Armes nucléaires en Corée du Nord

de l'organisation du monde grâce à leur puissance économique, financière, culturelle, et leur maîtrise des réseaux de communication. Première puissance militaire du monde grâce à un arsenal d'armes performantes, même s'ils prônent le désarmement nucléaire, les États-Unis disposent d'un budget élevé pour leur défense (plus d'un quart des dépenses fédérales au début des années 1990). L'OTAN reste un élément clé de leur puissance en Europe, rejoint à la fin des années 1990 par les ex-membres du pacte

entretenir des rapports solides avec des partenaires économiques, mais aussi militaire comme le Canada, la Grande-Bretagne, OTAN et d'autres. Deuxièmement, le contrôle du nucléaire sur la scène mondiale était l'une des stratégies importantes. Finalement, les États-Unis ont aussi misé fortement sur une globalisation économique du monde, où le nord tente toujours de dominé le sud, par le biais des organismes de financement mondiale et par le capitalisme. De Nixon à Clinton, les présidents ont suivi ces basses

de l'OTAN 1950 - 9 mai : Discours du salon de l’horloge de Schuman - 25 juin : début de la Guerre de Corée, réaction de l'Onu sous commandement américain, intervention chinoise ("volontaires"), puis stabilisation. 1951 - naissance de la CECA • Vers la coexistence pacifique 1953 - 5 mars : mort de Staline - 17 juin : soulèvement de Berlin-Est - 27 juillet : fin guerre de Corée. - septembre : Nikita Khrouchtchev premier secrétaire du PCUS 1954 - juillet : accords de Genève mettant

Etats-Unis qui ont “encouragé” l’Egypte à faire la paix avec Israël en 1979. Ne pas faire ou empêcher de faire: La pression sur l’Iran pour qu’il abandonne son programme nucléaire. Les moyens de la puissance: La persuation, le marchandage ( Corée du Nord: aide contre arrêt du programme nucléaire), la menace. Le recours aux armes: Plus rare à notre époque, notamment grâce à l’ONU, où le droit prime sur l’usage de la force. 1.2 L’évolution du concept L’interdépendance croissante entre les Etats

communistes, placées sous l’influence directe de Moscou. Outre la satellisation de l’Europe centrale et orientale, STALINE exerce partout des pressions. En Grèce, il soutient la rébellion du communiste MARKOS. En Asie, ses troupes occupent le nord de la Corée, tandis qu’il aide les communistes chinois placés sous l’égide de MAO ZEDONG (1893-1976) à conquérir le pouvoir en Chine et qu’il soutient les communistes vietnamiens dirigés par HO CHI MINH (1890-1969). 2.2.2 Les deux blocs Face à cet expansionnisme

En 1950, la Corée du Nord, communiste envahit la Corée du sud, pro américaine. La totalité de la Corée est occupée sauf le port et la région de Pusan au sud. C’est de là que repart une offensive contre le nord, dirigée par les EUA sous le mandat de l’ONU (L’URSS absente pour cause de refus de la Chine communiste n’a pas pu mettre son veto !). La contre-offensive se rapproche dangereusement de la frontière chinoise, la tension est très vive dans le monde. Une nouvelle offensive du nord (soutenu par

hauteur,  aussi  puissante  que  les  divisions  aéronavales,   les  Etats­Unis  ne  se  seraient  pas  gênés  pour  se  constituer  un  empire digne  de ce  nom.  Leur  faiblesse  militaire représente la première limite à leur dessein, la menace nucléaire  permanente  et  la  nouvelle  façon  d’organiser  la  guerre  que  cela  induit  en  ​ constituent  la  seconde.  Pour  finir,  Todd  affirme  que  le principe de guerre sans mort appliqué depuis quelques années  par  l’armée  américaine  la  bride 

dans leur politique extérieure, Eisenhower tire des leçons de l’affrontement de la guerre de Corée, par exemple on n’intervient pas à Budapest, on refuse en 1964 de prêter l’arme nucléaire aux français qui s’embourbent dans la guerre du Vietnam. Un équilibre de la terreur s’installe puisque en 1953, l’URSS et les US disposent de la bombe H et de la bombe A, même si les US disposent de plus de têtes nucléaires. b) A l’est 5 mars 1953, mort de Staline. Juste après, Malenkov, à la tête du gouvernement

le partage de la Bosnie entre Croates, Serbes et Bosniaques ; en 1998, ils obtiennent le retrait des Serbes du Kosovo ; la même année, ils sont partie prenante de l’accord de Stormont établissant la paix entre catholiques et protestants d’Irlande du Nord.   Séquence 4-HG00 5 © Cned – Académie en ligne B La fin de la guerre froide ne signifie pas la fin de la guerre Si l’on doit noter la raréfaction des conflits entre États (conflits interétatiques), les conflits à l’intérieur

américains l’année de la “prise de conscience”,et 1947 fut l’année des décisions et de l’ouverture des “hostilités”. 3/ La riposte soviétique : une réaction au coup pour coup Pour le maître du Kremlin, la menace américaine n’a cessé de croître : nucléaire dès 1945, elle devient économique et financiére en 1947. Il est temps, dans ces conditions de mieux contrôler l’Est-européen. ●L’URSS, chef de file du camp socialiste : la doctrine Jdanov et la naissance du Kominform (octobre 1947) L’URSS, après