Assommoir Le Repas

cœur, Gervaise soutient moralement les différents personnages dans l’histoire, bonté envers les autres personnages ; Gervaise prend beaucoup de pitié envers son entourage, phrase d’exemple pouvant montrer sa gentillesse : elle veille a préparer les repas pour Coupeau alors que celle-ci est sur le point d’accoucher. Son portrait physique (Gervaise): Gervaise est grande, un peu mince avec des traits fins tirés par la rudesse de sa vie et elle est boiteuse de naissance. Nous pouvons aussi dire que

sentiments tels que l'envie, la haine, la malveillance] Joie amère, cruelle, féroce, horrible, infernale, sombre; la/les joie(s) de la vengeance. Mais elle voyait la joie mauvaise de ces gens, à la pensée que désormais la boutique était flambée (Zola, Assommoir,1877, p. 485).Une étincelle de joie illumina les yeux des hommes, la joie malsaine de vexer et d'injurier impunément l'adversaire (R. Bazin, Blé,1907, p. 20): 4. Je ne m'y trompais pas : il souffrait. Joie terrible, joie démoniaque : là, je pouvais

introduction Considérée comme obscène dans une esthétique idéaliste, la nourriture est un thème majeur de l'esthétique Réaliste, naturaliste. Le corps dans son ensemble explique les besoins fondamentaux de l'homme. Pour les prolétaires de Assommoir, elle est l'une des seules fêtes de l'existence. Ils lui accordent une valeur essentielle . Une de ces scènes de festin, son déroulement retranscrit par Zola , une façon très détaillée avec une précision et sociologique (Replace le passage dans le

------------------------------------------------- L'Assommoir  Pour les articles homonymes, voir Assommoir (homonymie). L’Assommoir | | Auteur | Émile Zola | Genre | roman naturaliste | Pays d'origine |  France | Éditeur | G. Charpentier, Paris | Date de parution | 1877 | Série | Les Rougon-Macquart. Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire | Chronologie | | | Son Excellence Eugène Rougon | | Une page d’amour | | | | | | L'Assommoir est

l'entrerrement. En compagnie de sa famille, et en écoutant les messages de soutien de ses voisins et de proches, la narratrice éprouve un certain malaise. La messe et l'enterrement ont lieu, après quoi tout le monde se retrouve au café du quartier pour le repas. La narratrice accompagne sa mère dans les démarches administratives puis rentre chez elle, où elle forme le projet d'écrire sur la relation qu'elle entretenait avec son père.    > La vie du père La narratrice relate la biographie objective

cabarets avec ses amis Mes-Bottes, Bibi-La-Grillade et Bec-Salé. Depuis sont accident Coupeau a perdu le goût du travail et s’encroûte de plus en plus – il boit également de plus en plus. Gervaise organise un grand repas, dont le met principal est une oie rôtie. C’est lors de ce repas que Lantier resurgit. Il devient l’ami du couple. Lantier est rusé, il est charismatique et se fait passer pour un « homme d’affaires », au départ Coupeau est jaloux et veut lui casser la gueule, pourtant avec l’habileté

la chaîne des êtres, et Zola la naissance du monde. Jory = Zola critique d’art p 135 Le romancier naturaliste et ses amis : Sandoz et sa bande. Ponctué par les trois dîners : - p 148 l’étroit logis le repas du pauvre, mais franche camaraderie - p282 après le retour de Claude à Paris ; un peu plus raffiné ; Sandoz marié plus vraiment de camaraderie. - P441 bonne bouffe mais sale ambiance de merde La douleur de la création :

et gris. Style dénué de toute subjectivité; description sommaire, perception du lieu à travers des anecdotes et les expressions populaires des parents qui se heurtent aux références littéraires d'Annie: Eux vivent "au bon air", elle, dans un "assommoir" digne de Zola. (réf. difficile pour nos élèves) Objectif : Analyser les modalités et les enjeux de la présentation de son père par la narratrice. Support : Extrait p.41 : « la peur d’être déplacé » (…) p.44 : « lâcher un pet » Projet de lecture:

un mariage». Comme un orage estival éclate, pour se protéger de la pluie, et pour tromper l'ennui, les mariés et les invités se réfugient dans le musée du Louvre. Le repas de noce, au ''Moulin d'argent'', est gargantuesque, et on boit beaucoup. Cela se termine mal, en discussions politiques et en querelles sur le prix du repas, les convives étant furieux d’avoir dû payer des suppléments. De plus, Mme Lorilleux, qui s'est montrée odieuse et désagréable durant toute la journée, insulte Gervaise

12-13), Gervaise voit des ouvriers entrer dès le petit matin chez les marchands de vin dont la salle du Père Colombe, déjà illuminée, est le modèle. Située à peu près où se trouvait, dans les années 1960, le Dupont-Barbès, L’Assommoir, (le mot « assommoir » apparaît environ vers 1850 ; c’était, semble-t-il le nom d’un bouge de Belleville appliqué ensuite à tous les débits de boissons populaires surtout à ceux qui comprenaient une distillerie), porte bien son nom. Car on y assomme l’ouvrier, peu à