Atteinte Dignité Honneur Réputation

XIX Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï 80 CHAPITRE XX Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles 92 CHAPITRE XXI Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation 97 CHAPITRE XXII Des secrétaires des princes 102 CHAPITRE XXIII Comment on doit fuir les flatteurs 104 CHAPITRE XXIV Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États 107 CHAPITRE XXV Combien, dans les choses humaines, la fortune

Comment les princes doivent tenir leur parole. Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles. Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation. Des secrétaires des princes. Comment on doit fuir les flatteurs. Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États. Combien, dans les choses humaines, la fortune a de pouvoir, et comment on peut y résister. Exhortation à délivrer l'Italie des

Comment les princes doivent tenir leur parole. Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles. Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation. Des secrétaires des princes. Comment on doit fuir les flatteurs. Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États. Combien, dans les choses humaines, la fortune a de pouvoir, et comment on peut y résister. Exhortation à délivrer l'Italie des

jusqu’alors ignorées : eux de couper aussitôt leurs bâtiments sur ce modèle. L’architecture navale des Grecs leur fut aussi une leçon : à peine établis en Orient, ils mirent cette conquête au rang des plus considérables qu’ils y pussent faire. La réputation de leur supériorité dans la construction des vaisseaux survécut à la décadence de leur commerce ; car ce fut leur ville que, vers la fin dû dix-septième siècle, Pierre-le-Grand donna pour école à ses jeunes officiers. Pour montrer que la vraie

l'espèce.! 53 5. Devoirs absolus.! 54 6. Dignité perdue.! 54 7. Pour les hommes actifs.! 55 8. Vertus inconscientes.! 56 9. Nos éruptions.! 56 10. Une espèce d'atavisme.! 57 11. La conscience.! 57 12. Du but de la science.! 58 13. Pour la doctrine du sentiment de puissance.! 58 14. Tout ce que l'on appelle amour.! 60 15. A distance.! 61 16. Sur le passage.! 61 17. Motiver sa pauvreté.! 62 2 18. Fierté antique.! 62 19. Le mal.! 62 20. Dignité de la folie.! 62 21. A ceux qui enseignent

maisons pour les donner aux nouveaux habitants. Or les hommes ainsi offensés n'étant qu'une très faible partie de la population, et demeurant dispersés et pauvres, ne peuvent jamais devenir nuisibles ; tandis que tous ceux que sa rigueur n'a pas atteints demeurent tranquilles par cette seule raison ; ils n'osent d'ailleurs se mal conduire, dans la crainte qu'il ne leur arrive aussi d'être dépouillés. En un mot, ces colonies, si peu coûteuses, sont plus fidèles et moins à charge aux sujets ; et

courant a des origines au 16ème s, se sont des théologiens espagnols qui s’appuient sur Saint Thomas. L’individu a besoin que l’on protège sa vie, sa tranquillité spirituelle, son intégrité corporelle, sa réputation, son honneur. Ces idées vont devenir le droit à la vie, à l’honneur, à la réputation. Les droits de la personnalité se développent au XIXème s. L’article 1382 du Code Civil, fonde la responsabilité civile. « Tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui

jurisprudentielle du 19ième mais surtout du 20ième. Ils sont, comme les DDH, issus du courant philosophique individualiste qui conduisait déjà les théologiciens du 16ième à analyser la vie, l'intégrité corporelle, la tranquillité spirituelle et la réputation comme des biens intrinsèques de la personne. À la fin du 19ième siècle, la jurisprudence va ainsi accroître la protection qui risque de causer un préjudice difficilement réparable par le seul jeu de l'art 1382 au terme duquel « tout fait …. ». Ces

association en vue d'acquérir les biens disponibles que Chris appelle la « société » en précisant qu'elle est faite de contrôles et de conformismes et même de méchanceté (la réussite universitaire, l'argent et la voiture sont la version des « plaisirs, honneurs et richesses » dont Spinoza s'efforçait aussi de réduire l'attrait dans les premiers paragraphes de son Traité de la réforme de l'entendement). On pourrait décrire cette situation en paraphrasant le chapitre VI du livre I du contrat social de Rousseau

composée d’un préambule et d’une trentaine d’articles définissant les droits de l’homme et les libertés fondamentales. L’article premier énonce la philosophie inspirant la Déclaration en disposant que "tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité". En l’espace de plus d’une cinquantaine d’années, cette Déclaration est devenue la norme universellement admise et la