Auchan Macon

TROIS les uns à la suite des autres… Plutôt que de le faire, j’ai décidé avec ma vision d’apprenti, de procéder étape par étape, plan après plan, comme un cinéaste. Et comme pour un reportage, suivre le processus de transformation du profane en Maçon en isolant les TROIS qui ont fait naître en moi lors de ce voyage, des interrogations. Ce questionnement m’a permis de réfléchir et de mettre à jour la Présence, le Poids et la Puissance du TROIS dans la Symbolique Maçonnique. Je commence donc

les Frères. Plus les émanations sont nombreuses et variées, plus la synthèse en sera pure et active. L'assiduité est le premier devoir de l'Apprenti. Il doit comprendre qu'il n'y a pas de Maçons sans Loge. Chaque Frère a une place qui lui est destinée, il devient indispensable au temple qui se construit. Le Maçon n'existe que par le Travail collectif qu'il ne peut effectuer qu'en tenue. Parmi les devoirs, le plus important est sans doute l'Assiduité. L'Assiduité, tout d'abord, consiste à vivre

aspects, il parait approprié de s’y attarder. Il s’agit du coffrage pour béton armé, de la maçonnerie pour parpaings, terrassement pour platine et coulage de dalle en béton : - Maçonnerie avec parpaing : Pendant 1 semaine j’ai été avec 1 ou 2 maçons cela dépendait des jours, à faire un mur de soubassement pour un hangar. J’ai fait du mortier avec une bétonnière, posé des parpaings, fait les joints et aussi découpé les parpaings … - Coulage d’une dalle béton : Pendant quelque jours on a coulé

et net a la chaine d’union : Ce sont toutes deux des fils conducteurs, pour nous élever Les nœuds représentant les bras de nos frères invisible Si l’on resserre ses nœuds cela nous renvoie au symbole de la fraternité et de la solidarité des francs mâcons dans l’adversité Les lacs d’amour qui représentent l’enlacement des bras Les postures pendant la chaine d’union ont toutes une signification : Les pieds en équerre, renforçant l’adhésion de tout frère au principe de la rectitude Le bras droit au dessus

DACHEZ Directeur de la revue d'études maçonniques Renaissance traditionnelle Président de l'institut maçonnique de France Cinquième  édition mise à jour 14e mille   Introduction « Pour le public un Franc-Maçon Sera toujours un vrai problême, Qu’il ne sauroit résoudre à fond, Qu’en devenant maçon lui-même. » [1] Société de pensée, ordre initiatique, association philosophique, communauté fraternelle ou simple réseau politique, la franc-maçonnerie demeure pour beaucoup, surtout en France, environnée

importantes. Aussi, au delà de la structure et la texture de la pierre, elle est pour nous maçons un symbole fort important pour nos travaux au double sens ésotérique et exotérique du terme. Ainsi, après avoir évoqué quelques repères historiques, je vais axer mon propos sur les questions visant à expliciter la symbolique de la pierre brute: pourquoi et comment tailler la pierre brute en notre qualité de maçon. DANS l’ ANTIQUITE. Au cours de cette période de l’ histoire la pierre était considérée

l'ensemble qui lie deux représentations de la même signification. Par dérivation, le symbole se réduit à l'élément imagé ou audible qui est relié à un sens caché qu'il signifie. J’ai découvert le fil à plomb très jeune. Lorsque j’observais mon père maçon plâtrier construire ce qui allait devenir notre pavillon en banlieue parisienne. Lorsque mon père plombait une pierre, c’était avec une grande minutie qu’il l’ajustait .Il tenait dans une main le fil à plomb et dans l’autre le maillet. Il reprenait

pierre ? Nous-même comme nous sommes censés le faire grâce à notre démarche maçonnique ou autrui pour nous. L’élévation, l’apprentissage, la maîtrise de l’art d’être maçon ou soi-même demandent-t-elles à ce que le particularisme s’efface ? Ou à ce que le particularisme devienne une partie de l’entité ? Les maçons n’étaient que des maçons de taille ou de pose originellement et ont ouverts leurs loges aux ignorants de leur art physique mais ouverts à leur art spirituel. La réponse serait-elle là :

lignes de chemin de fer locales en S.-et-L. Conseil municipal de Vendenesse, le 11 mai 1862: Le conseil municipal considérant qu’il serait de la plus grande utilité pour les arrondissements de Mâcon et Charolles qu’un chemin de fer fut construit entre Mâcon et Paray pour relier entre eux le chemin de fer de Mâcon à Genève, qui se continue dans l’Italie et dans la Suisse, et le chemin de Chagny à Moulin, passant à Paray, qui correspond avec tous les chemins de l’ouest de la France; que ce chemin de fer

latin truella) est le dernier outil, celui qui sert à parfaire et terminer l’oeuvre de la construction. La truelle permet d’appliquer le ciment qui sert à lier les pierres, à lisser les dernières imperfections et à finir le travail. La truelle du maçon, contrairement à celle du plâtrier, est de forme triangulaire, généralement de petite taille. Même dans les recoins, la truelle peut se faufiler. D’autant plus qu’il en existe de différentes formes et de différentes tailles, de la truelle à joints