Armide

Renaud et Armide 1625 Une femme se penche sur un soldat endormi au pied d’un arbre. L’épée au côté, il a replié un bras sur son bouclier. Son casque est tout près, dans le coin du tableau. Elle s’est agenouillée, la main posée sur celle du jeune homme. Il n’est pas certain qu’elle le touche vraiment. On la sent attentive à ne pas l’éveiller alors qu’elle observe ses traits à son insu. La façon dont elle le regarde dormir est une preuve de la tendresse qu’elle éprouve pour lui. Pourtant, la jeune

l’idée de mouvement vers le haut. Un opera : Armide de LULLY (1686) Jean-Baptiste Lully (ou Giovanni Battista Lulli) est un compositeur francais d'origine italienne, violoniste de la période baroque. Armide est la dernière tragédie en musique (en cinq actes et un prologue) terminée par LULLY sur un livret de QUINAULT . . Le sujet de la tragédie est emprunté à La Jerusalem delivrée du Tasse Il narre l'amour malheureux de la magicienne Armide pour le chevalier Renaud. Une musique

travailler lui-même les chanteurs, les danseurs, et régla tout dans son théâtre jusqu’au plus petit détail.. Mais où Lully excelle, c’est dans la musique descriptive : et c’est encore le fait d’un artiste plutôt intellectuel. Son air du sommeil dans Armide (« Plus j'observe ces lieux »), par exemple, est un chef-d’œuvre. Versailles rôle L'Amour médecin 1665 Molière | O lachrymae 1664 Pierre Perrin

refermé sur lui même et même sauvage : "mon gout pour la solitude" l.3-4;"distrait triste, ardent, farouche"l 5-6 "sauvage, bizarre, insensée" l6-7. On peut aussi comprendre qu'il cherche l'amour de quelqu'un : "J'espérait qu'elle m'apporte Armide". Pourquoi Armide? car il s'identifie à elle qui avait été contraint de retenir celui qu'elle aimé par des enchantements. Deuxièmement, le moi est à la fois dans le texte de Chateaubriand et de Fromentin amoureux de la nature : "la splendeur de la terre",

« A Monsieur le Cardinal Mazarin, sur la Comédie des Machines » Vincent Voiture Quelle docte Circé, quelle nouvelle Armide Fait paraître à nos yeux ces miracles divers, Et depuis quand les corps par le vague des airs Savent-ils s’élever d’un mouvement rapide? Où l’on voyait l’azur de la campagne humide; Naissent des fleurs sans nombre, et des ombrages verts; Des globes étoilés les palais sont ouverts, Et les gouffres profonds de l’empire liquide. Dedans un même temps nous voyons mille

alors les « mœurs italiennes ». Aussi quand en 1685, les relations de Lully avec Brunet, un jeune page de la Chapelle, firent scandale, Lully perdit quelque peu de son crédit auprès du roi qui n'assista pas aux représentations de son dernier opéra, Armide, en 1686. Lully composa sa dernière œuvre complète, Acis et Galatée, pastorale en forme d'opéra, pour la cour plus volage du Grand Dauphin, fils de Louis XIV. La cause de sa mort fut particulière puisqu'elle intervint à la suite d'une répétition

du sentiment (Lyon) |1774 : Les Horaces et les Curiaces (Vienne - Paris 1777) | |1758 : Les Caprices de Galatée (Lyon - Paris 1776 - Londres 1789) |1775 : Renaud et Armide (Milan - Londres 1782) | |1758 : La Mort d'Ajax (Lyon) |1775 : La nuova sposa Persiana (Milan - Vienne 1775) | |1758 : Les Jalousies

Le ballet avait une place beaucoup plus importante dans les opéras français (tragédies lyriques) de Lully que dans les opéras italiens. Lully créa également un type d’ouverture, l’ouverture à la française. Alceste(1674), Atys (1676), Roland (1685), Armide (1686), Acis et Galatée (1686) restent ses chefs-d’œuvre. Jean-Philippe Rameau avec Hippolyte et Aricie (1733), Castor et Pollux (1737) et Dardanus (1739), Les Indes galantes (1735), et Les Boréades (1764); Marc-Antoine Charpentier avec Médée (1693)

Vulcain pour Énée . 1m79, L. 1m52, Nantes, musée des Beaux-Arts., La Déification d’Énée Hantes, musée des Beaux-Arts., Vénus présentant les armes à Énée vers 1690 H. 1m14, L. 0m94 Brest, musée des BeauxArts. Décor de Montagu House Renaud et Armide H. 1m64, L. 1m35, Angleterre, Basildon Park (National Trust). Décor de Montagu House L’enlèvement d’Europe H. 1m64, L. 1m35, Angleterre, Basildon Park (National Trust). Phaéton demandant à Apollon la conduite de son char H. 1m23, L. 0m91,

extase » - - Tableau 06 ==> Alexandre-Hyacinthe DUNOUY; J-J Rousseau méditant dans le parc de la Rochecardon, 1770 - Texte 07 ==> ROUSSEAU; La Nouvelle Heloïse (4° partie, Lettre XI), « jardin » - - Tableau 07 ==> TIEPOLO; Renaud et Armide dans son jardin, 1742-45 - Texte 08 ==> ROUSSEAU; La Nouvelle Heloïse (Lettre XXIII), « Voyage dans les Alpes » - - Tableau 08 ==> Anne-Louis GIRODET; Le Torrent, 1767-1824 Texte 01 ==> J-J ROUSSEAU; Les Rêveries du promeneur