Artillerie

dans les tranchées et patienter jusqu'à ce que les rafales cessent. On connaît aussi pour cette guerre, le nom de «guerre des tranchées», lieux où se réfugient les novices envoyés au front. On peut aussi évoquer une «guerre matérielle», par une artillerie plus développée mais aussi le nombre considérable d'hommes morts aux combats. Une nouvelle forme de destruction apparaît, on cible les villes, pour les détruire on effectue des vagues de bombardements, on détruit tout en un temps très rapide. La

s'adresse au banquier Hans de Witte entre 1626 et 1630 pour les armées impériales. Mais souvent des pbms de solde et de ravitaillement = les hommes se paient sur les pays traversés par le pillage. Cf. Simplicius : roman de Grimmelshausen. Armement = artillerie négligée, cavalerie de cuirassiers lourdement armés et d'éléments + sommaires et + mobiles (carbiniers, dragons, hussards). Fantassins soit armés de piques, mousquets encombrants. Stratégie des accessoires : on assiège les places importantes, on

y est une solution diplomatique (« phrase d’un proche de Benyamin Nétanyahou : « Nous ne sommes pas pressés, nous ne cherchons pas à parvenir à une accalmie à n’importe quel prix ») : mise en place d’une fausse opération avec char, infanterie et artillerie contre Gaza pour faire pression Autre opération de pression : élimination ciblé visant chef militaire islamiste et dirigeant politique (phrase de Sylvan Shalom, vice 1er ministre : « Tous ceux qui sont impliqué dans les contre la population civile

(juillet 1918) III - Personnages R.Poincare président France G.Clémenceau président conseil (dès 1917) Kaiser Guillaume II IV - Vie au front attaques très violentes évolutions armes au long de la guerre au début combats reposent artillerie (fusils baïonnette, poignards, pistolets) puis lances flammes, gaz chars d’assauts aviation important : repérage, bombardement, combat aérien blessures considérables, beaucoup soldats défiguré privé bras ou jambe bruit incessant vie difficile

Sources FMI. Défense. Budget (1) : 0,22 Md $. Effectifs. Environ 480 000 hommes. Armée de terre : 350 000 h. Aviation : 15 000 h. Marine : 16 000 h. Matériels. Terre. Chars légers : environ 200. Véhicules blindés : environ 100. Artillerie : environ 250 pièces. et 30 lance roquettes. Air. Avions de combat : 90. Hélicoptères : 35 dont 10 armés. Mer. Corvettes : 4. Patrouilleurs : une cinquantaine. Transports aériens. Avions : une quinzaine. Indice de puissance militaire : D1.

bataille de Verdun est très important. Par son charisme il a su redonner l’espoir aux troupes, sa vision stratégique a changé le cours de la bataille. Dans un premier temps il réorganise la défense. Elle s’articule sur les deux rives de la Meuse. Une artillerie renforcée dans la mesure des disponibilités couvre les unités en ligne. Les forts sont réarmés. Pour ménager ses troupes, il impose « le tourniquet ». Les troupes se relaient pour la défense de Verdun. En juillet, 70 des 95 divisions françaises

deux camps, les Allemands prennent le bois des Caures, le fort de Douaumont, le Mort- Homme et le fort de Vaux. L’avancée maximale des troupes allemandes ne dépasse pas 5 km. -Mai : le commandement français passe de Pétain, qui a reconstitué une artillerie française sur la rive gauche de la Meuse, à Nivelle. Les dernières offensives allemandes échouent. -Octobre à décembre : les Français reprennent l’initiative et rétablissent une ligne de front proche de celle du début de l’année. La bataille prend

Saint-Domingue avec l'expédition du général Leclerc. Débarqué au cap Français le 15 pluviôse an X, Desfourneaux prit d'assaut, le 14 ventôse, la ville de Gonaïves, força le général Maurepas à mettre bas les armés avec ses 4 000 hommes et lui prit son artillerie. Le 25 du même mois, il remporta à Plaisance une victoire complète sur la troupe de Toussaint Louverture et lui fit 5 000 prisonniers. Rentré en France au commencement de l'an XI, Bonaparte l'accueillit avec distinction, et lui dit en l'apercevant

France mobilise le 2 août, déclenche la concentration aux frontières de ses troupes puis passe à l'offensive. Ses deux protectorats, Maroc et Tunisie, fournissent des soldats contre l'Allemagne. D'Algérie, l'armée d'Afrique (tirailleurs, cavalerie, artillerie, etc) vient en France, comme des contingents sénégalais de l'armée coloniale tandis qu'à Paris, à Bordeaux, Lyon, Marseille et Toulon, des milliers d'étrangers (Italiens, Polonais, Tchèques, Suisses, Espagnols, Luxembourgeois, Russes, etc)s'engagent

prussiens par leur droite. Rapidement, Jean Lannes vient aider Augereau en prenant par surprise les prussiens par leur gauche. Nicolas Soult posté légèrement en retrait de Lannes va obliger les prussiens à se reculer grâce à sa puissante artillerie. Michel Ney se met au centre avec les contre-offensives allemandes. Face à lui, le général Hohenlohe connaît la situation de ses hommes et sait que ceux-ci manquent d'entraînement. La bataille est perdue d'avance. [pic] Aux environs