Athalie

avec Andromaque (1667). Les années suivantes les succès s’enchainent avec Bérénice et en suite, Bajazet, Mithridate et Iphigénie. D’autres grandes tragédies se succèdent, parmi lesquelles, Phèdre, l’une de ses pièces les plus célèbres, Esther et Athalie, (aux sujets bibliques), etc. ainsi qu’une unique comédie, Les Plaideurs. Il est reçu à l’Académie française en 1673 et il est devenu l’un des courtisans les plus proches de Louis XIV. Bérénice, tragédie à la quelle appartient la scène que nous analyserons

Le Lever de soleil. En septembre 1947, elle participe au premier festival d'Avignon, avec des petits rôles dans trois pièces (elle joue la suivante de la reine (Léone Nogarède) dans Richard II) et en décembre 1947 elle obtient le rôle de Joas dans Athalie. Initialement à la Comédie-Française, elle débute réellement fin 1950 dans la pièce Les Caves du Vatican d'André Gide, mise en scène par Jean Meyer, dans le rôle de la petite prostituée. Ce rôle lui vaut la couverture de Paris Match et les félicitations

il est condamné dès sa naissance. Réalisant l'idéal de la tragédie classique, le théâtre racinien présente une action simple, claire, dont les péripéties naissent de la passion même des personnages. Les tragédies profanes (c'est-à-dire Esther et Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival (Aricie

la pièce, la création d'un mythe) Etude d'un groupement de textes : La représentation de ce qui se passe horsscène au théâtre - Corneille, Le Cid, acte IV scène 3 (étude synthétique) - Racine, Phèdre, acte V scène 6 (lecture méthodique) - Racine, Athalie, acte II scène 5 (étude synthétique) - Giraudoux, Electre, acte II scène 9 (lecture méthodique) - Beckett, Fin de partie p. 41 à 47 (étude synthétique) Un long extrait de la mise en scène de Roger Blin est accessible sur internet La mise en scène

pièce Hamlet, de Shakespeare. On retrouve aussi des références à Milton et son Paradis Perdu la référence à la chair fond est aussi directement liée à Hamlet. « qu'ils pleurent, ô mon Dieu » (etc.) se retrouve dans une pièce de Racine intitulée Athalie. « Omne animal post coïtum triste » est attribué à Aristote la question de l'heure exquise fait clairement penser à une opérette composée par Franz Lehar en 1905, Die Lustige Witwe. L'évocation du « vers inoubliable » pourrait être une référence

PhèdreIntroduction Auteur du théâtre classique, Racine, après s'être essayé sans résultat à la poésie, connaît un vif succès avec ses tragédies dont il écrit l'essentiel entre 1670 et 1691, année où il produit la dernière, Athalie , pour Madame de Maintenon et sa fondation de Saint-Cyr. Racine écrit Phèdre , tragédie en

et religieuse auprès des « Solitaires » de Port-Royal, d’où l’influ-ence jansénisme que l’on retrouve dans certaines de ses ouvres comme dans Iphigénie , Phèdre ou Athalie . Bien qu’il commençât à écrire ses premières pièces dans les années 1660, c’est véritablement avec Andromaque qu’il rencontra le succès. S’en suivirent la création de

dépasser une « révolution de soleil » d'après Aristote et de 12 à 30 heures selon les théoriciens. L'idéal du théâtre classique veut que le temps de l'action corresponde au temps de la représentation. C'est Racine qui s'en est le plus approché, dans Athalie. Eugène Ionesco l'a également fait dans La Cantatrice chauve même si elle est vue par l'auteur comme une anti-pièce, elle en respecte paradoxalement l'unité de temps. Unité de lieu : Toute l'action doit se dérouler dans un même lieu (un décor de palais

qu’elle répondit insolemment) *2e bonne : Félicité (part avec Théodore à la fin du roman) *M. Homais, l’apothicaire d’Yonville (importante place dans le roman à partir de son apparition II,1, libre penseur) *Mme Homais et les enfants : Napoléon, Athalie, Irma, Franklin *Leur aide : Justin (transi d’amour pour Emma) *Mme Lefrançois, aubergiste du Lion d’or + son aide Hippolyte (a un pied bot) + la bonne, Artémise *Tellier, gérant du Café français (concurrence entre les deux établissements) *M. Léon

servaient de leur corps pour donner du plaisir aux spectateurs comme dans la prostitution : les gens de théâtre étaient donc excommuniés pour immoralité. Par la suite, la Bible a inspiré des tragédies aux XVI et XVII siècles, par exemple ‘Esther’ et ‘Athalie’ de Racine b- L’édification des règles de bienséance Le théâtre de la seconde moitié du XVII siècle est appelé « Théâtre Classique » parce qu’il obéit à un ensemble de règles inspirées du théâtre antique. Ces règles furent formulées explicitement