalie= information : contexte, lieu (Sicile) Le théâtre représente un palais Découverte des valets, celui de done Elvire et celui de Dom Juan. L’arrivée de Dom juan est préparée : on assiste à sa présentation par son valet. Sganarelle commence à argumenter sur le tabac (qui est très à la mode). Il joue le maître devant Gusman, c’est une façon de commencer la conversation : l’argumentation est inutile, c’est un sujet facile à exploité. L’idée de l’honnête homme arrive (instruit, cultivé, charmant

extrait de la seconde scène du second axe, le « grand seigneur méchant homme » est sauvé de la noyade par un paysan, alors qu’il voulait conquérir la femme d’un autre. Fidèle à lui-même, Dom Juan séduit la promise de son hôte, témoignant ainsi de son libertinage de mœurs. Caricature des rencontres amoureuses ou accentuation sur la personnalité du héros, cette scène n’en reste pas moins comique. Aussi pouvons-nous nous demander comment Molière s’y prend t-il pour présenter son héros face à une femme

Tout deux aperçoivent la tombe du Commandeur, un homme que Dom Juan tua, et décide d'y entrer, tout deux entreprennent une discussion avec la statut du défunt et lorsque celle ci se mets a bouger, ils s'en vont, terrifiés. d) Quels sont les arguments utilisés par Sganarelle pour étayer sa croyance ? (16 lignes) Dans l'acte III, scène I, Sganarelle cherche à défendre devant Dom Juan, l'existence de Dieu. En effet celui ci se refuse a croire a toute forme de religion, il croit seulement

la citation de Saint Paul, Voltaire dénonce une tradition religieuse à l’origine de la condition de la femme. B – Une contestation catégorique de la soumission de la femme : La maréchale, après voir contesté la thèse adverse, développe des arguments personnels pour protester contre la soumission de la femme et montrer qu’elle n’a pas de justification logique. • Elle pose des questions rhétoriques : la première réclame une justification de cette situation : « et pourquoi soumises s’il vous plaît

puisque l’antique grec ignorait le tabac et elle donne le temps à la parodie burlesque. Celle-ci est renforcée par la construction rhétorique et l’éloquence de l’argumentation. Sganarelle annonce sa thèse (« il n’est rien égal au tabac ») qu’il argument à l’aide d’une période oratoire (« non seulement … mais encore … et « ) et d’une question rhétorique «  ne voyez-vous pas bien... partout où l’on se trouve » avant de conclure en disant « tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d’honneur