Arts martiaux japonais

Silla. Cependant, dans la première période de leur histoire, c’est surtout dans le royaume de Koguryo que l’art martial s’est développé de façon importante pour deux raisons : la situation géographique limitrophe avec la Chine (Mandchourie du Nord actuelle) et la pratique de joutes martiales à mains nues qui étaient très prisées par la population lors de festivités. L’art martial pratiqué alors s’appelait Subak ou Takyun selon qu’il utilisait des techniques de mains (Su) ou des déséquilibres et

être une découverte pour d'autre. Les japonais apprécient beaucoup les arts, qu'ils soient martiaux tell que le Ju-jutsu (arts du corps a corps) ou le Nijutsu (arts des armes), gastronomiques ou architecturales. Ils apprécient aussi beaucoup les mangas qui sont des bandes dessinés spécifique au Japon car elles se lisent de droite à gauche. Souvent confondue avec les vêtements d'entrainement des arts martiaux le kimono est le vêtement traditionnel japonais qui est porté aux grandes occasions

ainsi un style plus fluide, plus aérien, plus spectaculaire et moins statique. La pratique du Taekwondo est possible à tous âges et sous différentes formes. La Philosophie : On a souvent tendance à décrire tous les arts martiaux dans le même esprit : celui du Bushido japonais. Le code du Bushido est un code de conduite des samouraïs jurant fidélité et sacrifiant leur vie à leur seigneur (" Hara Kiri "). Cependant, l'esprit du TAEKWONDO est plus riche. En résumé, la Corée a réussi pendant de

origines. La transmission se faisait souvent par voie orale ou par l’intermédiaire des œuvres d’art et, plus rarement des écritures : il fallait en effet garder le secret de techniques apprises dans les différentes familles en cas d’affrontements. Les japonais prétendent que l’histoire se perd dans la mythologie. Ce dont on est sûr, c’est que le JUDO actuel dérive directement du JU-JITSU, art guerrier, lequel vient du YAGARA et, de proche en proche, on peut reculer comme cela jusqu’aux formes de combat

serein, agréable, pratique, confortable Le respect d’autrui et l’introversion des japonais se font sentir au quotidien. Malgré la surpopulation des villes japonaise, comme Tokyo avec ses 30 millions d’habitants, les mouvements de foule sont fluides et calme, sans bousculades ni agressivité. Arts traditionnels : - les arts martiaux comme l’aïkido, le kendo, et le judo - La cérémonie du thé - La poésie Les Japonais sont peu loquaces et peu expressifs Excellente qualité de l’organisation et des

grades. La fréquence de ceux-ci est très variable selon les clubs, mais en moyenne il y a deux examens de grades par an. L'objectif du professeur est de te préparer dans les meilleurs conditions à l'examen de la ceinture noire 1er dan (shodan en japonais). Aussi doit-il définir des objectifs d'étapes (couleurs de ceintures) afin de t'amener progressivement vers le niveau souhaité. Bien sûr pour que les tests de niveaux soient validés il faut que tu assimiles les techniques, les formes codifiées

cette discipline et en suivant le principe de « la voix de la souplesse ». La vocation guerrière étant supprimée, ce n'était plus du jujutsu mais un nouvel art martial éducatif : le Judo était né. Le judo connut un succès qui s'étendit largement au-delà des frontières japonaises et contribua largement à populariser les arts martiaux japonais. Il commença à être enseigné au Japon en 1882 au Kodokan (Dojo fondé par Jigoro Kano). En France, dans les années 30, les premiers cours ont été réalisés par

5 II. Valeurs et coutumes 6 1) Leur vie 6 2) Les principaux clans et leurs symboles 8 3) Les coutumes 9 III. Les samouraïs aujourd’hui 13 1) Leur influence dans le monde de l’industrie 13 2) Exemples d’application d’arts martiaux actuels 14 Conclusion 15 Table des illustrations 16 Introduction On trouve le terme « samouraï » pour la première fois dans un texte du Xème siècle. C’est pour le Japon une époque de guerres civiles chroniques. A la faveur de ces troubles

Gallet Amélie 1 ES 2 SOCIETE NIPPONE : ENTRE TRADITION ET MODERNITE TPE 2012-2013 Sommaire : Introduction. Première grande partie : Arts. Haiku. Cérémonie du thé (chanoyu). L'Ikebana et le bonsaï. Calligraphie et langue japonaise (kana : hiragana, katakana + kanji). (oral seulement) Cuisine traditionnelle.

montagneux laisse peu de place aux hommes pour développer leurs activité. La population s’entasse dans la mégalopole de Tokyo à Fukuoka : sur 1200 km de long, plus de 100 millions de Japonais vivent dans des villes qui se rejoignent en continu, sur la mince plaine littorale. Face à ces difficultés naturelles, les Japonais développent des technologies nouvelles : normes anti-sismiques des gratte-ciel, terre-pleins, tunnels sous la mer pour relier les îles, développement des transports en commun (Shinkansen