Aryen Homme Parfait

donne surtout un cap. Transition : Stalinisme et nazisme sont deux systèmes qui reposent sur un seul homme, dont la volonté sert de référence, mais la réalité n’est pas la même. Staline parvient à établir un contrôle précis en se servant des structures déjà en place, alors que Hitler multiplie les organes d’exécution, dotés d’une certaine autonomie, la coordination étant assurée par une fidélité parfaite au Führer et la reconnaissance de son rôle d’instance de décision suprême. II Les transformations

qui elles-mêmes ont favorisés le bousculement de l’ordre du monde (par exemple les Révolutions arabes qui ont eu lieu grâce aux réseaux sociaux qui étaient présent sur les portables). Le désir signifie selon Descartes le manque de ressenti pour tout homme a dit qu’il aura toujours le désir de s’accomplir, de se compléter car il est finalement imparfait. Cela reviens à dire que toutes les créations sont présentent pour combler l’imperfection de l’homme. Ce qui est flagrant avec l’exemple donné plus haut

des jouisseurs. Les jouisseurs sont les Cyrénaïques. Le bonheur est l’absence de douleur. Les plaisirs peuvent être conseillés admis ou déconseillés. * Sont conseillés : les plaisirs naturel et nécessaires. (Le prototype d’un épicurien est un homme qui peut être en extase en buvant un verre d’eau) * Sont admis : les plaisirs naturels non nécessaires. Exemple, faire l’amour, c’est admis mais c’est mieux de boire un verre d’eau (moins dangereux que l’amour). L’acte naturel prévaut sur les

par le régime qui va essayer d’éduquer les masses et de les convaincres. La volonté est de créé un homme nouveau. L’homme nouveau en URSS, est le prolétaire, c.-à-d. l’ouvrier, le caucasien qui a renverser la bourgeoisie et qui travaille pour la collectivité. L’homme nouveau dans l’Allemagne nazi est un homme parfait physiquement (‘’La race des seigneurs’’) et en Italie l’homme nouveau est un homme plus viril qui veut restaurer la grandeur de l’Italie. Les jeunes sont particulièrement visées par

attendu que la Kommandantur pavoise au Crillon... On n’y pense pas assez à cette protection de la race blanche. C’est maintenant qu’il faut agir, parce que demain il sera trop tard. (...) Doriot s’est comporté comme il l’a toujours fait. C’est un homme... il faut travailler, militer avec Doriot. (...) Cette légion (la L.V.F.) si calomniée, si critiquée, c'est la preuve de la vie. (...) Moi, je vous le dis, la Légion, c'est très bien, c'est tout ce qu'il y a de bien. »[18]. Il publie alors Les

des jouisseurs. Les jouisseurs sont les Cyrénaïques. Le bonheur est l’absence de douleur. Les plaisirs peuvent être conseillés admis ou déconseillés. * Sont conseillés : les plaisirs naturel et nécessaires. (Le prototype d’un épicurien est un homme qui peut être en extase en buvant un verre d’eau) * Sont admis : les plaisirs naturels non nécessaires.  Exemple, faire l’amour, c’est admis mais c’est mieux de boire un verre d’eau (moins dangereux que l’amour). L’acte naturel prévaut sur les

cérémonies et les rituels qui, réalisés ensemble et « debout » - tel que le décrit Alain - afin de concevoir une « décence convenable à des vivants qui se savent mortels » ; le troisième est rendue supportable en proscrinant la justice ultime et parfaite après la mort, rendant la conséquence de ses actes prévisibles. Répondant à ses instincts premiers et à un besoin de supporter les morts, la religion a ainsi donc endoctriné naturellement bien des hommes sans pour autant qu’ils aient

L’homme Vie. C’est un aristocrate de vielle famille, très vif d’esprit. Il forme sa fortune personnelle, d’abord héritée puis fructifiée par la vente des biens du clergé. Il s’est lancé dans certaines entreprises : père de l’idée du canal de Panama, homme d’entreprise, capitaine d’industries. C’est un aventurier, parti par exemple en 1787 pour aider les américains dans la guerre d’indépendance (il a servit sous les ordres de Washington). En 1789 il participe à la Révolution et a même demandé le baptême

ce juif honni des juifs est, comme le disait Péguy (son confrère en dreyfusisme) dans son portrait, non le positiviste, l'esprit froid, lucide et détaché qu'il croyait être, mais un juif engagé à défendre tout juif contre toute attaque : "Jamais homme ne se tint à ce point chef de sa race et de son peuple, responsable pour sa race et pour son peuple." Qu'on nous prenne bien au pied de la lettre : par une manœuvre conceptuelle, Lazare défend tout juif contre toute attaque, alors qu'il défend aux

la voie enseignée par le Bouddha sans bénéficier de l'omniscience), un bodhisatta (personne qui cherche absolument à devenir un bouddha pour enseigner en pratiquant les vertus dites pāramita) ou un sambuddha (« bouddha parfait », personne qui, possédant une compréhension parfaite des enseignements du Bouddha, accède à l'éveil et peut enseigner). Elle rejette catégoriquement l'idée d'un dieu créateur et tout puissant, ainsi que l'idée d'un salut obtenu par la seule dévotion et le culte des reliques