Aricie

s’annuler ni se reprendre, elle fait entrer dans le temps de façon irréversible. Résumé de l’œuvre : Voilà six mois que Thésée a quitté Athènes dont il est le roi. Son fils Hippolyte est sur le point de partir à sa recherche et de fuir la jeune Aricie dont il s'est épris. Phèdre, épouse de Thésée, croit ce dernier mort ; libérée par cette nouvelle, elle se laisse aller à avouer à Hippolyte, son beau-fils, la passion coupable qu’elle éprouve pour lui. Cet aveu met bientôt Phèdre dans une situation

chevaux  Etymologie de H « qui délie les chevaux » Conclu : La vivacité du récit et l’alternance de tableaux réalistes et merveilleux traduisent le caractère héroïque d’H, victime de son innocence, de l’aveuglement paternel et de son amour pour Aricie. Fin de la scène 6 est marquée par les forces du destin. Le récit de Th constitue la 1° partie d’un dénouement qui poursuivra sa route fatale ac le suicide de Ph

Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival (Aricie dans Phèdre). Cette rivalité se double souvent d'une rivalité politique, sur laquelle Racine n'insiste guère. Dans ce cadre aristocratique qui, à partir de Bajazet devient un lieu commun prétexte à la naissance d'une crise, les personnages apprennent

[Racine, Andromaque] 3) Briguer : Convoiter, chercher à obtenir quelque chose, désiré. Exemple 1 : « Tous vos rois à l'envi briguent votre hyménée ». [Corneille, Sertorius] Exemple 2 : « On dit même qu‘au trône une brigue insolente ; Veut placer Aricie et le sang de Pallante. » [Racine, Phèdre] 4) Courroux : Sentiment d'irritation : s'emploie en poésie et dans le style soutenu. Exemple 1 : Un esclave doit craindre le courroux de son maitre. Exemple 2 : « Je ne condamne plus un courroux

ses vœux. Le malheureux père n'est que trop écouté ; un monstre affreux, suscité par les dieux des mers, effarouche les chevaux ; Hippolyte est renversé de son char, et périt victime des fureurs d'une marâtre et de la crédulité d'un père. Aricie, fille de Pallas. Princesse athénienne, de la famille des Pallantides, qui avaient été détrônés par Thésée, était aimée d'Hippolyte, qui l'épousa lorsque Asclépios l'eut ressuscité. Elle laissa son nom, selon la mythologie, à une petite ville (Aricia)

précisée par des didascalies, se devine à travers la ponctuation. La jalousie de Phèdre dans l’œuvre de Racine est ponctué par de nombreux points d’interrogation et d’exclamation. Cela marque la violence de ses sentiments ainsi que sa haine envers Aricie, l’amante d’Hyppolite devenue sa rivale. Il n’est pas nécessaire de se rendre sur la scène pour comprendre cette jalousie. La représentation théâtral ne constitue donc qu’un appuie visuel ou auditif par rapport à ce qui est précisé dans le texte.

bénéficiaire (le destinataire) qui peut être lui-même ou un autre (ou un idéal). À noter que des rôles peuvent être cumulés par un personnage. Exemple simplifié : Phèdre, l’héroïne de Racine, poussée par sa passion, aidée par Œnone et freinée par Hippolyte, Aricie et Thésée, agit pour obtenir l’amour d’Hippolyte dans le but d’atteindre au bonheur.

Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival (Aricie dans Phèdre). Cette rivalité se double souvent d'une rivalité politique, sur laquelle Racine n'insiste guère. Dans ce cadre aristocratique qui, à partir de Bajazet, devient un lieu commun prétexte à la naissance d'une crise, les personnages apprennent

provoque des bouleversements dans la famille de Thésée comme le bannissement d'Hippolyte et la crainte implicite de celui-ci devant le silence inquiétant de Phèdre (jusqu'à l'acte II). Hippolyte pour sa part, en gardant le silence sur son amour pour Aricie incite Phèdre à lui avouer sa passion. Lorsqu'Hippolyte avoue enfin sa passion à Thésée, sa parole a deux conséquences: la méfiance et l'incrédulité de Thésée, et surtout la décision de Phèdre de garder un silence criminel devant Thésée en raison

Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival (Aricie dans Phèdre). Cette rivalité se double souvent d'une rivalité politique, sur laquelle Racine n'insiste guère.