Arquebuse

Découverte que la Terre est ronde. En mathématiques : le calcul algébrique, lois de perspective En peinture : l'invention de la toile, la peinture à l'huile, la représentation de la nudité, la représentation en perspective Dans l'art de la guerre : arquebuse (ancienne arme à feu semblable à un fusil ). En médecine : la médecine moderne avec Ambroise Paré (chirurgien français considéré comme le père de la chirurgie moderne),la connaissance de l'anatomie (cf ci-contre).

» Comme nous pouvons le constater dans Notre-Dame de Paris, Victor Hugo mêle les faits historiques et les personnages comme dans cet extrait : « Pauvre Gringoire ! le fracas de tous les gros doubles pétards de la Saint-Jean, la décharge de vingt arquebuses à croc, la détonation de cette fameuse serpentine de la tour de Billy, qui, lors du siège de Paris, le dimanche 29 septembre 1465, tue sept Bourguignons d’un coup, l’explosion de toute la poudre à canon emmagasinée à la porte du Temple, lui eût

Champ lexical des armes : « Peau luisante et dure » ligne 23 (qui désigne les armures des conquérants) ; « Arme tranchante et resplendissante » ligne 23 ; « Couteau » ligne 24 ; « Pièces et arquebuses » ligne 27 ; « Armes » ligne 30 montrent la brutalité des européens et la vision effrayante qu’ils donnent au contraire des indiens dont les "Arcs, pierres, bâtons et bouclier de bois" suffisent à décrire l'équipement rustique, artisanale et minimaliste

tuer. De 1764 à 1767, deux animaux, identifiés, l'un comme un gros loup, l'autre comme un animal s'apparentant au loup sans en être pour autant (bien qu'appartenant aux canidés), furent abattus1. Le gros loup fut abattu par François Antoine, porte-arquebuse du roi de France, en septembre 1765, sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes. À partir de cette date, les journaux et la cour se désintéressèrent du Gévaudan, bien que d'autres morts attribuées à la Bête aient été déplorées ultérieurement. Le

chirurgie moderne. Il développa des techniques et instruments chirurgicaux encore utilisés aujourd'hui. Malgré qu'il soit le chirurgien des rois, il soigne quand même les pauvres. Bibliographie : Méthode de traiter les plaies faites par les arquebuses et autres bâtons à feu (1545) Méthode curative des plaies et fractures de la tête humaine, avec les portraits des instruments (1561) Cinq Livres de chirurgie (1571) • Genre : Traité (particule « De ») • Registre : Didactique (Argumentation)

est sombre avec des couleurs tel que marron, noir ... nous pouvons tout d'abord remarqué un sablié noir ou le temps y est completement écoulé, il a pour symbolique la mort, le temps qui passe et que nous ne voyons pas passé. Nous avons aussi un arquebuse, surement pour exprimer les morts qu'il y avait avec les guerres de religion qui faisait rage à cette époque. Nous avons des livres abimés celà peut representé l'inutilité de la connaissance ou encore la bible, cela cerait peut-être une façon pour

matériels Indiens = possèdent beaucoup d'or et de perles mais aucune valeur pour eux; ressources naturelles telles que la laine, encore primitifs pour se défendre (arcs, pierres, bâtons). richesse des Européens = puissance militaire (artilleries, arquebuses), vêtements, connaissances agricoles (céréales, vignes) 2. Biens immatériels Indiens = bonté, loyauté, franchise, courage (référence aux valeurs antiques avec César), curiosité => richesse morale! Européens = richesse intellectuelles (lettres

européens. De même avec « ruses et batelages » l.13 -on peut observer le champ lexical des armes : « peau luisante et dure » l . 19 qui désigne les armures des conquérants ; « arme tranchante et resplendissante » l.19 ; « couteau » l.20 ; « pièces et arquebuses » l.22 ; « armes » l.25 montre brutalité et des européens et la vision effrayante qu’ils donnent s’oppose à « arcs, pierre, bâtons et bouclier de bois » qui suffit à décrire l’équipement rustique et artisanale des indiens. - « cette disparité

actes des européens. De même avec « ruses et batelages » l.16 - champ lexical des armes : « peau luisante et dure » l . 23 (qui désigne les armures des conquérants) ; « arme tranchante et resplendissante » l.23 ; « couteau » l.24 ; « pièces et arquebuses » l.27 ; « armes » l.30 montre brutalité et des européens et la vision effrayante qu’ils donnent s’oppose à « arcs, pierre, bâtons et bouclier de bois » qui suffit à décrire l’équipement rustique, artisanale et minimaliste des indiens. - «

Gargantua, scène de combats Chapitres 27, 36 et 44 Ces trois chapitres mettent en avant des scènes de combat violentes qui opposent Gargantua à des brigands et le moine à l’armée de Picrochole. Les scènes de combat sont liées à un vocabulaire du corps très précis et suivies d’exagérations, d’hyperboles...qui amplifient le côté démesuré de l’œuvre. Chapitre27 :-l.12 : tumulte, armée -l.14 : lances, démolirent → Champ laxical de la guerre -l.15 : murailles, détruire -l.22-23-24 : jeune (…)