Atrée

Il s'agit là en fait d'une reprise par Caligula d'une phrase célèbre de son prédécesseur l'empereur Tibère Oderint, dum probent , « Qu'ils me haïssent pourvu qu'ils m'approuvent » (la version de Caligula, avec metuant, est empruntée à la tragédie Atrée de Lucius Accius[11] ; Tibère en avait quelque peu atténué la violence). Cette phrase est également sa devise ; « Le pouvoir donne ses chances à l'impossible. » La phrase d'origine complète étant : « J'aime le pouvoir car il donne ses chances à

Il s'agit là en fait d'une reprise par Caligula d'une phrase célèbre de son prédécesseur l'empereur Tibère Oderint, dum probent , « Qu'ils me haïssent pourvu qu'ils m'approuvent » (la version de Caligula, avec metuant, est empruntée à la tragédie Atrée de Lucius Accius13 ; Tibère en avait quelque peu atténué la violence). Cette phrase est également sa devise ; « Le pouvoir donne ses chances à l'impossible. » La phrase d'origine complète étant : « J'aime le pouvoir car il donne ses chances à l'impossible

destruction d'Argos après avoir offensé les dieux en les nourrissant de son fils Pélops lors d'un banquet. King Pelops' sons continued this as Atreus cooked Thyestes' children, exiling him brother afterwards. Le roi Pélops fils continuèrent cela comme Atrée Thyeste cuits 'enfants, exilant le frère de suite. Clytaemnestra murders Agamemnon later after he killed her daughter Iphigenia, thus continuing this cycle of death and jealousy for the royal house ofArgos. Meurtres d'Agamemnon Clytemnestre plus tard

l’histoire des Atrides (page 48), famille qui, à la suite de la malédiction de Tantale, connut une longue série de déchirements et de crimes atroces. Chassés par leur père pour avoir tué leur demi-frère, Atrée et Thyeste se disputèrent avec des fourberies et des bassesses inouïes le trône de Mycènes. Atrée, l’ayant finalement emporté, mit à mort deux fils de Thyeste et les lui servit au cours d’un festin. Agamemnon, fils d’Atrée, époux de Clytemnestre dont il avait trois enfants, Électre, Iphigénie et

réécrit un épisode de la mythologie grecque, ce récit des origines, rappellent les meurtres d'Iphigénie ou de Thyeste : la première a été sacrifiée par Agamemnon, son père ; tandis que le second s'est vu offrir en ragoût tous ses fils, massacrés par Atrée, accablé dès lors de malédiction par Thyeste. Égisthe, fils de Thyeste, tue donc en Agamemnon le fils d'Atrée. En outre, le spectateur se souvient que c'est le présomptueux Tantale qui avait inauguré, par un repas scandaleux - Pélops, son fils- offert

œuvres théâtrales achève, au travers de l’explication par l’auteur de son sentiment à l’égard des pièces, de donner à la Lettre à d’Alembert son caractère littéraire. Ainsi trouve-t-on à partir de la page 77 à 83 des références précises à Mahomet¸Atrée, Œdipe et Médée venants étayer ses propos. Enfin l’auteur s’exprime-t-il plus précisément sur Le Misanthrope de Molière et Bérénice de Racine. C’est ainsi par exemple l’occasion pour lui d’expliquer page 91 ce qu’avait dû être Le Misanthrope. Cette

ZEUS EUROPE ARIANE ANDROGEE CATREE PHEDRE PITTHEE THESEE ETHRA ANTIOPE HIPPOLYTE PANDION EGEE PALLANTE ARICIE GAÏA ERECHTHEE AEROPE AGAMEMNON MENELAS CLYTEMNESTRE HELENE CHRYSOTHEMIS LAODICE IPHINIASSA ORESTE HERMIONE ATREE HIPPODAMIE PELOPS THYESTE EGISTHE ACAMAS DEMOPHON L’histoire la plus connue de cette famille et celle de Phèdre ; qui épouse Thésée, roi d'Athènes, qui au retour de Crète a abandonné sa sœur Ariane. Tombée amoureuse de son beau-fils

d’abord nous avons le personnage principal, soit Pâris, qui est un mortel née du roi Priam et de la reine Hécube. Par la suite, deux autres mortels jouent un rôle dans ce mythe : Hélène fille de Zeus et Léna ainsi que Ménélas fils du roi de sparte Atrée et dont la mère nous est inconnue (Voir annexe 1). Pour se qui est des trois déesses importantes dans le mythe il y a : Héra, fille de Cronos et Rhéa. Athéna, fille de Zeus et Métis. Ainsi qu’Aphrodite, qui provient de l’écume de la mer. Puis finalement

le vengeur. Chrysothémis promet de suivre son conseil et s'en va. Le Chœur, qui a le sentiment que ce songe est un prélude au châtiment, nous informe que les crimes perpétrés dans la maison de Pélops font suite aux actes coupables commis jadis par Atrée, et qui ont jeté la malédiction sur toute la lignée. Clytemnestre survient et réprimande sa fille, qui, peut-être sous l'effet du rêve qu'on lui a dévoilé, semble plus douce que d'habitude. La reine justifie l'assassinat d'Agamemnon.  Électre l'attaque

l'animus est exigeant d'elle-même ; elle demande peu à l'homme, car elle n'ignore pas que celui-ci prend - conquiert plus qu'il ne donne. Illustration : Bête à concours, Andrée est chef d'entreprise. Elle "en veut". Elle pourrait aller jusqu'à dire comme Atrée : "Oderint, dum metuant !" ("Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent !"). Elle a le crâne rasé, s'est moralement fait couper les seins. Toute à sa volonté de puissance, sa devise est : Réussir. Matériellement, s'entend. La Médiale 2 : sa fonction