Aristide Bergès

opère alors un changement de stratégie. 1925-1933 : temps de détente De 1925 à 1933, l’heure est à la détente entre les deux pays. Cette nouvelle orientation diplomatique est notamment portée par Stresemann et son homologue du quai d’Orsay, Aristide Briand. Ce dernier fait le constat de l’affaiblissement général de la France : économique, démographique et diplomatique. La France ne peut se permettre une nouvelle guerre et doit donc trouver un terrain d’entente avec l’Allemagne. En 1925, l’armée

Mailhé, entonne les trompettes des temps quasi messianiques : « Ce texte est l’aboutissement d’une très longue lutte menée par des hommes de bonne volonté contre certains aspects abominables des relations humaines. » Cette fois-ci, on pense à Aristide Briand et son tonitruant « guerre à la guerre » des années 1920. On s’enfonce dans les bons sentiments. Personne ne peut remonter le courant ; personne, pas même le lettré et très conservateur président Pompidou. La loi du 1er juillet 1972 s’inscrit

textiles, il veut réagir contre les pratiques commerciales des boutiquiers de l’époque : vendre à la tête du client, marchander, prendre de gros bénéfices sur les petites quantités, se faire une gloire d’écouler un article défraîchi à un client naïf… Aristide Boucicaut fit de nombreux émules : Jules Jaluzot (Le Printemps, 1865), Les époux Cognacq-Jay (La Samaritaine, 1872), Alphonse Kahn et Théophile Bader (Les Galeries Lafayette, 1895). À la fin du XIXe siècle, la formule est implantée aux États-Unis

mur de rocher, il se trouvait tourné du côté de la terre, il la considéra. Elle était devant lui à perte de vue, plate, glacée, couverte de neige. Quelques touffes de bruyère frissonnaient. On ne voyait pas de routes. Rien. Pas même une cabane de berger. On apercevait çà et là des tournoiements de spirales blêmes qui étaient des tourbillons de neige fine arrachés de terre par le vent, et s'envolant. Une succession d'ondulations de terrain, devenue tout de suite brumeuse, se plissait dans l'horizon

mur de rocher, il se trouvait tourné du côté de la terre, il la considéra. Elle était devant lui à perte de vue, plate, glacée, couverte de neige. Quelques touffes de bruyère frissonnaient. On ne voyait pas de routes. Rien. Pas même une cabane de berger. On apercevait çà et là des tournoiements de spirales blêmes qui étaient des tourbillons de neige fine arrachés de terre par le vent, et s'envolant. Une succession d'ondulations de terrain, devenue tout de suite brumeuse, se plissait dans l'horizon

rocher, il se trouvait tourné du côté de la terre, il la considéra. Elle était devant lui à perte de vue, plate, glacée, couverte de neige. Quelques touffes de bruyère frissonnaient. On ne voyait 39 pas de routes. Rien. Pas même une cabane de berger. On apercevait çà et là des tournoiements de spirales blêmes qui étaient des tourbillons de neige fine arrachés de terre par le vent, et s’envolant. Une succession d’ondulations de terrain, devenue tout de suite brumeuse, se plissait dans l’horizon

textiles, il veut réagir contre les pratiques commerciales des boutiquiers de l’époque : vendre à la tête du client, marchander, prendre de gros bénéfices sur les petites quantités, se faire une gloire d’écouler un article défraîchi à un client naïf… Aristide Boucicaut fit de nombreux émules : Jules Jaluzot (Le Printemps, 1865), Les époux Cognacq-Jay (La Samaritaine, 1872), Alphonse Kahn et Théophile Bader (Les Galeries Lafayette, 1895). À la fin du XIXe siècle, la formule est implantée aux États-Unis

de poétique, Paris, Livre de Poche, 1993, p. 179. 167. Bonnefis, P., L’Innommable, op. cit., p. 122. 168. Nous mettons une majuscule au mot « Moi » parce que P. Bonnefis a recours aux concepts psychanalytiques. 66 dans La Curée. Zola transforme Aristide Rougon en spéculateur de génie en le dénommant Saccard. Comme nous le rappelle P. Bonnefis, « le spéculum169 » signifie le miroir en latin. Par conséquent, Saccard renvoie implicitement à la fragilité identitaire du stade du miroir. En écrivant ses

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seule superpuissance, les États-Unis. Mais ces derniers sont-ils pour autant tout-puissants ? 85 ES/L CHAPITRE 11 La construction européenne INTRODUCTION plaisant les espoirs d’union européenne suscités par la SDN entraînée par Aristide Briand. 1) Comment traiter le chapitre Doc. 2 : L’Europe, un vieux rêve Le présent chapitre a pour objectif de faire comprendre comment, de 1945 à 1989, l’Europe de l’Ouest, espace complexe par son histoire et meurtri par la Seconde Guerre