Austérité Budgétaire

5. La première trajectoire (1960-1981) se divise en deux périodes : entre 1961 et 1972, les politiques budgétaires et monétaires ont été relativement contenues. Au cours de la période 1973-1981, on assiste à un retournement de la conjoncture nationale et internationale. Les prévisions économiques de cette période ont été au-delà des capacités de production du pays. Le secteur privé a pu renforcer les positions qu’il occupait au sein de l’économie grâce surtout à l’appui de l’Etat durant les années

des bons de trésor : En cas de surliquidité, BAM intervient comme vendeur des bons de trésor pour absorber les excédents. Vente des devises : dans ce cas la BAM intervient comme vendeur des devises pour limiter la création monétaire La politique budgétaire (lutte contre l’inflation par la demande) : En situation d’expansion, l’Etat suit la politique de rigueur pour freiner la croissance économique. Hausse des recettes : Hausse des impôts (IS, IR) >> baisse des revenus des agents économiques >> freinage

Chapitre 7 : Les limites de l’efficacité des politiques économiques conjoncturelles On observe parfois des situations ou la politique conjoncturelle n’atteint pas complétement ses objectifs. I) La difficile coordination des politiques monétaires et budgétaire 1) Les objectifs de la politique économique sont en partie contradictoires Lorsque la politique économique poursuit un seul objectif : L’inflation ou le chômage ou encore le commerce extérieur, on atteindre cet objectif au moyen du seul instrument

consommation augmente. KEYNES a développé une fonction de consommation selon laquelle la consommation dépendrait du niveau du revenu. Pour augmenter la consommation des ménages, il faut pour KEYNES que l’Etat soutienne l’activité par une politique budgétaire. Contre les néoclassiques, KEYNES soutient l’intervention de l’Etat. Mais au XXème siècle, M. FRIEDMAN va s’opposer à KEYNES. Car pour M. FRIEDMAN, ce qui est important pour développer la production et donc le revenu, c’est moins la consommation

Caractéristiques de l’équilibre économique globale .........................................................................................15 4 Les politiques budgétaires et monétaires dans le cadre IS-LM ................................................................................16 4.1 Les effets possibles de la politique budgétaire ..................................................................................................16 4.2 Les effets possibles de la politique monétaire ......

économique. C'est dans le contexte d'économies nationales de plus en plus ouvertes qu'il entreprend de distinguer l'impact du régime de changes d'un pays sur l'efficacité de ses politiques économiques conjoncturelles. Ainsi, il distingue la politique budgétaire, marquée par l'augmentation des dépenses publiques, et la politique monétaire, caractérisée par l'augmentation de la masse monétaire par les autorités monétaires. Leur efficacité relative selon que le pays concerné est en régime de changes fixes

à l'euro et la recherche de convergence La stabilité budgétaire au service de la croissance et de l'emploi ? PSC (Pacte de stabilité de croissance) : réduire la dette public , déficit public , réduire le taux d'inflation . L 'assainissement des finances publiques facilite la tache de la politiques monétaire, qui est de maintenir la stabilité des prix , et favorise ainsi la baisse des taux d'intérêt. Contrainte budgétaire : Les marges de manœuvre des politiques économiques sont

d’une monnaie unique tel que l’Euro. En quoi l’Union Européenne rend-elle les états interdépendants ? Gain à l’échange, allocation optimale des ressources, gains de productivité, Déséquilibres macroéconomiques, politique conjoncturelle, politique budgétaire, monétaire, demande globale, prêteur en dernier ressort, politique structurelle Quelles divergences existe-t-il d’un point de vue économique entre les pays de l’UE ? Quelles faiblesses institutionnelles de l’UE ont été révélées par la crise ?

publiques (l'amortissement) et le paiement des intérêts. La prime de risque2 correspond au surcroît d’intérêt demandé lorsque les prêteurs ne sont pas sûrs de la solvabilité de l’emprunteur. DOCUMENT 4 – Les keynésiens pensent que le déficit budgétaire peut avoir un impact positif sur la croissance, à certaines conditions : il faut notamment que l'offre soit élastique, autrement dit, qu'il existe des capacités de production disponibles pour répondre à l'augmentation de la demande, que les ménages

augmentation s’est accentuée depuis la dernière crise financière où la dette publique de ces pays est devenue très, trop lourde pour certains pays. Cela peut s’expliquer par la chute de la croissance ce qui pousse les Etats à utiliser une politique budgétaire différente d’auparavant. Les Etats s’endettent pour maintenir au mieux le niveau de vie de la population et aussi pour sauver des entreprises, limiter la chute des marchés et relancer la croissance économique. Cependant, cette politique de dépenses