Aristide Briand

peignant tous les gens qui l’entourent. Il prend des cours de dessin à Paris, à Montmartre : il y découvre la vie quotidienne des prostituées. Il a énormément de talent et dessine des décors de thêatre, des portraits des stars de l’époque comme Aristide Bruant (chanteur), Jane Avril (danseuse) et Yvette Guilbert (actrice de music-hall). Il est le précurseur de l’affiche moderne du 20ème siècle (le premier à l’avoir inventé). Travailleur acharné, il était malheureusement également alcoolique.

faire quelque chose de plus. ( Est fondé le « Pacte Briand Kellogg ». = Le pacte Briand-Kellogg fut signé le 27 août 1928 à Paris et entra en vigueur le 24 juillet 1929. Les 15 pays signataires "condamnent le recours à la guerre pour le règlement des différends internationaux et y renoncent en tant qu'instrument de politique nationale dans leurs relations mutuelles". Le ministre des Affaires étrangères français, Aristide Briand, dans un discours du 6 avril 1927 adressé au peuple américain

soit celui d’un évêque. Mgr Briand, vicaire général du diocèse, est apprécié par les autorités britanniques surtout à cause de son attitude bienveillante envers elles. Cependant, un autre candidat est choisi par le Chapitre des chanoines de Québec en la personne d’Étienne Montgolfier, vicaire général de Montréal. Ce dernier n’est pas le candidat du gouverneur Murray. Devant l’indisposition de Murray à son égard, Montgolfier démissionne. On le remplace par Mgr Briand. Londres refuse néanmoins d’accorder

Au lendemain du putsch de 1991, qui a conduit le président Jean Bertrand Aristide en exil, on croyait fatiguer avec les manœuvres de l’armée qui créent une instabilité politique dans le pays. Prévu par les constituants de 1987, les Forces Armées d’Haïti (FAd’H) est une force répressive dont sa fusion avec la police hypothéquait la mise en place d’un État de droit et le développement du processus démocratique. Avec la volonté de faire séparer les forces armées de la police comme le souligne la

bcps d’espoirs d’une sécu collective = « esprit de Genève » incarné par Briand = « pèlerin de la paix » (ministre des Affaires Etrangères Fr) pacte Locarno (25) : Alsace-Lorraine  Fr entré All  SDn en 26 pacte Briand-Kellogg 28  G « hors-la-loi » III. la faillite de la SDN dégrada° du climat intale : crise de 29 ° agression dictatures/> tensions + paralyse ac° SDN  projet de fédéra° europ enterré (lancé par Briand) en 30 invasion de la Manchourie par le Japon en 33  quitte la SDN  />

Tchécoslovaquie). Ces pays se promettent un « pacte de stabilité » des frontières, des conventions d’arbitrage et des alliances. Une sécurité collective à petite échelle qui ne va pas vraiment dans le sens universel de la Société des Nations. 1928 : Pacte Briand-Kellogg (63 pays dont les Etats-Unis). Afin de pallier à l’absence du géant américain, ce pacte dit « de renonciation générale à la guerre » fait défaut au caractère unique de la Société des Nations. La sécurité collective de la société des nations

ces accords garantissaient les frontières européennes, en particulier celles de la France et de la Belgique avec l'Allemagne. En 1926, la France, accepta enfin l'admission de l'Allemagne à la SDN. Autre symbole du pacifisme à son apogée : le pacte Briand-Kellogg du 27 août 1928, était un pacte de « renonciation générale à la guerre » dont les membres s'engageaient à résoudre tous les conflits « de manière pacifique ». Pour conclure, quelques articles nous permettent de nous interroger sur l’effective

totale de la guerre. En ce sens, le Pacte de la SDN conditionne le recours à la guerre, mais sans l’interdire. Par ailleurs, il faut constater qu’il ne comporte aucune disposition relative à la légitime défense. C’est la Convention de Paris11, ou Pacte Briand-Kellogg, du 26 août 1928 qui s’est imposée pour combler les « fissures » du Pacte de la SDN et qui va poser indirectement, mais effectivement, le problème de la légitime défense. Selon l’article premier de cet accord, « [l]es Hautes Parties contractantes

totale de la guerre. En ce sens, le Pacte de la SDN conditionne le recours à la guerre, mais sans l’interdire. Par ailleurs, il faut constater qu’il ne comporte aucune disposition relative à la légitime défense. C’est la Convention de Paris11, ou Pacte Briand-Kellogg, du 26 août 1928 qui s’est imposée pour combler les « fissures » du Pacte de la SDN et qui va poser indirectement, mais effectivement, le problème de la légitime défense. Selon l’article premier de cet accord, « [l]es Hautes Parties contractantes

totale de la guerre. En ce sens, le Pacte de la SDN conditionne le recours à la guerre, mais sans l’interdire. Par ailleurs, il faut constater qu’il ne comporte aucune disposition relative à la légitime défense. C’est la Convention de Paris11, ou Pacte Briand-Kellogg, du 26 août 1928 qui s’est imposée pour combler les « fissures » du Pacte de la SDN et qui va poser indirectement, mais effectivement, le problème de la légitime défense. Selon l’article premier de cet accord, « [l]es Hautes Parties contractantes