Au Bon Vieux Temps Marot

la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre

Roland », est plutôt épique et raconte les exploits des chevaliers en idéalisant leur valeur. Elle va être très vite suivie d’une littérature courtoise, raffinée, concernant surtout des histoires d’amour, comme celle de « Tristan et Yseult ». En même temps, une littérature bourgeoise, plus urbaine et plus libre de la tutelle religieuse apparaît aussi. L’Église toute puissante, voit ses dogmes questionnés à partir du XIème siècle avec l’apparition des nouvelles idées philosophiques plus rationnelles qui

avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent L'angoisse de l'amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l'ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C'est un tableau pendu dans un sombre musée

la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent L'angoisse de l'amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l'ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C'est un tableau pendu dans un sombre

la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent 2 L’angoisse de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l’Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée

la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent L'angoisse de l'amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l'ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C'est un tableau pendu dans un sombre

volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent L'angoisse de l'amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé –8– Si tu vivais dans l'ancien temps tu entrerais dans un monastère Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C'est un tableau pendu dans un sombre musée

_____________________ Arouet s’éprit de la comédienne Duclos, que lui ravit le comte d’Uzès. Connu, dans le Paris frivole et frondeur de la Régence, comme bel esprit et poète mondain qui prêchait le luxe et vantait la mollesse, il écrivait aux écrivains renommés du temps pour solliciter humblement leur approbation et leur appui comme aux femmes à la mode qui s'intéressaient à lui. Mais, toujours animé du désir de blesser, il s'était déjà fait, à vingt et un ans, une telle réputation de malignité qu'on lui prêta une

à la fois le tableau d’une « ancienne gare » désormais hors du temps des hommes, et celui d’un monde dicté par une autre nécessité, celle de la nature qui reprend ses droits.  Une gare à la retraite  Une gare à l’abandon : - Le titre d’abord nous invite à considérer un lieu privé de sa fonction initiale : c’est le sens qu’on peut déceler dans la polysémie de l’adjectif « ancienne » qui signifie tout à la fois « vieux » et « qui n’exerce plus sa fonction ». En outre, les deux premiers

Spleen et Idéal, Les Fleurs du Mal |Commentaire : Baudelaire, « Elévation », Spleen et Idéal, Les Fleurs du Mal | |- Reverdy, « La saveur du réel », Plupart du temps |Dissertation : La poésie est-elle une manière de fuir la réalité ou de s’en rapprocher ? | |- Ponge, Proêmes