Au Bonheur Des Dames Condition Ouvriere

moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur

est fou... Pour payer tout ça elle se lance dans l'écriture et utilise sa culture. Elle s'inspire de Boccace « Des dames de renom » ou il fait le catalogue des femmes illustres. Livre important « le livre des trois vertus » ou elle donne une image de la femme compagne qui permet à l'homme d’être un meilleur chrétien. Elle s'adresse dans le livre a toutes les femmes. « La cité des dames » elle attaque Jean de Meung (le roman de la rose) et sa misogynie. Elle trace les grandes lignes de la meilleure

été élevé, vous le savez, dans une grande école publi- « J’ai toujours été très différent des autres enfants. Jamais je n’ai aimé les jeux. « Je m’intéressais peu aux choses qui, d’ordinaire, passionnent les enfants. « Je n’ai pas eu de grand bonheur dans mon enfance, il me semble. « Ma seule ambition était d’atteindre l’idéal, après lequel j’aspirais. « Il en a toujours été ainsi. « J’ai toujours eu une aspiration indéfinie vers quelque chose, un vague quelque chose qui ne prenait presque jamais

l’Europe dépend de la victoire du militarisme allemand, de la discipline, de la fidélité et de l’esprit de sacrifice du peuple allemand uni. » On trouve aussi des campagnes de propagande ponctuelles pour maintenir le moral des troupes lorsque les conditions de guerre changent. Ainsi, lorsque les EtatsUnis annoncent leur entrée en guerre en avril 1917, la propagande allemande fait courir le bruit suivant : « Le cirque Barnum s’en va-t-en guerre ». - La Burgfrieden est le socle de la paix sociale

de la rue de la Paix, avait jadis tourné la meule, le long des trottoirs. On le disait riche aujourd'hui à plusieurs millions. C'était un homme de cinquante-cinq ans, fort, osseux, décoré, étalant ses mains immenses d'ancien ouvrier ; et un de ses bonheurs était d'emporter les couteaux et les ciseaux de ses locataires, qu'il aiguisait lui-même, par plaisir. Il passait pour n'être pas fier, parce qu'il restait des heures chez ses concierges, caché dans l'ombre de la loge, à demander des comptes. Il

Empire 1. La fortune des Rougon. 2. La curée. 3. Le ventre de Paris. 4. La conquête de Plassans. 5. La faute de l’abbé Mouret. 6. Son Excellence Eugène Rougon. 7. L’assommoir. 8. Une page d’amour. 9. Nana. 10. Pot-Bouille. 11. Au Bonheur des Dames. 12. La joie de vivre. 13. Germinal. 14. L’œuvre. 15. La terre. 16. Le rêve. 17. La bête humaine. 18. L’argent. 19. La débâcle. 20. Le docteur Pascal. 3 Le rêve Édition de référence : Éditions Rencontre, Lausanne. 4 I

Recherches de Le Play et de Demolins. - Effort tenté par de Tourville pour donner une base à la science sociale. - Pourquoi l'étude de la famille ouvrière est-elle fondamentale ? La psychologie des peuples : tout ce qui est de nature bourgeoise est superficiel. - Familles rivées au travail, - Divers aspects sous lesquels se présente l'étude des classes ouvrières. - Sentiment juridique du peuple ; cas où il est rattaché au travail et cas où il est importé par des bourgeois. -Chez les paysans il se manifeste

la véhémence d’un père. (l. 14-22)3. Le retour d’une réalité honnie. (l. 23-25)I. La marginalisation d’un héros intellectuel (l1-11)1. La description d’un univers viril. (l. 1-5)· Utilisation de : “sa voix de stentor” (ligne1): impression de voix ouvrière profonde gutturale, révélatrice d’un homme robuste imposant et sans délicatesse.· Espèce de géant (ligne 2) : métaphore de la démesure et de la disproportion ,manque de finesse, vision étrange qui fait des frères des êtres du merveilleux littéraire

Lumière, prennent l'habitude d'enregistrer les images sur les lieux mêmes où ils montrent leur film constituant ainsi une banque d'images 4 120$ANS$DE$SEANCE$DE$CINEMA$EN$FRANCE.$ ! mondiales, satisfaisant les besoins d'exotisme du public et son bonheur de reconnaitre le lieu où il vit. Orchestres ou orges accompagnent la séance, le bonimenteur attire et commente les scènes qui se déroulent à l'écran. Les appareils de projection, alimenté par le pétrole ou l'acétylène, ne produisent pas une puissance

sa moustache d'un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue d'une robe toujours de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le