Arguments Therese Raquin

récompense de ses services, Louis XIV lui attribue le domaine de Maintenon, qu’il érige pour elle en marquisat. Belle, pleine d’esprit, elle séduit le roi qui l’épouse en secret après la disgrâce de la marquise en 1684 et la mort de la reine Marie-Thérèse d’Autriche. Vivant en marge de la cour, son influence sur le roi est néanmoins très forte, ce qui lui vaut la haine de beaucoup de grands dont la princesse palatine. Elle est critiquée comme renégate tombée dans la bigoterie, en voulant faire du roi

récompense de ses services, Louis XIV lui attribue le domaine de Maintenon, qu’il érige pour elle en marquisat. Belle, pleine d’esprit, elle séduit le roi qui l’épouse en secret après la disgrâce de la marquise en 1684 et la mort de la reine Marie-Thérèse d’Autriche. Vivant en marge de la cour, son influence sur le roi est néanmoins très forte, ce qui lui vaut la haine de beaucoup de grands dont la princesse palatine. Elle est critiquée comme renégate tombée dans la bigoterie, en voulant faire du roi

hasard si c’est à cette date que se précise chez lui un discours naturaliste qui cherche dans la science sa légitimation, discours réitéré chaque fois qu’il lui faudra prendre la parole contre la censure? Le deuxième épisode concerne son roman Thérèse Raquin. Le texte a d’abord paru sous un autre titre, Un Mariage d’amour, en août, septembre, octobre 1867 dans la prestigieuse revue littéraire d’Arsène Houssaye, L’Artiste : «c’est, je crois, ce que j’ai fait de mieux jusqu’à présent. Je crains même

1820 → le 2e romantisme LE ROMANTISME 1830 1830 → le 3e romantisme • 1761 – Julie ou la Nouvelle Héloïse – J.J. Rousseau Livre écrit par lettre (littérature épistolaire ; lit par femmes dans ses réunions). Argument : Abélard (moine) est tombé amoureuse d’Héloïse mais ils ont une relation impossible parce qu’Abélard était condamné parce qu’il juré d’être moine (donc les moines ne peuvent pas avoir des relations charnels). • 1800 : Époque où le romanticisme

qu’il considère comme la religion "la plus poétique, la plus humaine, la plus favorable à la liberté, aux arts et aux lettres". L’excellente réception du livre par le public le doit plus au style et à l’esprit de l’auteur qu’à la rigueur de ses arguments. L’ouvrage-clé de Chateaubriand, ce sont les Mémoires d’Outre-Tombe (1849-1850), qui ne seront publiées qu’après sa mort. Ces Mémoires sont en fait les mémoires de l’auteur lui-même, achevées en 1841, et qu’il traite en trois grandes parties : "Mon

confidence la plus grave (Requiem, 1962). De ses sept romans, Thomas l'Imposteur (1923), qui conte l'histoire d'un jeune homme trichant sur son identité, est le plus connu. Cocteau découvrit le spectacle avec les Ballets russes, qui jouèrent son argument, Parade (1917), les Enfants terribles (1929), les Parents terribles (1938), le Sang d'un poète, la Belle et la Bête . Le reste de son théâtre oscille entre la modernisation de sujets antiques ou historiques (la Machine infernale, 1934 ; l'Aigle à

fois à la tribune de la Chambre des pairs : « Un roi nommé par les Chambres ou élu par le peuple sera toujours, quoi qu’on fasse, une nouveauté… Je propose le duc de Bordeaux tout simplement comme une nécessité de meilleur aloi que celle dont on argumente…Je reconnais au malheur toutes les sortes de puissance, excepté celle de me délier de mes serments de fidélité ». 5 Déclin de la carrière politique En 1831 et 1832, Chateaubriand publie pas moins de quatre livrets, qui ont connu un grand succès

belle au travail du style, à sa musicalité, en vidant partiellement le roman de son contenu narratif. Là encore, l’enseignant pourra demander aux élèves d’établir un « récapitulatif » des principales œuvres naturalistes : – 1873 : Émile Zola, Thérèse Raquin ; – 1877 : Émile Zola, L’Assommoir ; – 1883 : Guy de Maupassant, Une vie ; – 1894 : Jules Renard, Poil de Carotte. L’orientalisme et les récits de voyage Le XIXe siècle est habité par l’attrait des pays étrangers, et de l’Orient notamment

préhistoriques aux noms barbares, pour aboutir finalement au simius sapiens, qui formait les trois pointes extrêmes de l’évolution : le chimpanzé, le gorille et l’orang-outan. C’était très clair. - Sur la Terre, j’avais souvent entendu invoquer des arguments exactement opposés pour expliquer la supériorité de l’homme. Après réflexion, toutefois, le raisonnement de Zira ne m’apparut ni plus ni moins convaincant que le nôtre. II- Les familles simiennes La société des singes est constituée de trois

une injustice : il s’agit de mettre en lumière ce monde sous un monde (l. 5) interdit de représentation, dédaigné par les écrivains qui l’ont considéré comme indigne, trop bas, trop peu noble (l. 11-13). Or, soulignent-ils, et c’est leur deuxième argument, leur époque (la deuxième moitié du XIXe siècle) ne reconnaît aucune « caste », aucune aristocratie légale (l. 17), l’exclusion du peuple de la littérature romanesque entre donc en contradiction avec le droit dans un temps de suffrage universel,