Atala

ceux qu’on a nommé plus tard les « préromantiques » et qui, comme Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire et les Confessions) ou Chateaubriand au tournant du XIXe siècle (avec Atala, en 1801, René, en 1802 et le Génie du christianisme, en 1802) ont écrit des textes où se font sentir à la fois le besoin de parler de soi et l’amour de la nature. Déjà, chez ces deux grands auteurs, l’émotion et la passion l’emportent sur la raison

exemples 1 ère Français 1-FR-0702-EAD 6 FRANÇAIS SOMMAIRE GENERAL CINQUIEME PARTIE : LE ROMANTISME, MOUVEMENT LITTERAIRE ET CULTUREL 17ème série LECTURE D'UNE ŒUVRE INTEGRALE, CHATEAUBRIAND, ATALA 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon Introduction générale Chateaubriand Atala 18ème série LE THEATRE ROMANTIQUE, HUGO, HERNANI 1ère leçon 2ème leçon Introduction générale Pistes pour une lecture autonome 19ème série LA POESIE ROMANTIQUE 1ère leçon 2ème leçon Gérard

peut parler du roman intime, du roman historique et du roman d’inspiration humanitaire et sociale. Le roman intime sera illustré par Chateaubriand, Benjamin Constant et par Senancour. Chateaubriand écrit Atala et René qui devaient faire partie d’une vaste épopée américaine. Atala s’inscrit dans la tradition de Paul et Virginie. Le thème en est exotique , mais les personnages des demi-sauvages qui ont déjà connu la civilisation. L’exotisme à la mode attire une série de difficultés dont l’auteur

redingote. Si je vous y conduisais, cousin ? ... Le baron Hulot monta dans la voiture, en abandonnant mademoiselle Elodie sans lui dire adieu, comme on jette un roman lu. En une demi−heure pendant laquelle le baron Hulot ne parla que de la petite Atala Judix à Lisbeth, car il était arrivé par degrés aux affreuses passions qui ruinent les vieillards, sa cousine le déposa, muni de deux mille francs, rue de Charonne, dans le faubourg Saint−Antoine, à la porte d'une maison à façade suspecte et menaçante

le Christianisme défend l’art et les lettres, il a sens de la grandeur. Il a élevé la religion au majestueux, spirituel. Il est un grand narrateur qui a produit des romans: Atala et Renée (c’est son deuxième nom). Atala est située en Amérique où il y a un vieillard qui raconte son histoire de communion avec la nature. Atala termine par se suicider pour ne pas céder à l’amour. Il mélange la religion et l’amour dans la nature avec la présence de la mort. Renée était un grand homme qui va raconter

Romantique - le Moi = un sujet privilégié d’analyse - généralement récit à la première personne d’un héros qui expose ses aventures amoureuses. L’influence majeure est Goethe avec Les Souffrances du jeune Werther (1774). Quelques œuvres : Chateaubriand : Atala (1801), René (1802) Le roman de moeurs : Certains romans du XIXe S montrent des individus influencés par la société dans laquelle ils vivent et présente les personnages comme des types sociaux. Le but du romancier est de « faire concurrence à

de Hugo, est l’occasion d’une bataille retentissante entre partisans et adversaires de la nouvelle forme théâtrale. c) Dans le roman D’abord principalement consacré à l’expression de la subjectivité et aux drames de la passion (Châteaubriand, Atala, 1801 ; Benjamin Constant, Adolphe, 1816), le roman devient historique (Hugo, Notre-Dame de Paris, 1831 ; Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, 1844) ou social (Hugo, Les Misérables, 1862). * Ainsi, suivant les genres littéraires, on peut

les tons verts montre un oeil mit en avant. (JT à l’oeil sur tout) Il y a l’air plus jeune. Parcours ROMAN 2 Le roman au 19e siècle: - L’époque romantique: (+/- 1800 -1850) 1. Les premiers romantiques: (1800 – 1820): Chateaubriand avec Atala. 2. La génération romantique: (1820 – 1850): Beaucoup d’auteurs montrent un fort goût pour l’histoire, comme Dumas. (= point commun) Stendal: “Le rouge et le noir”. Thèmes principaux: histoire, amour, satire de la société, traits romantiques. Il

passages descriptifs et lyriques en langue française, tels « La Nouvelle HéloÏse (1761) », « Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778) » de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), « Paul et Virginie (1787) » de Bernardin de Saint-Pierre (1712-1778), « Atala (1801) », « René (1802) » de François-René de Chateaubriand (1768-1848), pour n’en citer que certains. Le paysage s’impose comme élément fondamental à l’esthétique du roman à la fin du XVIIIème siècle et révèle sa présence à la fois émotionnelle et

brusquement. Le roman est critiqué pour son manque de dignité esthétique. Pour la plupart, il ne sera reconnu comme genre lorsque l'on pourra préciser ses exigences et ses modalités spécifiques. Mais c'est aussi à cette période qu'ont vue le jour René, Atala, Corinne, Adolphe, Obermann, où le roman, moyen d'expression extrêmement souple, permet aux écrivains de confier au mieux ce qui leur tient à coeur. "L'idéologie, la poésie et l'analyse constituaient, en ce début du siècle, les trois tentations majeures