Augustin Fresnel

Le frontispice de l'Encyclopédie est la gravure la plus représentative des Lumières Elle est remplie de d’allégorie et de symbole: la gravure fait apparaître, dans une sorte de compilation sur différents plans, les Arts, les Sciences et les facultés humaines (Mémoire, Imagination, Raison), la quête de la Vérité et, enfin, le concept de l’Instruction. Le personnage 1 est le personnage central dont une lumière semble émaner d’elle. Cette femme est seulement recouverte d’un voile. Elle représente

car, ne pas se rendre compte de la faiblesse humaine c'est le plus grand des signes de faiblesse. Alors que les personnes qui ont conscience de la faiblesse humaine témoignent de la grandeur humaine. Le désir vain du savoir est d'ailleurs selon St Augustin une marque de la concupiscence et cette idée est reprise par Pascal. Donc sur la question de la place du savoir dans la vie de l'homme, Pascal s'avére étre d'accord avec certaines pensées pyrrhoniennes. Pascal à tout de méme un objectif, convertir

D’Augustin Cochin à Joseph de Maistre, d’Edmund Burke à Karl Marx, de Hannah Arendt à Michel Villey, la plupart des critiques de l’idéologie des droits de l’homme en ont dénoncé l’universalisme et l’égalitarisme abstrait. Ils ont également fait remarquer qu’en dépouillant de toutes ses caractéristiques concrètes l’homme dont elle proclame les droits, cette idéologie risquait d’aboutir au nivellement et à l’uniformisation. Si l’on admet que l’affirmation des droits de l’homme vise au premier

1782 pour la première partie et en 1789 pour la deuxième [1] ; Jean-Jacques Rousseau avait cependant déjà fait des lectures publiques de certains extraits. Le titre des Confessions a sans doute été choisi en référence aux Confessions de Saint-Augustin, publiées au IVe siècle après Jésus Christ. Rousseau accomplit ainsi un acte sans valeur religieuse à proprement parler, mais doté d’une forte connotation symbolique: celui de l’aveu des péchés, de la confession. Associant sincérité, humilité et

III)Pascal et le Jansénisme : a) Jansénius, admirateur de Saint Augustin : -Saint Augustin était un Évêque d'Hippone. Avant de se convertir à l'âge de 32ans à la religion chrétienne il mena une vie de débauche. Suite à cela il se dépouilla de tous ses biens, se consacra au jeûne et à la prière Il est à l'origine de l'augustinisme et se présente comme un père fondateur de l'église chrétienne. -La vie de Saint Augustin et de Pascal sont comparables puisque tout deux sont passés par une vie

le lot des martyrs. " Mettre ensemble la justice et la force " est la condition de la paix. Il faut que la justice de la cité des hommes, même si elle est une singerie de celle de la cité de Dieu ( Pascal ne s'accorde pas au parallélisme de Saint Augustin et de Saint Thomas ) remédie aux dangers de la sédition permanente et des guerres civiles. Si pour le chrétien la justice véritable est dans l'ordre de Dieu, qui commande l'obéissance aux lois ( " rendez à César... " ), il faut que sur terre une

qui concerne Rousseau, les écueils que rencontre son pacte de sincérité, orgueilleusement présenté dès le préambule, sont particulièrement manifestes. On pourrait simplement souligner combien est éloquent le fait que, se référant à l'œuvre de Saint Augustin, Rousseau ait choisi le titre de Confessions : nous prépare-t-on aux aveux d'un pénitent, en quête d'absolution divine ? Et si tel est le cas, n'est-il pas légitime que nous, lecteurs, si solennellement défiés dans ce préambule, allions examiner

On peut dire que chacun a sa vérité ou plutôt que chacun a une opinion qu'il pense appuyée sur la vérité. Cette vérité est inculquée par la conscience, par exemple les croyances religieuses, la vérité d'un chrétien sera qu'il existe un seul et unique Dieu tout puissant tandis que celle d'un bouddhiste sera que le dieu en question n'est autre que Bouddha. On peut dire que la vérité subjective d'un être humain est inculquée par sa conscience car par ne lui dicte ce a quoi il doit croire et ce a quoi

« Le pardon ! Mais nous ont-ils jamais demandé pardon ? C'est la détresse et c'est la déréliction du coupable qui seules donneraient un sens et une raison d'être au pardon. Quand le coupable est gras, bien nourri, prospère, enrichi par le miracle économique, le pardon est une sinistre plaisanterie. Non, le pardon n'est pas fait pour les porcs et pour leurs truies. » De plus, il est, selon Jankélévitch, de toute façon impossible de pardonner quand bien même nous le voudrions. En premier lieu, on

Philosophie «Fête de famille» Le film Festen (Fête de famille) (1998), gagnant du pris jury au festival de Cannes en 1998, a été réalisé par le célèbre Thomas Vinterberg, co-fondateur du Dogme en 1995. C’est l’histoire d’une réunion de famille qui s’annonce être complètement raté quand le fils du célébré avoue un terrible secret de famille. Ce que j’ai aimé de ce film, c’est la façon crue avec laquelle on aborde le thème du film, soit l’inceste. Un sujet qui est encore tabou aujourd’hui et