Austérité Budgétaire

la parité parfaite d’un dollar pour un euro. Politique budgétaire Absence de politique budgétaire commune à la zone euro. Retour à la parité ? • Saxo banque affirme un retour à la parité sur le court terme. Année 2010 Taux de change 25 mai 2010 : 1 EUR = 1,2223 USD plus bas cours depuis le 1ier janvier 2009. 7 II/ Analyse économique 3/ Principaux indicateurs macroéconomiques Taux de change Politiques budgétaires des pays Taux d’intéret La valeur de l’euro est fortement

sont les politiques budgétaires et les politiques monétaires mais les politiques font des choix, prennent des décisions qui n'ont pas toujours les résultats escomptés (l’exemple de la relance économique d’inspiration Keynésienne voulue par Mitterrand est révélateur, l’effet désiré n’a pas été produit à cause du report de consommation vers les importations). Une autre limite des politiques économique est le problème important selon Krugman, des délais dans la politique budgétaire. Par exemple lors d’une

Faut-il réduire le déficit budgétaire de l’État ? Depuis la révolution industrielle les pays occidentaux ont alterné les cycles de croissances ainsi que, les crises économiques. Depuis lors les gouvernements ont toujours joué des rôles primordiaux dans l’entré et la sortie de crise, on se rappellera du président américain Roosevelt et de l’anglaise Margaret Thatcher, ainsi que les effets de leur politiques économiques. Cependant malgré les enseignements que peut nous fournir l’histoire, les crises

les économies des pays développés subissent un net ralentissement de leur croissance économique en 2008. Aux Etats-Unis, le gouvernement Bush n’a pas hésité à soutenir l’expansion en diminuant fortement les impôts, ce qui a creusé le déficit budgétaire. [pic] Problématique = L’Etat français a-t-il encore la possibilité d’accroitre ses dépenses publiques pour soutenir la croissance et lutter contre le chômage ? Cette politique conjoncturelle de relance à court terme, préconisée en 1936 par J

et contraintes Jean-Marie Monnier Professeur d'économie Centre d'économie de la Sorbonne UMR du CNRS 8174 Université Paris I-Panthéon Sorbonne Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison de l'échec des politiques contacycliques de

conjoncturelle a pour but d'agir, à court terme, sur les indicateurs économiques pour orienter l’activité dans un sens permettant de rétablir les grands équilibres macroéconomiques. -Les instruments qu'elle utilise sont essentiellement: - la politique budgétaire: l'Etat augmente les dépenses publiques pour relancer l'activité - la politique de l'emploi: mesures favorisant la création d'emploi et assurant des revenus aux chômeurs - la politique monétaire: limitation du crédit, modification des taux d'intérêt

baisse du chômage provoque alors une augmentation de l’inflation. Une politique budgétaire est donc instaurée avec pour but de lutter contre le chômage en reposant sa politique sur la notion de plein-emploi. L’état jour alors un grand rôle en favorisant la consommation et l’investissement en mettant en place une politique de grands travaux qui exercent un effet multiplicateur sur l’activité. Le déficit budgétaire est donc obligé de varier. Donc toutes ces modifications vont permettre de relancer

(qui sont faites par les autorités monétaire) et politiques budgétaires (qui  sont  faites  par  l’Etat). Pourquoi cette scission ? A  la  création  de  l’Euro,  le  principal  objectif  de  la  politique  monétaire  (par  la  BCE)  était  la  stabilité  des   prix,   pour   que   se   crée   une   confiance   dans   cette   nouvelle   monnaie   qui   venait   d’être   crée.   On   a   instauré  l’indépendance  de  la  politique budgétaire par rapport aux banques centrales. Définition de la politique

Dissertation : Le budget de l’état : instrument de politique économique En 2012, les candidats à la présidence de la République française se sont affrontés sur la nature de la politique budgétaire à mettre en œuvre en France. Pour Sarkozy, l’état devait mener une politique de rigueur afin, dans un premier temps, de réduire le déficit et la dette publique, et dans un deuxième temps, retrouver des marges de manœuvre pour mener un politique de relance. Mais, pour Hollande, l’état devait mener une

intervention se fait par le biais de 2 politiques : une politique monétaire (baisse des taux d’intérêt) qui permet aux ménages de consommer car ils peuvent s’endetter à moindre cout et l’investissement des entreprises est stimulé ; et une politique budgétaire qui consiste à augmenter les dépenses publiques selon le principe de l’effet multiplicateur qui permet d’augmenter les revenus des agents économiques. L'analyse libérale préconise de concentrer ses efforts sur l'investissement afin de soutenir