Au cœur des ténèbres

les autres sur mon écran. Pour qu'elle raison ? Il n'y en a pas des tonnes. Tout bonnement à cause de ce regard. Il vous transperce au-delà de la peinture, au-delà même de l'écran. Des yeux de chats, qui voient dans la nuit, capable de percer les ténèbres, et qui nous fixent. Alors oui, certes, des portraits avec des gens qui nous regardent, il y en a des quantités. Mais avec une telle intensité, je crois que je n'en avais encore jamais vu. Ces yeux brillants, lumineux, ce visage figé, cet peau grise

une vérité peu originale, les mots avec lesquels il s’exprime permettent de comprendre que sa vision des choses est celle d’un homme qui souffre. Le verbe " plonger ", dans la première phrase, indique l’expression d’une chute . L’allusion aux " ténèbres ", donne une image obscure de sa chute. L’ouverture du poème par l’adverbe de temps " bientôt ", l’emploi du verbe " plonger " à la première personne du pluriel, avec la valeur catégorique du futur, l’antéposition de l’épithète " froides " donnent

significatifs. Elle est également un symbole pour signifier l’intelligence ou la lueur d’espoir. L’absence d’intelligence est, à contrario, représentée par l’obscurité. En religion, la lumière représente l’espoir du Christ de la libération des hommes des ténèbres du mal. Dans la genèse de la bible, la lumière est le premier élément inventé par Dieu. Il existe donc deux lumières, la matérielle, naturelle, celle du soleil ou celle de la Lune et l’artificielle que nous produisons via la fabrication d'électricité

le mort. En effet, les 2 poèmes ont beaucoup de références à l'hiver pour montrer l'angoisse qu'éprouve le personnage de leur poème. Le poème de Baudelaire est rempli de ces références hivernales : «Et, comme le soleil dans son enfer polaire, / Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. / J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe; » (v. 7-9) Dans le poème Maison fermée, l'angoisse est représentée à travers l'hiver: «Je songe à la désolation de l'hiver»(v.8-9) L'antithèse du premier vers

l’époque et les cultures. La Lumière est le premier don du Créateur à L’Univers qu’il tire du néant. Elle sera présentée dans l’Ecriture, au sens propre ou au sens figuré, comme la source, la condition, ou le symbole de toute vie, par opposition aux ténèbres qui évoquent le chaos, le désert ou le néant, et finalement la damnation. La Lumière manifeste la présence divine. Dans la loi Mosaïque : Isaïe,.. le buisson ardant dans lequel Moïse n’adore pas l’idole « buisson » mais la Lumière que celui-ci représente

tournures péjoratives et négatives (sans, ni …). Les mêmes termes opposent les autres hommes et les philosophes (« causes » et « passions ») pour parler de manière laudative du philosophe • Image antithétique « ténèbres/ flambeau » avec la lumière représentant la connaissance et les ténèbres l’ignorance aux lignes 29/34 • chiasme mettant en valeur le philosophe (soi-même / les autres / les autres / soi-même B)La vie en société Le philosophe repousse l’isolement et le pessimisme • “l’homme

langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige. Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige! Le soleil

comparer avec un autre poème de Baudelaire, Spleen. Le chant d’automne: Ce poème a des principaux sujet le passant, confrontation avec la mort. Il exprime ces sujets avec des comparaisons, des oppositions, des symbolismes et des atmosphères obscures et tenèbres. D’ailleurs sur les effets sonores ont l’accentuation ce que signifie avec les verbes: j’entends, j’écoute et les noms: bruit, sonne, écho. Il donne ces bruits pour intensifier cette atmosphère angoissante. Le plus angoissant bruit est le bruit

Se débattant comme un nageur, Et luttant, angoisses funèbres! Contre un gigantesque remous Qui va chantant comme les fous Et pirouettant dans les ténèbres; Un malheureux ensorcelé Dans ses tâtonnements futiles, Pour fuir d'un lieu plein de reptiles, Cherchant la lumière et la clé ;

un voyage réaliste et l’apparition d’un visage. ( «  Nous nous embarquons sur la mer des Ténèbres… » : Sens figuré, ultime voyage, référence aux Ténèbres et à la mythologie Grecque ( Styx ). C’est un voyage vers la nuit, l’inconnu, la mort. Mais on retrouve tout de même l’image de plaisir, d’espoir, de joie et de jeunesse, notions qui préparent l’aboutissement du poème et du recueil. « Avec le cœur joyeux d’un jeune passager. » ( Décision de partir : Fin de la 5e strophe + 6e + 7e :