Art concret

le terme pour qualifier les auteurs français qui, sous Louis XIV, ont élaboré un art de la mesure et de la raison, dans le respect des Anciens. Le classicisme est régit par des règles bien précises dans le but de mener l’homme à une forme de stabilité, d’honnêteté jusqu'à la purgation des passions (catharsis) L’idéal classique = tradition antique + raison humaine = création d’un art nouveau Pour parvenir à cet idéal, l’art classique relève d’une triple exigence :

écrivent ensemble un recueil de poésies chrétiennes car il se trouvent de nombreux goûts esthétiques communs. (=CO-auteurs) Dans la première partie, nous avons clairement l'affirmation d'un art de la Fable. Dédicace = Texte préfaciel. Problématique : En quoi la Fable est-elle une définition par l'exemple d'un Art poétique de Fable ? 1 – Etude de la structure 1 – Deux étapes distinctes ( 1-32=dédicace) (33-fin=Fable, récit+morale). Longueur équilibrée. Les moments sont marqués par des systèmes

diplomatie publique) ⇨ Tous les Etats portent ce projet (parmi les vainqueurs) et s’entendent sur la définition de principe du 14e point MAIS de nombreuses divergences vont apparaître quand il va s’agir de mettre en place un texte et un processus concret. ⇨ ▲ La différence entre l’ambition affichée (ambition idéaliste grandiose) et la réalité des mesures adoptées dans le Pacte de la SDN. b) Analyse des mécanismes de sécurité collective prévus par le Pacte : Le Pacte propose 2 niveaux d’action

scientifiques, mais ce qui engendre la communication à proprement parler humaine, c’est la différence. C’est d’ailleurs pourquoi Proust rejette le réalisme comme imitation, ce double emploi pratiqué par Flaubert ou Zola qu’il considère comme du « faux art ». On peut ainsi dire, en reprenant les termes de Proust, que la science « amasse au-dessus de nos impressions vraies […] les nomenclatures, les buts pratiques que nous appelons faussement la vie ». L’art nous raconte réellement la vie en en cherchant

voit simultanément plusieurs facettes de l’objet. La question du corps : Cézanne – Les grandes baigneuses Ils sont modéliser sous formes de volumes pour créer une cohérence mais n’existe pas en vérité. Le tout est traité sous forme de volume. b) « Un art de conception » – Apollinaire et non imitation Picasso : Gertrude Stein : simplification : image aplani, assez géométrique, il ne cherche pas à représenter la vérité c’est un pré-cubisme Femme a la mandoline : le corps est traité comme une multitude

signaler les autres approches possibles. Néanmoins, l’analyse sémantique du sujet ne suffit pas et est risquée lorsqu’elle le transforme en une poussière de termes. Souvent, la question ou la notion proposée a une signification, une portée tout à fait concrète, voire pratique, à laquelle il faut savoir revenir. L’exercice philosophique navigue entre l’univers des idées et le sens commun. Un point sur lequel de nombreuses prestations, même parmi les meilleures, restent très perfectibles, concerne l’usage

théâtre différent en Europe et en occident Pour lui le dialogue appartient au livre et non à la scène Le langage se doit d’être concret propre à la scène «  Je dis que le langage concret destiné aux sens et indépendant de la parole doit satisfaire d’abord les sens qu’il y a une poésie pour les sens comme il y en a une pour le langage et que ce langage physique et concret auquel je fais allusion n’est vraiment théâtral que dans la mesure ou les pensées qu’il exprime échappent au langage articulé »

Nom : Prénom : Classe : Date : Notion : l’art Auteur : Aristote Titre : l’imitation / le spectacle tragique Question à laquelle le texte répond : Pour l’homme, que représente l’imitation ; la tragédie ? Thème : imitation - art Thèse : L’imitation, c’est de l’art ; la tragédie c‘est la purification de sois même a travers l‘expression.  Définitions des 5 ou 6 concepts principaux : Imitation : il peut s’agir d’une production créatrice ou de la représentation que

sur ces propos. 2- Une parole efficace : Emploi du pronom indéfini " on ", pluriel " ils " qui lui permet d'identifier à travers cette tirade toute personne: il généralise. De plus il utilise des métaphores, personnifications et évocations concrètes " ferme la bouche ", " un bouclier "celle-ci contribuent à l'efficacité de sa parole Son but est de convaincre Sganarelle et le spectateur de la justesse de ses idées, de son attitude: c'est le principe de la double énonciation. 3- Une démonstration :

source de Lausanne (Suisse). « Le soin est une œuvre commune mais unique, un art dont le résultat pour une personne ne peut être que le fruit de la rencontre subtile entre les compétences diverses, toutes utiles à un moment plus ou moins long du processus entrepris »p4. « On ne peut durablement se réfugier derrière le paravent des moyens qui, en trop de circonstances, sert d’alibi pour ne pas imaginer des voies concrètes et innovantes d’évolution » « Le soin relève de l’attention. Il désigne le