Au Coeur De La Rose

là, aussi, a'pourrait m'aider ! (Elle sort sur la galerie.) Linda ! Linda ! Aïe, Richard, as-tu vu Linda ? Ben, par exemple ! A'l'a le cœur de téter des liqueurs pendant que j'me désâme ! Veux-tu y dire de v'nir tu-suite icitte, mon trésor ? Tu viendras voir madame Lauzon, demain, pis a'va te donner des pinottes pis des bonbons si yen reste ! O.K. ? Va, mon cœur, pis dis-y de v'nir tu-suite ! (Elle rentre.) La p'tite maudite ! A'm'avait pourtant promis de

d’itinéraires dans le recueil……………. Page 4 Proposition de séquence………………………. Page 5 Séance de motivation…………………………… Page 6 Pistes de lecture sur : Le noyer………………. Page 8 Pistes de lecture sur : Père et fils……………. Page 14 Pistes de lecture sur : Rose…………………… Page 20 Pistes de lecture sur : A la vie à la mort…….. Page 22 1 Ce titre fait partie des lectures conseillées dans le document d’accompagnement du programme de CAP (page 26). Stage Lettres 2008 dans l’Académie de Nancy-Metz : Faire

Oscar et la dame rose 1. Pendant la lecture de ce roman, j’ai pu remarquer qu’au point de vue de l’extériorité, le petit Oscar avait l’allure d’un jeune gamin de sept ans alors qu’en réalité il en avait dix. Ce jeune garçon, atteint d’une leucémie, n’avait plus de cheveux sur la tête et se faisait surnommer par les autres « crâne d’œuf ». Il demeure dans un hôpital. Du point de vue de l’intériorité, Oscar était un peu du genre difficile. Malgré son grand cœur, il n’aimait pas le monde, comme

(Aurélia, de Gérard de Nerval), M. Blanchot (L’Espace littéraire) -5 Etude de l’image : Orphée ou jeune fille thrace portant la tête d’Orphée G. Moreau « ODE A CASSANDRE » de RONSARD: LECTURE ANALYTIQUE Ode à Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu cette vêprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir

de satin rose, fermé façon paréo sur ma peau nue. Mon bas-ventre se nouait, la sensation de ma vulve qui gonflait, dans l’étroitesse de mes jambes serrées, n’avait d’égal que les battements de mon cœur qui lui, commençait à battre plus fort ; résonnant jusque dans mes tempes. Comme nous étions à l’abri des regards par une haie sentant bon le sapin. Me sentant à l’aise, par un subtile mouvement de cuisses, j’écartais donc les jambes et laissait glisser le voile rose qui me couvrais

brun Qui se courbe et fuit sous un front d’ivoire. Surtout, Rhodien, que son oeil soit bleu Comme l’onde amère et profond comme elle, Qu’il charme à la fois et qu’il étincelle, Plein de volupté, de grâce et de feu ! Fais sa joue en fleur et sa bouche rose, Et que le désir y vole et s’y pose ! Pour mieux soutenir le carquois d’Éros, Que le cou soit ferme et l’épaule ronde ! Qu’une pourpre fine, agrafée au dos, Flottante, et parfois entr’ouverte, inonde Son beau corps plus blanc que le pur Paros ! Et

donnerais mon empire »(v-1)  « Pour un regard de vous » (v-6). Ronsard, lui, parle de la femme avec légèreté en utilisant des qualificatifs comme « mignonne » et fait l’éloge de la beauté de Cassandre avec son sonnet Mignonne allons voir si la rosé destiné à Cassandre Salviati. En d’autres termes, la gemme est une source d’inspiration sans limites chez les poètes depuis très longtemps, au travers de siècles, changeant selon les mouvements littéraires mais reste élogieuse par rapport à l’image

Le Petit Prince Antoine de Saint Exupéry I. RESUME DE L’OEUVRE II. PRESENTATION DES PROTAGONISTES – Le Petit Prince – Le narrateur – La rose – Le renard – Le serpent III. THEMES MAJEURS DE L’ŒUVRE – Les dangers de l’étroitesse d’esprit – Comprendre et découvrir par l’exploration – Relations et responsabilité I. RESUME DE L’OEUVRE Narré à la première personne, Le Petit Prince s’ouvre sur quelques souvenirs du narrateur.

estre blessée. (Philieul de Carpentras, Laure d’Avignon, 1548). * Solo e pensoso: Solitaire et pensif j’irai sur les chemins, Sous le ciel sans chaleur que la joie abandonne Et, le coeur plein d’amour, je prendrai dans mes mains Au pied des peupliers les feuilles de l’automne. J’écouterai la brise et les cris des oiseaux Qui volent par les champs où déjà la nuit

Une chère petite rose, Frais emblème, message pur. Elle disait en son langage Les " serments du premier amour " : Votre cœur à moi pour toujours Et toutes les choses d'usage. Trois ans sont passés. Nous voilà ! Mais moi j'ai gardé la mémoire De votre rose, et c'est ma gloire De penser encore à cela. Hélas ! si j'ai la souvenance, Je n'ai plus la fleur, ni le cœur ! Elle est aux quatre vents, la fleur. Le cœur ? Mais, voici que