Arthur Rimbaud «aube »

Commentaire «  Le dormeur du val », Arthur Rimbaud, 1870 ________|Arthur Rimbaud est né en 1954. Depuis l’âge de 15 ans, le poète français laisse place à l’écriture en écrivant plusieurs poèmes. « Le dormeur du val » est écrit en 1870 durant un siècle marqué par le romantisme, il est l’un des poèmes les plus connus de Rimbaud. Dans un premier temps nous montrerons que de celui-ci émane une nature pétillante, accueillante et protectrice, puis, nous montrerons la force poétique de la dénonciation

l’auteur : Rimbaud est un poète ne en 1854 a Charleville et mort en 1891 . Particulièrement précoce, il écrit tout ses poèmes avant l’âge de vingt ans, et voyant qu’il ne pouvait changer le monde grâce a la Poésie, il arrêta d’écrire. Commentaire: Ce poème est tout d’abord l’occasion d’une fête de la nature en éveil "Aube" est ainsi, le récit d'un songe poétique conduit en dehors de l'espace et du temps réel et qui se dissipe lorsque l'on reprend conscience de ce temps. Rimbaud décrit une

période surréaliste pendant lesquelles il ne cesse d’évoluer, de se transformer. Toutefois, avec l’apparition de la modernité, la libération du vers des contraintes métriques, la tentation du poème en prose d’Aloysius Bertrand, de Baudelaire ou de Rimbaud, avec l’écriture en 1869 (cette œuvre singulière fut en effet écrite, imprimée, puis « perdue » et véritablement publiée vingt ans plus tard) des Chants de Maldoror d’Isidore Ducasse dans une prose hybride à la fois poétique, romanesque, épique, dramatique

majeure pour les Decadents. En fait, Baudelaire traduit des oeuvres de Poe en français. Les romanciers décadent comprennent Joris-Karl Huysmans, Théophile Gautier et Octave Mirbeau. En plus de Baudelaire, poètes notables du genre comprennent Arthur Rimbaud, Auguste Villiers de l’Isle-Adam et le Comte de Lautréamont. La Decadents française acquise un suite dans les cercles littéraires anglais à la fin du XIXe siècle, et quelques écrivains anglais adopté le style décadent. Oscar Wilde et Aubrey Beardsley

poétiques que nous devions choisir, le sonnet, (ici, un poème d’Arthur Rimbaud), m’a paru un choix évident parce qu’il illustre l’une des formes de la poésie classique; la prose, (un poème de Paul Eluard), était un choix intéressant pour la liberté qu’elle offre au poète ; le calligramme, (emblème de la poésie de Guillaume Apollinaire), quant à lui, allie la forme et le fond. Le premier poème de cette anthologie est d’Arthur Rimbaud, et s’intitule Le Mal. Dans ce poème, le thème de la mort est explicite :

d'exprimer la part spirituelle de l'être. Certains écrivains sont représentatifs de ce mouvement, comme Baudelaire par exemple, avec Les Fleurs du Mal, ou bien encore Le poète "voleur de feu" de Rimbaud. Ici, l'objet d'étude est le poète qui est, d'après Rimbaud caractèriser comme un voleur de feu. En quoi, Rimbaud, ou le poète en général, est-il voleur de feu? Nous répondrons à cette problématique, en traitant dans une première partie, le poète voleur de rêve, dans une deuxième, le poète voleur d'idées

ARTHUR RIMBAUD Biographie Jean Nicolas Arthur Rimbaud est né le 20 octobre 1854 à Charleville. Il entame sa scolarité à l'institution Rossat. En 1865, Arthur entre au collège municipal de Charleville, où il se montre brillant élève. Le principal du collège Jules Desdouets aurait dit de lui : « Rien d'ordinaire ne germe dans cette tête, ce sera le génie du Mal ou celui du Bien. » Ecolier, Arthur Rimbaud est un élève doué et appliqué. De 1865 à 1870 il remporte pas moins de 36 prix et 10 nominations

des imprimeries, des tanneries, des clouteries, une verrerie, une brosserie. Il était le second garçon, Frédéric étant né en 1854, des filles allaient venir plus tard : Vitalie-Marie en 1857 et Isabelle en 1860. Son père, Frédéric Rimbaud, était un militaire. Pour Arthur, ce père absent était sans substance, n’exista que dans le langage maternel (en noms de lieux, de garnisons). Sa mère, Vitalie Cuif, était une paysanne accrochée à sa terre, Fière, indépendante, forte. Celle qu’Arthur appelait

"Le dormeur du val", Les cahiers de Douai - Arthur RIMBAUD (1870) C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant

ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud - Texte du recueil confié à Paul Demeny, fac-similé Messein. - Première publication dans l'Anthologie des poètes français du XIXe siècle, tome IV, Lemerre, 1888. Ce sonnet est inspiré par la guerre de 1870. Rimbaud dresse un tableau très coloré et vivant qui frappe l'imagination pour en faire ressortir toute l'horreur, sans jamais prononcer le mot