Armée macédonienne

forces rebelles à Mogadiscio; il est forcé de quitter le pays, laissant derrière lui un pays meurtri par 10 ans de dictature militaire qui n’ auront engendré que des guerres, la famine et la pauvreté. Dès lors la Somalie, déjà ravagée par la lutte armée contre la dictature de Siad Barre, va se retrouvé, de nouveaux plongée, dans le cercle vicieux d’une guerre civile entre les différentes factions rebelles, qui vont se disputer la place devenue vacante du pouvoir. Ainsi l’ État central est remplacé

1) Pour Pascal Bruckner, quelle est l’ambiguïté de la démocratie? Réponds-y personnellement. La démocratie est une doctrine politique selon laquelle le pouvoir est détenu par le peuple (par le biais d’élection de représentants) et ce sans distinction d’âge, de richesse, de naissance ou encore de genre. Ce régime politique prône donc une égalité entre tous les hommes avec des droits égaux pour tous. Or, selon Pascal Bruckner, on ne peut appliquer une démocratie dans une société où le fanatisme

Kafr Karam. Un petit village aux confins du désert irakien. On y débat devant la télévision, et surtout on s'y ennuie, on attend, loin de la guerre que viennent de déclencher les Occidentaux et qui embrase le reste du pays. Mais le conflit, avec son lot de brutalités, d'incompréhensions et de bavures tragiques va finir par rattraper cette région où la foi, la tradition et l'honneur ne sont pas des mots vides de sens. Et quand une nouvelle humiliation vient profaner ce qu'un Bédouin a de plus sacré

*l’écho moqueur Scène 1 : Rencontre entre le Capitaine et Colombine Mise en scène 1. Colombine : (chante en lavant son linge et elle entend oui, oui dans les coulisses.) Qui est-ce? 2. Capitaine : (entrant en scène) C’est moi, petite tourterelle! Le capitaine, votre serviteur et fidèle amoureux. 3. Colombine : Encore vous! 4. Capitaine : Oui! Ah… donne-moi ta main mon adorée. 5. Colombine : Je vais vous la donner, sur la figure si vous ne vous calmez pas. 6. Capitaine : Ah, cruelle

Les principes de guerre, qui peuvent être définis comme des lois qui régissent les confrontations entre différentes forces armées, ont été élaborés au cours des deux derniers siècles. Leur but est de permettre aux commandants militaires de dresser de meilleurs plans – des plans ayant de plus grandes chances de succès – en se basant sur les leçons du passé1. Le présent travail consiste en un bref résumé et une réflexion personnelle de l’article de John D. Keegan, « Les principes de la guerre », traduction

culturellement et politiquement mais ils conservèrent leur haine face à la France. Il avait des militants volontaires, qui voulaient se battre. La France : Napoléon III voulait vaincre l’Allemagne est reprendre le contrôle du Rhin. La France avait une armée d’anciens combattants. Les deux camps n’ont pas attaqués en premier pour regrouper d’avantage de soldats. Les causes de la guerre L’élément déclencheur de cette guerre fut la candidature pour le trône d’Espagne libre depuis la révolution de 1868

l’avènement des rébellions au Niger et au Mali et la prolifération des armes de guerre à partir des années 1990. Ce qui a engendré les milices d’autodéfense pour pallier l’absence de l’autorité de l’Etat. Aussi dans les zones où cette rébellion armée a surgi, force est de reconnaître que l’on observe la persistance jusqu’à cette date de quelques poches où cette nouvelle donne occasionne encore un certain nombre de désagréments parmi les populations locales. Les causes de la persistance de ces

puissance est également ce qui préserve la Russie. (Du I/ ) L’empire Russe est donc indéniablement un puissant empire, qualifié de « Grande puissance européenne ». L’auteur ne se retient pas de mettre en avant le meilleur atout de l’empire : sa force armée, il ne nous laisse pas la contester par sa brillante démonstration de l’étendue de sa capacité militaire. (On remarque que c’était comme une évidence pour lui de mettre cet aspect au premier plan, car il débute son article par en mettant ses troupes

La guerre de Kippour-la logistique de l'armée de terre israëlienne. Colonel (ret.) Roland Aloni[1] Le 6 Octobre 1973, à 14:00 les forces armées égyptiennes et syriennes attaquèrent simultanément les forces israëliennes le long du canal de Suez et sur le plateau du Golan. Nous ne nous attarderons pas sur le côté opérationnel de cette guerre, il a été étudié en détail. Nous essayerons de donner un aperçu des problèmes logistiques qui préoccupèrent l' état major israëlien. En juin

Il y a quelques semaines le député Eric Ciotti (UMP) proposait une loi sur l'encadrement militaire des délinquants. Armée Média s'en était d'ailleurs fait écho dans un billet . Je suis très étonné de constater que cette proposition de loi ne suscite pas plus de contre arguments dans un pays pourtant très antimilitarisme où la critique concernant la chose militaire est très décomplexée, parfois impertinente, trop souvent caricaturale et méprisante. Je suis tout autant surpris que les militaires