Astyanax

passe mais on suppose que c’est après la guerre de Troie puisque Andromaque est la veuve d’Hector, tué à Troie par Achille pendant la guerre de Troie Résumé Oreste, ambassadeur des grecs, arrive à la cour de Pyrrhus. Il exige qu’on lui remette Astyanax, dernier hériter de la famille royale troyenne, fils d’Hector et d’Andromaque. Or le roi Pyrrhus est amoureux d’Andromaque, captive troyenne, mère d’Astyanax. Il rejette cette demande et fait pression sur Andromaque pour être sienne, sans succès

Giraudoux a su ainsi moderniser le mythe d’Andromaque en l’inscrivant dans les préoccupations humanistes de son siècle. Aymé a choisi, quant à lui, une prose plus familière qui parodie le texte source. Il fait ainsi dire à son personnage: «Passez-moi Astyanax, on va filer en douce.» Outre le vocabulaire très familier («passez-moi et filer en douce»), le fait qu’il s’agisse d’un véritable alexandrin, lié au fait que le personnage s’en rende compte et s’en gargarise accentue le caractère parodique du propos

inspirées de sujet historiques qui font référence à l’Antiquité romaine ou mythologique dont les enjeux sont perçus comme universels et intemporels (contrairement aux sujets d’actualités encrés dans le temps), mais Racine s’adapte : dans Andromaque, Astyanax est vivant contrairement à ce que disent de nombreuses sources Les règles sont en général bien respectées (règle des 3 unités, règle de vraisemblance et bienséance) 3/ Le personnage Racinien a) le héros et les autres personnage Le héros racinien

par une tempête, Oreste et Pylade se retrouvent en Épire, à la cour de Pyrrhus, fils d'Achille : au nom des Grecs, Oreste vient lui réclamer Astyanax, fils d'Hector et d'Andromaque, elle-même captive du roi d'Épire. Épris d'Andromaque, celui-ci délaisse sa fiancée, Hermione. Oreste, qui aime la princesse, espère en secret que Pyrrhus va refuser de livrer Astyanax et de laisser partir Hermione. Scène 2 : Pyrrhus repousse la requête d'Oreste. Scène 3 : Devant son confident Phœnix, Pyrrhus souhaite qu'Oreste

d’Hector, après la mort de son mari et la chute de Troie. Cette pièce met aussi en scène un conflit amoureux sans issue entre Pyrrhus, roi d’Epire, et la femme d’Hector. Pyrrhus, étant amoureux d’Andromaque, va menacer celle-ci de mettre à mort son fils Astyanax, si elle ne se décide pas à l’aimer. Mais celui-ci va recevoir l’ordre des Grecs de leur livrer le fils d’Andromaque. Dans la scène 7 de l’acte III, Pyrrhus espère donc gagner les faveurs de celle-ci en sauvant son fils. Celui-ci la confronte alors

mère de prier Athéna, et les femmes troyennes se rendent à son temple. Ligne 313 à 329 : Hectore rencontre sa femme près des portes Scées et, devant ses reproches et ses larmes, justifie sa place au combat. Puis, ayant serré contre lui son fils Astyanax, il rejoint les troupes avec Pâris. Chant IX ; Ligne 9 à 28 ; Agamemnon propose d'abandonner le siège, et de fuir avec les nefs. Ligne 32 à 78 ; Nestor et Ulysse s'opposent à la décision d'Agamemnon et lui font part de leur point de vue

grand dramaturge de cette époque. Son œuvre s'inspire d’un des plus grand épisode de l’histoire grec : la guerre de Troie. Elle met en scène Oreste ambassadeur du peuple grec au près de Pyrrhus, roi d’Epire. il renonce a exécuté son devoir de rendre Astyanax fils d’Andromaque, ce qui pourtant permettrai de mettre un terme a la guère de Troie mais son amour pour sa chère Hermione, fille d’Hélène lui fait perdre la raison. Par amour, Oreste va commettre une série d’acte pour prouver son amour a l’élu de

les conflits intérieurs des personnages. Qui n’a pas en mémoire les mots bouleversants de Titus s’apprêtant à rompre avec Bérénice pour régner comme son devoir l’exige ? Ceux d’Andromaque, déchirée entre son amour pour Hector et celui de son fils Astyanax ? Ceux de Ruy Blas, « ver de terre amoureux d’une reine » ? II. Mais le théâtre est aussi un spectacle, par conséquent les mots se doublent également d’un langage visuel donc silencieux ou d’une dimension sonore qui ne passe pas par les mots

retour. Chez Hermione, l'amour est intimement lié à l'amour propre. Cela entraîne du dépit, de la jalousie et de la haine qui la détruit ainsi que son entourage : Oreste tue Pyrrhus. Le seul amour « pur » est l'amour maternel que porte Andromaque à Astyanax. Mais aussi la fidélité : elle est représentée par Andromaque qui reste fidèle à son défunt mari. Cette fidélité entre en conflit avec le désir de sauver son fils. Elle est en effet déchirée entre son amour pour Hector et la menace de Pyrrhus qui

termine logiquement pas un écrasement de l’être attaché à sa passion, à savoir la folie ou la mort. Dans Andromaqu1 /e, l’intérêt politique présent dans l’intrigue est moindre. Pyrrhus aurait du tuer tous les Troyens, mais il a sauvé Andromaque et Astyanax. Il aurait du épouser une grecque pour officialiser une alliance entre l’Epire et la Grèce. Mais malgré tout, sa fureur l’empêche de suivre l’intérêt de son état. Ce qui n’était pas le cas dans Titus et Bérénice puisque les amants se séparaient finalement