Austérité Budgétaire

Maastricht et le Pacte de Stabilité et de Croissance. Quels sont les arguments en faveur de ces limites ? Vaut-il mieux pour l’économie européenne d’augmenter l’imposition pour diminuer le déficit budgétaire sans penser au risque d’une possible récession ? Réussira l’économie roumaine de limiter le déficit budgétaire dans les conditions d’une augmentation des charges publiques et d’un pouvoir contributif réduit de la population ? Une analyse profonde de la dette publique de la Roumanie, de sa structure

mettre en œuvre des politiques à court terme c'est-à-dire qui vise à agir sur les déséquilibres de la situation économique, à l’aide d’instruments dans une cadre institutionnel donné. b) Politique budgétaire L’Etat peut utiliser son budget pour atteindre ces objectifs. Une politique budgétaire est alors mise en œuvre. Autrefois le budget de l’Etat ne jouait pas de rôle économique, il servait seulement de ressources afin d’assurer le bon fonctionnement des administrations. C’est seulement à

de provoquer une « relance économique », c’est-à-dire une augmentation de l'activité économique et une réduction du chômage lors des périodes de faible croissance ou de récession. Les politiques de relance peuvent faire intervenir la politique budgétaire et la politique monétaire. Les politiques de relance sont l'application de la théorie keynésienne selon laquelle le gouvernement pourrait efficacement relancer l'économie par des dépenses publiques supplémentaires : elle permettraient de passer

le financement d'une charge budgétaire ne peut pas être assuré par une recette correspondante. Les dettes publiques actuelles sont donc l'accumulation sur une longue période des déficits public. La dette publique résulte alors d’une politique budgétaire déficitaire, il faut donc se pencher sur la politique budgétaire. La politique budgétaire est un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses publiques, endettement

Lundi 03 Mars 2014 Devoir Maison – Economie Question de nature méthodologique 1. La politique budgétaire correspond à l’utilisation du budget de l’Etat c’est-à-dire de la détermination de ses dépenses et de ses recettes afin d’orienter l’économie. Nous avons la politique de relance et la politique de rigueur. La politique de relance a pour objectif de favoriser la croissance et réduire le chômage, pour cela les moyens utilisés sont de : Réduire les impôts et/ou les cotisations. L’augmentation

Risque d’effet d’éviction B- sous-partie : Le PSC : le passage d’une gouvernance (institutionnalisée avec la domination de la BCE) a un gouvernement économique → Échec des relances budgétaires isolées → Mise en place d’une discipline budgétaire européenne afin d’établir une convergence des politiques budgétaires nationales : stratégies coopératives Transition : échec du PSC pour rendre la zone euro efficace : une zone économique à croissance faible II. Deuxième partie : les effets non

 LA POLITIQUE BUDGÉTAIRE – SECONDE SEANCE 1). Restituez brièvement la « séquence »qui montre pourquoi une PBR peine forcément à résorber le déficit budgétaire , puis montrez en quoi cette séquence s'inscrit dans un cadre de pensée keynésien. Une politique budgétaire restrictive ( dit «PBR») est une politique économique ayant pour objectif à court-terme de stabiliser les prix tout en réduisant les déficits publics , et à long-terme l'équilibrage économique : elle se réalise généralement

avons observé depuis le pic de la crise en octobre 2008 avec les gouvernements contraints pour renflouer les banques problématiques, reprenant la majeure partie de la dette n'a pas d'institutions financières. En outre, ils ont suivi des politiques budgétaires et monétaires expansionnistes accompagné d'un tableau de programmes de relance complémentaires afin d'accroître la demande globale et de s'assurer que leurs économies ne tombera pas dans une récession profonde. Ces programmes de relance grands et

récessions : la politique budgétaire. Grâce au traité de Maastricht, signé en Février 1992, les Etats membres de l’Union Européenne peuvent participer à l’Union économique et monétaire (UEM) sous certaines conditions principalement économiques. L’UEM désigne l'ensemble des politiques des États membres de l'Union européenne qui ont pour but de rapprocher leur économie. Avant que les pays n’intègrent l’UEM, lorsqu’ils mettaient en place seul une politique de relance budgétaire, ils devaient en subir

justifier des politiques contracycliques. Keynes explique que l'insuffisance de demande effective (c'est-à-dire anticipée par les entreprises) amène l'activité économique en deçà de son niveau potentiel (on parle d'un output gap*). Une politique budgétaire volontariste peut dès lors relancer l'activité économique. Cette relance est favorisée par l'effet multiplicateur qu'avait déjà présenté Kahn en 1931 : les dépenses supplémentaires initiées par l'État créent un effet multiplicateur qui aboutit théoriquement