Au-delà de nos rêves

la pluie même lorsqu’on a envie de soleil. Le bonheur dépend de notre façon de voir les choses. Le bonheur n'est pas toujours l'accomplissement d'un désir, le bonheur c'est aussi se contenter de ce que l'on a. Si nous courrons toujours après nos rêves les uns après les autres sans s’arrêter, jusqu'à la fin de notre vie, nous mourrons sans avoir pris le temps de s'arrêter et de profiter de nos désires déjà accomplis, quel est l'intérêt ? Le bonheur, et je vous le dis, se constitue de chose simple

façon positive Dans cette dernière phrase de Sartre oppose le terme «  réalité » aux « rêves, attentes, espoirs ». La réalité doit nous donner les choses tels qu’elles sont en elles-mêmes et pas seulement tels qu’elles nous paraissent. Sartre parle donc ainsi de transcendance, l'homme est toujours au-delà (comme le signifie le préfixe latin trans-) de lui-même. Il ne cesse à chaque instant d'inventer lui-même l'existence qui seule peut le

Nietzsche*, à travers sa critique du cogito, ira jusqu'à soutenir l'existence d'une pensée inconsciente et impersonnelle, mettant ainsi en question la prétention du sujet à maîtriser, grâce à la conscience, ses pensées et ses sentiments. Il écrit dans _Par-delà le bien et le mal_: "Une pensée ne vient que quand elle veut, et non pas quand c'est moi qui veux; de sorte que c'est une altération des faits de prétendre que le sujet moi est la condition de l'attribut "Je pense". Quelque chose pense, mais croire

peut être ignoré par le sujet. Il n'y a pas d'actes innocents ou anodins. Tous sont révélateurs d'un affrontement en moi de deux forces. L'hypothèse Freudienne de l'inconscient revient à dire que bon nombre d'actes « normaux » (oubli, actes manqués, rêves), mais aussi « maladifs », pathologiques (névroses, psychoses, obsessions) s'expliquent en gros selon le même schéma. L'individu subirait un conflit psychique (dans son âme), conflit parfois extrêmement violent entre les normes conscientes (morales

physique et mentale, en effet, révolté permanent contre la famille, la religion, les lois, et plus profondément contre sa situation d'être humain, il risque tous les excès pour aller, par l'hallucination, l'hypnose, ou l'orgasme, au-delà de cette nature limitée, c'est à dire au-delà du possible. C'est à cette période qu'il vit une passion tumultueuse avec Verlaine, ce grand poète toujours tragiquement partagé entre sa sensualité et son mysticisme. C'est aussi le moment où il écrit. A partir de 1876, à

de telle manière qu’on ne "saurait rien lui imaginer d’autre que ce qu’elle a déjà". Elle a donc tout ce qu'elle souhaite et ne manque de rien, c’est une créature parfaite et comblée. Le double emploi du verbe "imaginer" exprime l'idée d'un réel au-delà de l'imaginaire, d'une beauté absolue et bien existante. Les nombreuses comparaisons montrent l'homme docile devant la femme, un homme chosifié, charmé par "l'appareil immaculé de sa beauté". Les mots "sillage" et "navire" font référence à son passé

dans Le lac ou Fingal ; voir aussi Atala de Chateaubriand. • Séparation du héros avec l’être aimé, source de désespoir : Nuits de Musset. Cned – 7FR20CTPA0609 2/3 b) Le « mal du siècle » Evocation d’un héros dont le « moi » est tiraillé entre ses rêves et la réalité, particulièrement décevante, entre son désir d’immortalité et la conscience de sa finitude : • La Douleur, David d’Angers • La Confession d’un enfant du siècle, Musset : passage étudié et passage du corpus • Le Génie du christianisme

grande majorité d'entres eux les refoules. Système Inconscient = Inconscient + Préconscient Inconscient = désirs, pulsions, éléments traumatiques, tendances. Préconscient = tabous, interdits, lois, éducation parentale, morales. Conscience = rêves, actes manqués, symptômes névrotiques, lapsus. Absus = erreur de langage dans laquelle un mot remplace un autre et crée aussitôt une gène, un malaise. Ce qui veut dire pour Freud qu'un désir, une pulsion, refouler a réussit a accéder a la conscience

grande majorité d'entres eux les refoules. Système Inconscient = Inconscient + Préconscient Inconscient = désirs, pulsions, éléments traumatiques, tendances. Préconscient = tabous, interdits, lois, éducation parentale, morales. Conscience = rêves, actes manqués, symptômes névrotiques, lapsus. Absus = erreur de langage dans laquelle un mot remplace un autre et crée aussitôt une gène, un malaise. Ce qui veut dire pour Freud qu'un désir, une pulsion, refouler a réussit a accéder a la conscience

Desnos rétorquera : « Je ne suis pas philosophe, je ne suis pas métaphysicien… Et j'aime le vin pur2. » Le jeune homme n'a pas de culture savante ; il s'est construit en vrac, pataugeant dans l'immédiat de la vie qu'il mange à pleine dents, et les rêves des nuits qu'il note au tout premier réveil. « Ce que les écrivains ont à dire s'adresse à tous », répète-t-il devant les langages obscurs et les amphigouris des poètes sérieux… Son éveil à la chair ne s'est également pas fait sérieusement. Pas d'amours