Argument Sexisme

donne à voir une suite d’arguments plus fallacieux les uns que les autres, mais avant même d’en venir aux arguments eux-mêmes, il est évident que la construction et l’agencement du texte n’est qu’une juxtaposition d’arguments sans cohérence les uns vis-à-vis des autres. De plus, nombre d’entre eux sont absurdes, l’argumentation apparaissant alors comme une forme vide. En effet, si les arguments sont en apparence logique, ils ne les sont qu’en apparence : « et ils ont le nez si écrasé qu’il est presque

persuader ou délibérer n Argumenter, c’est le fait de soutenir, réfuter ou discuter une opinion, une thèse. Convaincre, persuader et délibérer sont trois stratégies argumentatives différentes. Stratégie argumentative But Moyen Sollicitation du lecteur Convaincre amener une personne à penser profondément la même chose que soi - arguments rationnels : preuves logiques, nombre d’idées limité en vue d’une bonne compréhension - exemples clairs illustrant les arguments : références historiques

I. Thème, thèse, argument, exemple. A. Le thème et la thèse Le thème est le sujet principal traiter dans un texte et la thèse est l'opinion défendue par l'énonciateur. Exemple : L’éducation peut-être la thèse traitée, et l'affirmation selon laquelle : « l'éducation doit poser des limites » peut-être la thèse proposée sur ce thème. Exercice 1 : 1) La communication par internet : MSN, blogs est très utile de nos jours. La communication par internet est très utile pour

sigles utilisés. - Puis le texte de votre rapport. 3. Conseils de rédaction 3.1. Argumenter est indispensable ! Vous devez étayer votre rapport par une argumentation un argument est d’ordre analytique c'est-à-dire qu’il nécessite un développement pris sur le terrain. Ainsi votre rapport doit être un document ayant pour vocation de convaincre le lecteur. Il existe différents types d’arguments : Argument d’autorité : recours à l’expérience reconnue d’une personne ou d’une équipe, d’une

sur la tête » … l5 à 10. Puis dès le deuxième paragraphe, il énonce sa thèse, ses créatures monstrueuses « procèdent du jugement de Dieu » l11. Pour cela il utilise un argument d’autorité, on se réfère à une œuvre ou un personnage célèbre (indiscutable). Il s’appuie sur un texte biblique. Dans le 3e paragraphe, on a un argument de cause à effet entre 2 événements : la guerre et la défaite et la naissance d’un monstre. Or cette argumentation ne paraît pas rationnelle. En effet, elle s’appuie sur

réductrices et liés au regard ethnocentré. Ces considérations // quelques lieux communs // Le phénomène naturel // une idée imprévue // sombre, hérissé de dangers, très vague à cette opération Aristote = argument d’autorité l’époque de Rome = argument historique Leurs rois eux-mêmes les vendent = argument déduction Indiscutable = argumentation arbitraire (// autoritarisme, despotisme, tyrannisme) aucun étonnement marqué = Les réactions de l’auditoire = le lecteur est surpris par ce manque de réactions

qui ne vise que le résultat obtenu en l’espèce, la portée de l’arrêt est plus large et conduit à s’interroger sur l’avenir et les conséquences induites par la décision. Il faut ici être critique (en bien ou en mal), en justifiant ses dires par des arguments de droit ou de faits. Le plan dégagé, il faut rédiger les titres : – Les titres ne doivent pas comprendre de verbe conjugué et rester courts.- Les titres doivent être percutants, et compter si possible le même nombre et le même type de mots. –

au philosophe Sépulvéda qui lui au contraire les dénigrent. Dans un premier temps nous allons étudiez les arguments des deux adversaires, puis nous observerons les différentes stratégies argumentatives utilisées par les deux orateurs et dans un dernier temps, nous estimerons pour qui le cardinal qui préside le débat penche et qui semble l’emporter à la fin du débat. I. Les arguments des deux orateurs 1. Les thèses a) La thèse de Sépulvéda * Selon lui, les Indiens sont des « esclaves

notion d’autorité, dans une perspective sémantique et structurale, en partant du postulat qu’elle intervient non seulement au niveau rhétorique - on le sait depuis l’antiquité -, mais aussi au niveau sémantique de la langue. Pour Ducrot on utilise un argument d’autorité lorsque : 1. D’une part, on indique que P a déjà été, est actuellement, ou pourrait être l’objet d’une assertion, 2. D’autre part, on présente ce fait comme donnant de la valeur à la proposition P, comme la renforçant, comme lui ajoutant

Les hommes n’emploient leurs paroles que pour déguiser leurs pensées (Voltaire) Selon les bonnes mœurs, mentir est immoral. Néanmoins, tout le monde utilise parfois des mensonges. Voltaire va encore plus loin quand il dit que les hommes n’emploient leurs paroles que pour déguiser leurs pensées. Est-ce vrai ? Et si cela est le cas, pouvons-nous justifier cette dissimulation ? D’abord, nous regarderons comment l’homme peut cacher ses idées par l’intermédiaire de la langue. Ensuite, nous considérons