Arias Bruyère

l’homme : la bruyère : caractereLes écrivains peuvent critiquer la société, non pas a travers le théâtre comme Molière mais à travers les texte, dans lesquelles ils pourraient dénoncer l’hypocrisie, l’abus de pouvoir et la fausse dévotion très courante au 17e siècle. C’est ce que fait la Bruyère dans son œuvre « les caractères ». En effet, les personnages sont très stéréotypées de façon à mettre en valeurs leurs défauts. On retrouve par exemple Ménalque le distrait, Acis le précieux, et Arias, celui quiconnait

(→chap qui étudie le comportement, examine les relat°, ses constat° : incapacité des h à s’écouter, tendance exhiber leurs connaissances, parole= outil domination, servant querelles ● avant nou avosn vu 2 bavards redoutables : Acis=qu on cmprendpas et Arias qui prétend tout savoir ● ds ce chap : LB dessine à travers maximes et portraits satirique contre modeles de la fig de l’honnête h(= cultivé, convenable, et qui n’essaie pas de paraître ce su’il n’est pas), dont c la 12e rmq portraits de Théodecte

l’aspiration au bonheur • Blaise Pascal, Pensées (p. 368 ES/S et Techno / p. 370 L/ES/S) • Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 370 ES/S et Techno / p. 372 L/ES/S) • Charles de Saint-Évremond, Sur les plaisirs (p. 378 ES/S et Techno / p. 380 L/ES/S) Pistes de lecture – Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 393 ES/S et Techno / p. 395 L/ES/S) Corpus bac (Séries générales) – Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 394 ES/S / p. 396 L/ES/S) Les différents genres représentés Théâtre Poème didactique

sauf la turque et l'esclavonne, en 1636, Horace et Cinna en 1639, Polyeucte en 1640, le Menteur en 1642, Rodogune en 1646. Fontenelle, Taschereau et Guizot ont écrit chacun une Vie de Corneille ; Voltaire a publié ses œuvres avec un Commentaire ; La Bruyère, Racine, Gaillard, Bailly, Auger, Victorin Fabre ont composé son Éloge. Sainte-Beuve a consacré au Cid quatre Nouveaux Lundis. La vieillesse de Corneille fut attristée par la pauvreté et par la jeune gloire de Racine que les jaloux opposaient à la

Ruy Blas Victor HUGO www.livrefrance.com Personnages RUY BLAS DON SALLUSTE DE BAZAN DON CÉSAR DE BAZAN DON GURITAN LE COMTE DE CAMPOREAL LE MARQUIS DE SANTA-CRUZ LE MARQUIS DEL BASTO LE COMTE D'ALBE LE MARQUIS DE PRIEGO DON MANUEL ARIAS MONTAZGO DON ANTONIO UBILLA COVADENGA GUDIEL UN LAQUAIS UN ALCADE UN HUISSIER UN ALGUAZIL UN PAGE DONA MARIA DE NEUBOURG, reine d'Espagne LA DUCHESSE D'ALBUQUERQUE CASILDA UNE DUÈGNE DAMES, SEIGNEURS, CONSEILLERS PRIVES, PAGES, DUÈGNES, ALGUAZILS, GARDES, HUISSIERS

Comme tu dis, ce parc est bien triste le soir, Et les murs sont si hauts, qu'ils empêchent de voir. – Oh ! L'ennui ! On entend au dehors un chant éloigné. Qu'est ce bruit ? CASILDA. Ce sont les lavandières Qui passent en chantant, là-bas, dans les bruyères. Le chant se rapproche. On distingue les paroles. La reine écoute avidement. VOIX DU DEHORS. À quoi bon entendre Les oiseaux des bois ? L'oiseau le plus tendre Chante dans ta voix. Que Dieu montre ou voile Les astres des cieux ! La plus pure étoile

Comme tu dis, ce parc est bien triste le soir, et les murs sont si hauts, qu’ils empêchent de voir. -oh ! L’ennui ! On entend au dehors un chant éloigné. Qu’est ce bruit ? Casilda. Ce sont les lavandières qui passent en chantant, là-bas, dans les bruyères. Le chant se rapproche. On distingue les paroles. La reine écoute avidement. Voix Du Dehors. à quoi bon entendre les oiseaux des bois ? L’oiseau le plus tendre chante dans ta voix. Que Dieu montre ou voile les astres des cieux ! La plus pure étoile

mêmes acteurs. […] Il s’avance déjà sur le théâtre d’autres hommes qui vont jouer dans une même pièce les mêmes rôles. Ils s’évanouiront à leur tour. Et ceux qui ne sont pas encore, un jour ne seront plus. De nouveaux acteurs ont pris leur place (La Bruyère, Les Caractères) La vie offre de multiples exemples de répétitions, de récurrences, d’effets de résonance et de spécularité. Le théâtre aussi. Échos, reflets, situations mimétiques enchâssées dans des événements vécus en direct, impressions impalpables

1658, la première visite d’une personnalité de sang royal, celle de la reine de Suède qui tient à montrer quel intérêt elle porte aux lettres ; ensuite une élection singulière, celle du duc de Coislin reçu à seize ans ou encore le discours de La Bruyère à l'Académie le 15 juin 1693 qui raviva la querelle des Anciens et des Modernes[*]. Richelieu qui s’était proclamé protecteur de l’Académie, aimait la gloire sous tous ses aspects. Il voulut prendre sous sa protection ces intellectuels pour les

de Louis XIV, dans lequel il proclame la primauté de la littérature du temps, s’engage une polémique. Les partisans de la suprématie antique se recrutent surtout à la Cour et dans la génération classique (Boileau, Racine, La Fontaine, Bossuet, La Bruyère). Leurs adversaires sont plutôt des auteurs jeunes (Charles Perrault, Fontenelle), des mondains et des amateurs de genres nouveaux (opéra, contes, romans). Vers 1700, l’antagonisme s’apaise, sans victoire nette. Un épilogue a lieu en 1714-1716 à propos