Armée de libération du Soudan

mobiliser les ressources physiques et morales pour obliger un autre acteur à faire quelque chose qu’il ne ferait pas autrement (acte de volonté) …. Ressources matérielles  Notion relationnelle  Puissance attributive : attribut d’un État : pétrole, armée  Capacité de contrôler  Capacité structurelle (d’influencer) : contexte idéologique, l’idéal à poursuivre, pas de volonté o LA PAIX VS LA GUERRE 3 Réflexions sur les relations internationales – REL129 o La paix commence là où se termine

Etat A estime qu’il y a une partie du territoire B échappe au contrôle de ce même Etat B. C’est la première étape vers la possibilité d’accéder à l’indépendance. Enfin avec la reconnaissance d’un mouvement de libération nationale quand on reconnaît un peuple comme étant un mouvement de libération nationale ça veut dire que ce peuple a vocation à devenir indépendant et qu’il est protégé par le droit international. Paragraphe 3 : LA SUCCESSION D’ETAT Posée au moment de la décolonisation, droit influencé

Dans la foulée du combat pour l’indépendance, une telle orientation paraissait raisonnable et prometteuse. Avec le recul, il faut bien constater qu’elle fut calamiteuse. Les élites du monde arabo-musulman n’allaient obtenir ni développement, ni libération nationale, ni démocratie, ni modernité sociale ; rien qu’une variété locale de stalinisme nationaliste qui ne possédait rien de ce qui avait fait le rayonnement mondial du régime soviétique – ni son discours internationaliste, ni sa contribution

d'opportunités au gré des objectifs de circonstances. La non-concrétisation de ce "vœu pieux" a conduit finalement les chefs de l'armée et les services du DRS au recours à la diabolisation du FIS et à l'instrumentalisation de la violence islamique armée. Cette alternative fut préparée et mise en place dès novembre 1990 par le général Smaïn Lamari (il était lieutenant-colonel à l'époque) avec la bénédiction de ses chefs, les généraux Mohamed Médiène dit "Toufik" et Larbi Belkheir, et avec le consentement

d’exercice Elles concernent deux aspects : les moyens de lutte pour accéder à l’indépendance les principes à respecter au moment de l’indépendance a) Les moyens de la lutte Les Nations unies ont tout d’abord reconnu les mouvements de libération nationale qui se distinguent des rebelles qui agissent pour faire sécession : ces mouvements sont légitimes. Les Nations Unies les acceptent avec un statut d’observateurs. Elles ont aussi reconnu les usages de la force pour accéder à l’indépendance

21 juin : David Ben Gourion se retire de la vie politique et va s'installer définitivement au kibboutz Sde Boker dans le Néguev. Levi Eshkol, qui appartient au Mapaï devient premier ministre. 1964 28 mai : Fondation de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine) qui décide l'intensification de la lutte des Palestiniens contre Israël[10]. 1966 Octobre : L'écrivain israélien Shmuel Yosef Agnon reçoit le prix Nobel de littérature. Novembre : Accord militaire égypto-syrien La guerre

permanente d’arbitrage Les conférences de La Haye posent des principes toujours en vigueur concernant le droit de la guerre = création d’un mécanisme d’arbitrage permanent entre les Etats. Les Etats européens s’engagent avant d’avoir recours à la force armée de saisir la cour permanente d’arbitrage. En 1914, l’empereur de Russie l’a proposé en même temps de déclarer la mobilisation générale. A la veille de 1914, le conflit mondial est inéluctable : triple entente contre triple alliance, ça ne pouvait que

désignait les organisations de défense collective des cités grecques. Elles étaient créées par traité, et elles prévoyaient le nombre de soldats que devait mobiliser une cité en cas de conflits, et préciser les conditions d’utilisation de cette force armée. On retrouve dans certaines de ces alliances, des éléments juridiques du fédéralisme moderne, tel que l’égalité entre les membres signataires, l’obligation de respecter les décisions communes. L’exemple le plus connu de symmachie est la ligue de Délos

car nous entendons bien la voir se maintenir chez nous et s’y développer », le Maghreb comme terre de coopération, « Mais la communauté de pensées, de buts et de destins est telle entre les trois peuples d’Afrique du Nord et leurs mouvements de libération, qu’en parlant d’une partie on parle nécessairement du tout et inversement ». L’auteur analyse aussi l’impérialisme comme agression permanente, les problèmes des pays sous-développés, « Un autre trait commun est né d’une espèce de conscience

« protège » la Tunisie). L’Empire ottoman s’engage dans les réformes, à l’imitation de l’Europe, mais aussi dans les emprunts qui l’asservissent à elle. Il est désormais trop affaibli pour constituer un quelconque danger. L’Europe peut favoriser la libération des Balkans. La guerre de 1914 achève le grand travail de l’Europe. De l’Empire ottoman il ne reste plus, à son terme, qu’une Turquie réduite au plateau anatolien. Le Proche-Orient est sous l’influence directe de l’Angleterre et, plus partiellement