Artiste Totalitaire

imposé aux artistes et écrivain par le soviétique et stalinien Jdanov, un art au service de la propagande. Actuellement, la sculpture se situe devant le centre panrusse à Moscou, figure sur de nombreux timbres soviétiques et a été adopté comme symbole du studio de cinéma russe Mosfilm. En 2003 elle fut démonté pour être restaurée. Elle reste les ruines de cette l'idéologie totalitaire. VERA MOUKHINA Vera Moukhina est née en 1889 dans les pays Baltes sous domination russe. Elle est une artiste officielle

dessin auprès de Constantin Juon et d'Ilya Machkov. En 1912, elle se rend à Paris, où elle assiste à l'Académie de la Grande Chaumière aux cours d'Antoine Bourdelle, avant de continuer son exploration de l'art et de la sculpture en Italie. Elle a été artiste du peuple de l'URSS et membre actif de l’Académie des Beaux Arts de l'URSS. Elle a remarquablement contribué au développement de la sculpture monumentale et du portrait soviétiques. On peut parler, à propos de son œuvre, d'art officiel. Sa sculpture

mort précoce et de l'énorme labeur qu'entraînait son procédé. Paul Signac (née le 11novembre 1863 à Paris et mort le 15 aout 1935 ) est un artiste-peintre français paysagiste qui donna naissance au pointillisme avec le peintre Seurat. Il a aussi mis au point la technique du divisionnisme. Il est aussi le cofondateur avec Seurat de la Société des Artistes Indépendants dont il fut Président. Paul Signac se forme seul sous l’influence des impressionnistes et rencontre très vite Georges Seurat qui

mort à Paris le 29 décembre 1925, est un artiste peintre, sculpteur, graveur sur bois, critique d'art et romancier suisse. A l’âge de 17 ans il entre à l’académie Julian. En moins de dix ans, le jeune Suisse parvient à se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. Il participe régulièrement à différents salons (Salon des artistes français, Salon des indépendants, Salon

avant des intentions politiques ou philosophiques, l’art déco était purement décoratif. A cette époque, le style fut ressentit comme élégant, fonctionnel et ultra moderne. Le mot "art déco" est dérivé du terme Arts Décoratifs. En 1925 la société des artistes décorateurs organise une exposition qui s’intitule l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes. Ce nom restera pour designer ce "nouveau" mouvement et sera à tout jamais gravé bien des années plus tard en 1960 par l’historien

qui compte, la seule chose qui survit, c'est l'art.' Et pourtant, cet ancien publicitaire à la tête d'une fortune colossale engrangée par le cabinet monté avec son frère Saatchi & Saatchi (puis M&C Saatchi) n'est pas pour rien dans la réception des artistes qu'il aime. Car cet enfant de bonne famille irakienne, débarqué alors qu'il n'avait que 4 ans en Angleterre, va nourrir une véritable passion pour l'art contemporain. C'est l'oeuvre de Jackson Pollock qui frappe pour la première fois ce fondateur

officiel en 1883 avec un | |dessin, Portrait d'Aman-Jean. Il fait la rencontre de Puvis de Chavannes. | |Son premier grand tableau, Une Baignade, Asnières sera refusé par le Salon en 1884. | |A l'exposition de la Société des Artistes Indépendants, il rencontre Paul Signac avec | |lequel il se lie d'amitié. | |En décembre, Seurat présente une nouvelle fois aux Indépendants Une Baignade, Asnières | |ainsi

auprès de Constantin Juon et d'Ilya Mashkov (en). En 1912, elle se rend à Paris, où elle assiste à l'Académie de la Grande Chaumière aux cours d'Antoine Bourdelle, avant de continuer son exploration de l'art et de la sculpture en Italie. Elle était artiste du peuple de l'URSS et n'aimait pas les membres actifs de l’Académie des Beaux-Arts de l'URSS. Elle a remarquablement contribué au développement de la sculpture monumentale et du portrait soviétique. On peut parler, à propos de son œuvre, d'art officiel

réalise au préalable de nombreuses études préparatoires qui seront expliquées dans la partie «  II] b) sa technique ». Présentée au Salon, la toile est refusée. Seurat décide alors de la montrer à l’exposition organisée par la Société des artistes indépendants, un groupe de peintres fréquemment refusés au Salon officiel et regroupés pour défendre une vue plus progressiste et plus moderne de la peinture. Il rencontre à cette occasion de jeunes peintres qui deviendront ses amis : Charles Angrand

entre à l'académie Julian, dont les ateliers sont fréquentés par de nombreux artistes post- impressionnistes ainsi que par les Nabis. En moins de dix ans, le jeune Suisse parvient à se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. Il participe régulièrement à différents Salons (Salon des artistes français, Salon des indépendants, Salon d'automne). À partir de , il se consacre