Artillerie

boyaux forme un véritable "labyrinthe", où j'ai erré 3 heures cette nuit, absolument perdu. Les traces de la lutte ardente y sont nombreuses et saisissantes ; et d'abord elles sont plus qu'à moitié détruites par l'ouragan de mitraille que notre artillerie y a lancé, aussi sont-elles incommodes et horriblement sâles malgré les réparations urgentes que nous y avons faites ; tout y manque : l'eau (propre ou sale), les boyaux, les latrines ; elles sont à moins de 200 mètres de la 1ère ligne ennemie,

rappel amour du poète - montre fraîcheur de l’amour 2°) dans la forme chanson : => v.3 reprit au v.12 => v.8 reprit au v.14 => La reprise des chiffres (" Une… deux…trois… ") installe un rythme. 3°) presque dans la plaisanterie : => artillerie rime avec chérie => précision infantile : " Nîmes dans le Gard " E) CONCLUSION Le poème Adieu de Apollinaire est plein de charme et de fraîcheur ; c'est un poème lyrique (sentiments personnels) mais qui se refuse au pathétique et qui pourtant

d’auto censure. | Aujourd’hui nous regardons sans broncher les éditeurs censurer les livres. | Le mot d’ordre, partout dans le monde, est de produire des livres qui se vendent. | 13. La nouvelle thèse est : «  Il ya urgence à refuser la grosse artillerie commerciale, à soutenir les libraires et les éditeurs indépendants. » Il veut convaincre les lecteurs de soutenir les libraires et les éditeurs indépendants. Pour conclure : 14. Les éléments sont : La thèse, les arguments, les exemples, les contre

Artiste. - Otto Dix est un allemand, né en 1891. Il est passionné par l'art, et prend des cours à l'école des beaux arts pour devenir peintre. - En 1914, début de la guerre : - Il a 23 ans, et est volontaire pour la faire - Il fait la formation artillerie (canon) - Ensuite la mitrailleuse dans les tranchées donc + de danger - Il se bat en Somme, et dans le Nord-Pas-de-Calais - Il continue à dessiner dans son temps libre. - En 1918, fin de la guerre : - Il peint des tableaux de guerre - Il est contre

pouvoir: Les Sultans résidant à Constantinople dès 1463, prennent le nom de Califes au XVIe siècle. Ils disposent aussi d'un titre politique, et d'un titre religieux qu'ils conserveront jusqu'en 1924. Ils ont une armée permanente équipée d'une artillerie puissante. Ils sont motivés par l'idée d'étendre l'Islam et par le butin des conquêtes. L'élite de l'armée, les jarinnaies et certains fonctionnaires, sont issus de populations chrétiennes auxquelles ils ont été élevés enfants pour être convertis

Volontaires en Grande-Bretagne (2,4 millions en 1914-1915) Conscrits (USA) En France, limite d’âge (17-48 ans) Troupes coloniales : 500 000 soldats pour la France et 1 500 000 pour l’empire britannique 2) Des armes nouvelles Puissances artilleries avec armes nouvelles (tanks, avions) 3) Ténacité et endurance des combattants Ecole de la contrainte : obligation de combats sinon peine de mort pour désertion ou désobéissance. Ecole du consentement : sentiment du devoir patriotique, nationalisme

meurt le 25 juillet 1969 à Singen, près de Constance, des suites d'un infarctus. Sa tombe se trouve au cimetière de Hemmenhofen. Œuvres choisies Timbre postal de 1991 d'après Bildnis der Tänzerin Anita Berber, 1925. 1914 – Selbstbildnis mit Artillerie-Helm au dos de Selbstbildnis als Soldat (Autoportrait en soldat) (Kunstmuseum Stuttgart) 1915 – Selbstbildnis als Mars 1920 – Pragerstrasse (Rue de Prague) 1920 – Die Skatspieler ou Kartenspielende Kriegskrüppell (Les joueurs de skat) (Neue Nationalgalerie

infléchir les juges pour qui la sentence ne fait aucun doute : les soldats seront fusillés le lendemain. En dernier recours, le colonel Dax décide de retrouver le général Broulard, pour lui apporter les preuves que le général Mureau a ordonné à son artillerie de tirer sur ses propres troupes. Cela n'empêchera pas l'exécution des trois soldats, mais le général Broulard utilisera cette carte pour ordonner une enquête sur les agissements du général Mureau et offrir ainsi son poste au colonel Dax, croyant

Moyen utilisé lors de la guerre : La seconde guerre mondiale s’est passée énormément dans les airs, lors des bombardements, ils lançaient des obus par centaine sur les villes et ils les détruisaient entièrement. Il y avait de la grosse artillerie pour tuer les soldats qui étaient sur terre et détruire les autres véhicules. http://www.cndp.fr/crdp-reims/memoire/bac/2GM/connaissances/06monde.htm Devoir de mémoire : Ce film utilise le devoir de mémoire

insiste beaucoup sur les sentiments des personnages. Dans cet extrait, Stendhal insiste bien sur les horreurs de la guerre à cette époque. L'utilisation du champs lexicale de la mort est présente partout dans le texte. Il évoque les mots sang, artillerie, peur, frissons d'horreur, coups de canons, etc... Le fait que le soldat Fabrice passe et chevauche, avec ses coéquipiers, plusieurs corps de soldat adverses, certains encore vivant et réclamant de l'aide en hurlant dans l'agonie la plus atroce