Arret Douce Dame

Leveneur ; Defrénois 1997. 333, obs. D. Mazeaud ; RTD civ. 1997. 418, obs. J. Mestre ; Grands arrêts, t. 2, n° 157. - Document n° 3 : Cass. 1re civ., 3 juill. 1996 : D. 1997. 500, note Ph. Reigné. - Document n° 4 : Cass. 1re civ., 13 févr. 2001 : Bull. I, n° 31 ; Defrénois 2002. 476, note Robine ; JCP 2001. I. 330, n° 5, obs. J. Rochfeld ; RTD civ. 2001. 353, obs. J. Mestre et B. Fages ; Grands arrêts, t. 2, n° 149. - Document n° 5 : Cass. com., 27 mars 2007 : CCC 2007, comm. n° 196, obs. L. Leveneur

recherche du vieux Dadi, le Ciapacan arrête Mondo. Mais lui, il est parti sans personne connaitre où il se trouvait. Rosa : C'est une grosse marchande de fruits. Elle donne à Mondo des pommes ou des bananes. C'est une “amie pour manger”. L'arroseur public : C'est un ami de Mondo. Il le rencontre à la fin du marché, quand il vient de nettoyer la chaussée. Mondo le fait son ami à cause des arcs-en-ciel qu'il crée avec son jet d'eau dans le ciel. Ida : C'est une dame boulangère qui lui donne du pain. Quelquefois

tout trois ans à terre, de sorte qu'on peut tenir qu'il a flotté pendant quarante-sept ans entre le ciel et la mer, ce qui doit lui faire pardonner bien des fautes. Un autre motif d'indulgence à invoquer en sa faveur, c'est sa piété envers Notre-Dame de la Garde. Cette piété, qu'on veuille bien le remarquer, était absolument aveugle, et c'est par-là qu'elle peut donner une idée de ce que, sous les VIII nombreuses avaries dont la fortune de mer l'avait criblée, valait au fond l'âme du

ont pour règles de voir tous les patients au moins une fois tous les 15 jours pour effectuer avec eux un bilan qui permet de faire le point sur les problèmes rencontrés, les améliorations à apporter... M L. n'ayant pas était vu par l'IDEC avant son arrêt maladie, l'infirmière adjointe se trouvait dans l'obligation de lui rendre visite. M L. est atteint de la maladie d'Alzheimer. Il se déplace avec difficultés et très lentement, il ne se souvient pas toujours des moments récents et commence même

peuvent passer avant lui. Maurice ment et dit que Joseph a mal au pied. Quand Maurice et Joseph sont dans le train, les wagons sont bondés, c'est difficile de bouger ou de trouver une place pour s'asseoir. Les deux garcons Joffo rencontrent une vieille dame qui partagent sa limonade avec eux. Avoir de la limonade était un luxe. Cette scène montre la valeur de la nourriture et de la boisson pendant les restrictions de l'occupation. Enfin tout le monde s'endort. Joseph rêve qu'il est dans son école et

suicide d'un coup de revolver; mari de Sonia; officier de valeur; avait sauvé la vie du colonel Arbuthnot pendant la guerre.Armstrong, Selby.Tué dans la Somme; colonel ?; connaissance d'Arbuthnot; Anglais.Armstrong, Sonia.Femme de John; si jolie; si douce; fille de Linda Arden [voir Caroline Martha Hubbard]; morte en donnant naissance à un enfant mort-né; charmante personne; adorée de son mari; filleule de la comtesse Dragomiroff; Américaine; née Goldenberg; sœur d'Héléna Andrenyi; mère de Daisy.Armstrong

Scène 1 Une rue devant la maison de Claudio. MARIANNE, sortant de chez elle un livre de messe à la main et CIUTA, l’abordant. CIUTA — Ma belle dame, puis-je vous dire un mot ? MARIANNE — Que me voulez-vous ? CIUTA — Un jeune homme de cette ville est éperdument amoureux de vous ; depuis un mois entier, il cherche vainement l’occasion de vous l’apprendre ; son nom est Coelio ; il est d’une noble famille et d’une figure distinguée. MARIANNE — En voilà assez. Dites à celui qui vous

lieues carrées de terrain, ombragées par les plus beaux hêtres et les plus robustes chênes de toute la France, peut-être, s’élève le petit village d’Haramont, véritable nid perdu dans la mousse et le feuillage, et dont la rue principale conduit par une douce déclivité au château des Fossés, où se sont passées deux des premières années de mon enfance. À mesure qu’on avance dans la vie, et qu’on s’éloigne, en réalité, du berceau pour se rapprocher de la tombe, il semble que ces fils invisibles qui rattachent

La scène est à Naples. Scène 1 Une rue devant la maison de Claudio. MARIANNE, sortant de chez elle un livre de messe à la main et CIUTA, l’abordant. CIUTA — Ma belle dame, puis-je vous dire un mot ? MARIANNE — Que me voulez-vous ? CIUTA — Un jeune homme de cette ville est éperdument amoureux de vous ; depuis un mois entier, il cherche vainement l’occasion de vous l’apprendre ; son nom est Coelio ; il est d’une noble famille et d’une figure distinguée. MARIANNE — En voilà assez. Dites à celui qui

souffrance d’un amour non-réciproque. Ici, G. Apollinaire insiste sur la solitude dans laquelle l’amour le plonge par l’absence de sa bien-aimée. Nous comprenons que l’auteur est rongé par la tristesse, bien qu’il prenne du plaisir à se délecter de cette douce mélancolie (vers 9 et 10) : « Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine // Et mon mal est délicieux »). La thématique de l’amour, telle qu’elle se développe dans Marie puise ainsi aux sources jumelles d’Annie et de Marie : la passion